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Le misérabilisme et la mendicité, les 2 mamelles d’Anissi

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Le misérabilisme et la mendicité, les 2 mamelles d’Anissi

Le «Gouverneur» usurpateur d’Anjouan, voué à la petitesse

Par ARM

       Ceux qui savent se taisent, hochent gravement la tête, lèvent les mains et les yeux au ciel, soupirent et crachent par terre, définitivement dégoûtés. Ils ne veulent même pas que le nom d’Anissi Chamsidine soit prononcé devant eux. Ils préfèrent oublier jusqu’à son existence. Anissi Chamsidine a vendu son âme à Satan et a adhéré à la secte des Adorateurs du Diable pour devenir le «Gouverneur» usurpateur d’Anjouan. Aujourd’hui, il découvre «les délices» de la trahison, quand des gens qui sont à Moroni prennent des décisions concernant son île d’Anjouan au-dessus de sa tête. Il a tout supporté de la part du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, y compris quand il a accepté de faire des pompes à sa demande, devant lui, en public, s’attirant la malédiction de tous les Comoriens connaissant le sens de la honte.

En réalité, Anissi Chamsidine est un misérabiliste habitué au misérabilisme. Il est un mendiant habitué à la mendicité. Il est un petit habitué à la petitesse.

Nous voici le samedi 11 janvier 2014, à Épinay-sur-Seine, en région parisienne. L’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi tient meeting et pose une question au public: qui est Anissi Chamsidine et qui le connaissait avant que lui-même n’aille le faire sortir de l’anonymat et de la médiocrité, «là-bas, à Mahararé, dans la lointaine campagne»? La question avait provoqué beaucoup d’émoi chez les Comoriens à cette époque, mais personne ne voulait savoir qu’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi connaissait le produit de sa fabrication politique mieux que quiconque.

Ce parfait connaisseur du «Gouverneur» usurpateur d’Anjouan s’est bouché le nez avant de prononcer le nom du pestiféré: «Mais, foutaise des foutaises, c’est qu’Anissi Chamsidine fut un jour prof de français! À cette époque, il négociait avec un petit resto en taules du côté de Mboueni, à Moroni, du crédit pour des petits plats de bananes frites, en attendant un salaire hypothétique. Il a fait du chemin et doit se demander qui va le manger à son tour…».

Cela signifie qu’il n’y a rien à attendre d’un homme aussi minable.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 27 juillet 2020.


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