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Le danseur Azali Assoumani et son requin sous roche

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Le danseur Azali Assoumani et son requin sous roche

Sa récupération des assises du cul et du zizi fera pschitt

Par ARM

      Il est des acteurs politiques qui sont intelligents. Il s’agit de ceux qui organisent des «fuites» pour essayer de savoir comment leurs idées sont accueillies par la population. Dès qu’ils sentent de l’hostilité, ils disent qu’il s’agit de racontars, conjectures, bruits de couloirs, bruits de chiottes et rumeurs de bouchère. Quand ils voient que l’idée est accueillie par la population de manière favorable, ils l’appliquent. Or, pendant que le «concubinocrate» Azali Assoumani complotait avec les Mohéliens de Bête-Salam pour retourner à la Présidence de la République de la manière dégueulasse et anticonstitutionnelle que tout le monde sait, des vioques séniles, gagas et gâteux ont haineusement commencé à parler de leurs assises du cul et du zizi pour chercher à savoir qui a couché avec qui depuis le 6 juillet 1975, date de la proclamation de l’indépendance des Comores. C’était le 11 août 2015 que les vioques momifiés, fossilisés et puant la naphtaline ont commencé à sortir de leurs bandelettes, formol et sarcophages. Et tout de suite, les idées stupides, dans un mépris total: «Pas d’élection présidentielle en 2016 si le bilan de l’indépendance n’est pas fait», ont-ils henni et aboyé.

Pour une fois, Ikililou Dhoinine et ses Mohéliens de Bête-Salam ont été corrects: ils ont demandé aux vioques d’aller se faire cuire un œuf. Or, depuis la mi-2017, le dictateur Azali Assoumani a commencé à tresser la corde par laquelle il sera pendu: il a accepté la tenue des assises du cul et du zizi en 42 ans d’indépendance. Normalement, son rôle était d’accepter cette immense supercherie, de fournir un cadre aux haineux qui en font la promotion pour voler l’argent de l’État et faire éclater les Comores, et attendre leur rapport débile. Or, en quelques jours, l’homme qui devait attendre que ses complices gâteux aillent blablater et radoter a pris leur place. Il a tout simplement perverti les rôles et est devenu le promoteur d’un projet criminel né dans le cerveau de vioques qui, quand ils pouvaient marcher seuls, voir, entendre et faire d’autres choses, n’ont jamais fait preuve de la moindre intelligence.

En d’autres termes, c’est le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani lui-même qui tire les ficelles des gagas haineux pour pouvoir rester au pouvoir à vie, ad vitam æternam, à mort et jusqu’à ce que mort s’ensuive. Quand il va dans les hameaux, villages et villes pour danser et chanter, il croit que les gens l’aiment et apprécient sa violence proverbiale jusqu’à ce que plus violent que lui le tue pour l’empêcher de continuer à nuire. Il se trompe lourdement. Les Mohéliens et les Anjouanais le détestent et le méprisent depuis qu’il a décidé de supprimer la présidence tournante contre eux. À la Grande-Comore, il est également méprisé et détesté pour l’arrogance avec laquelle sa famille et lui-même tuent les Comores.

À la décharge du Sultan Tibé Azali Assoumani, il n’est pas un intellectuel mais un soudard. Il ne sait pas lire l’Histoire. Un rappel. Les Comores avaient un Président doté d’un charisme incommensurable et qui était arrivé à modifier la Constitution pour convenance personnelle chaque fois qu’il le voulait. Contre lui, personne ne pouvait se présenter à une élection. En octobre-novembre 1989, le projet de révision constitutionnelle devant faire de lui un Président à vie en a fait un Président à mort. Ce Président n’est autre qu’Ahmed Abdallah Abderemane. C’est le jour de sa mort qu’il a ouvert les yeux et a dit à son ami Saïd Mohamed Djohar qu’il venait de se rendre compte de toutes ses erreurs envers le peuple comorien. Ses regrets ont été très tardifs.

Alors, il est temps de dire à l’autiste Azali Assoumani une seule chose: comme les Comores sont un pays du Tiers-monde, il pourra modifier la Constitution comme il le voudra, mais ne survivra pas à cette révision constitutionnelle. Il va mourir en même temps que la Constitution contre laquelle il s’acharne. Il est donc temps pour lui de redescendre sur terre avant que la mort ne le fauche de la plus violente des façons.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 11 août 2017.


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One Comment

  • mdjassiri

    août 11, 2017 at 5:46

    Après s’être déchaîné des années et des années souvent à raison que le “ventriloque, ventripotent, ventru, danseur de bamping, concubinocrate” Azali Assoumani, te voilà soudain pris de compassion pour lui. Laisse le “tresser la corde par laquelle il sera pendu”. Peut-être qu’il veut mourir dans “l’exercice de ses fonctions”. Comme Ahmed Abdallah Abederemane, son objectif serait : “sitsaha nife mfalume”. C’est le meilleur service qu’il rendrait aux Comores. Laisse le mourir à Beit-Salam. Pour une fois dans sa vie, il n’aurait pas déserté son poste.

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