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Le candidat du Juwa était choisi par Assoumani Azali

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Le candidat du Juwa était choisi par Assoumani Azali

Ahamada Mahamoud était imposé aux collabos du Juwa

Par ARM

       Il se passe de drôles de choses au Juwa, le parti politique d’Ahmed Sambi. Les actions qui sont menées par certains au sein de cette formation partisane relèvent de la pure trahison. Les guerres fratricides y sont devenues légion. C’est un cacique du Juwa qui a fait nommer Jimmy Adam au sein de l’opposition, alors que l’intéressé est un indic de Fakri Mradabi et du faux-monnayeur Daoud Halifa, deux chaouchs du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Ahmed Hassane El-Barwane et Ibrahim Mohamed Soulé se toisent et se méprisent. Ahmed Hassane El-Barwane ne veut pas entendre parler de Maître Fahmi Saïd Ibrahim et du Député Tocha Djohar Abdallah.

Ibrahim Mohamed Soulé, secrétaire général du Juwa lors de la mascarade électorale de 2016, déteste Fahmi Saïd Ibrahim, choisi candidat du Parti à sa place par Ahmed Sambi. Deux importantes personnalités du Juwa s’apprêtaient à trahir Ahmed Sambi en 2021 pour ce choix pourtant intelligent de 2016. Au cours d’une récente réunion, Ahmed Bourhane devait désigner les traîtres du Juwa. Comme il est Anjouanais et comme les deux traîtres les plus abjects sont Ahmed Ben Saïd Jaffar et le «Docteur» Sounhadj Attoumane, tous deux originaires d’Anjouan, il a voulu «nationaliser» la trahison, en y incluant Maître Fahmi Saïd Ibrahim. En d’autres termes, le Juwa ne cherche plus ses ennemis à l’extérieur, puisque chacun de ses cadres est l’ennemi de l’autre, mais à l’intérieur.

Comme le climat est aux règlements des comptes au sein du Parti, et comme chacun est prêt à trahir l’autre pour se venger de lui, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri n’a eu aucun mal à manipuler les petits épiciers aigris du Juwa pour leur imposer son candidat lors de l’élection qui n’a pas eu lieu le 24 mars 2019: Maître Ahamada Mahamoud, qui n’a aucune expérience politique et qui a du mal à se faire accepter politiquement dans sa propre région d’origine. Ces traîtres, bien installés au sein du Juwa, ont pactisé avec l’ennemi qu’est le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri dans un seul but: empêcher Fahmi Saïd Ibrahim d’être de nouveau le candidat du Juwa, malgré sa notoriété, et nonobstant son arrivée à la troisième place en 2016, avant que les Mohéliens de Bête-Salam ne repêchent et n’intronisent anticonstitutionnellement et frauduleusement le «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri. Récemment, cet acteur politique comorien expliquait que le Juwa était le contraire d’une Armée mexicaine: il y a trop de soldats et pas assez d’officiers. Pauvre Ahmed Sambi, qui a donné le biberon à des serpents même au sein de son propre parti.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 12 novembre 2019.


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