La rencontre de deux fraudeurs électoraux amateurs
Hamada Madi Boléro et Kiki ont beaucoup à apprendre
Par ARM
Question à 1 kopek rouillé et troué de la taïga d’Ukraine retrouvé dans les affaires du fugitif international Hamada Madi Boléro, ancien étudiant en Rien en Ukraine, à l’époque de l’URSS: quel est le trait commun entre le même fugitif international Hamada Madi Boléro et Kiki? La réponse est simple: ce sont deux amateurs en fraude électorale. Ils sont amateurs parce qu’ils ne savent pas qu’une fraude électorale s’organise en amont, et jamais en aval et le jour de l’élection. Ces deux voyous doublés de voleurs de poules ne savent pas que, quand on fraude une élection, on fait tout pour éviter les polémiques post-électorales car elles peuvent être mortelles. On y met les formes et on sauve les apparences. On fait en sorte que la fraude électorale se présume seulement, ne soit pas visible, et qu’elle ne provoque pas des émeutes. En 1990, Omar Tamou avait été plus «professionnel». Or, la seule chose qui compte pour le fugitif international Hamada Madi Boléro et Kiki, c’est frauder, même au prix de vies humaines.
1.- En 2002, c’est le fugitif international Hamada Madi Boléro, chef d’État par intérim, qui organisa la fraude électorale qui attribuera au poète électoral divin Assoumani Azali Boinaheri «100%» des suffrages, les deux adversaires du fou de Mitsoudjé ayant refusé de cautionner cette mascarade. La polémique a duré un mois, et il avait fallu faire venir aux Comores des «juristes» étrangers qui ne savaient rien de l’élection elle-même. Amateurisme!
2.- En 2016, le fugitif international Hamada Madi Boléro refait son amateurisme à «104%» avec le «Docteur» Ahmed Mohamed Djaza, son pote d’URSS. Maître Fahmi Saïd Ibrahim passa de la 3ème place à la 4ème, et le danseur de Bumping de rues Assoumani Azali Boinaheri de la 4ème place, éliminatoire, à la 3ème, dans une débauche de saletés conduisant au vote en 3ème tour de 3.000 électeurs sur les 11.500 empêchés de voter par les acolytes du fou furieux de Mitsoudjé. Quelque 8.500 électeurs ont donc été empêchés de voter à Anjouan.
3.- La mascarade référendaire de Kiki le 30 juillet 2018 mobilisa moins de 5% des électeurs et finit dans le sang avec des mains coupées, à la demande du même Kiki et de son chef, le dictateur fou de Mitsoudjé. Les Comoriens se bagarraient comme des chiffonniers.
4.- Le 24 mars 2019, Kiki a répété les saletés de 2018, et le très détesté chanteur électoral Assoumani Azali Boinaheri, vomi par tous les Comoriens, fut déclaré élu à «60%». 4 jours plus tard, la dictature de Mitsoudjé assassina de sang-froid 4 officiers de l’Armée comorienne.
5.- En janvier et février 2020, l’opposition refusa toute participation à la nouvelle mascarade, et Kiki fut dénoncé dans son propre camp par les siens. Les prétendues élections ont été une longue suite d’inélégances entre voyous. Les bandits se bagarrent entre eux. On passa de «104%» en 2016 à «104,5479%» en 2020.
Le fugitif international Hamada Madi Boléro est chaque jour humilié par les séides du poète Assoumani Azali Boinaheri, mais, comme il ne sait pas ce que signifie le mot «honte», il continue à ramper devant des minables qui l’humilient. Son mandat au secrétariat général de la Commission de l’océan Indien prend fin dans quelques jours. Il cherche à se faire caser auprès de la dictature de Mitsoudjé. Il se voit Président en 2026-2031, mais doit compter avec moi, parce que je serai devant lui pour causer sa perte, une perte somme toute prévisible, prévue et attendue de longue date. Les Mohéliens ont fait une prière de malédiction électorale sur lui, et j’en serai le bras. Je tenais à l’avertir dès maintenant. Ça sera vie contre vie. Vie contre vie. Sa vie contre ma vie, sans la moindre pitié. Il ne sera pas Président des Comores.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 28 février 2020.