Fou, Assoumani Azali est irresponsable de ses actes
Sa folie le mettra à l’abri de toute poursuite judiciaire
Par ARM
Les signes prouvant que le poète électoral divin Assoumani Azali Boinaheri est fou sont de plus en plus nombreux. Cet individu prouve sa folie par des actes malheureux et par des paroles malheureuses. Il a fait reculer toutes les barrières de la honte, en actes et en paroles, et compte sur la lâcheté des siens pour se faire applaudir, même quand il traite les Mohéliens et les Anjouanais de sous-hommes, fraude les élections à ciel ouvert et dans une stupidité totale, tue en public des officiers qu’il a emprisonnés sans motif légal avant de se rendre à leurs domiciles, fait exiler presque toute la classe politique du pays, emprisonne la plupart des opposants, vole sans vergogne l’argent du peuple comorien, tue le Droit, la politique et les institutions nationales, jette en prison les adversaires sans les juger…
L’ancien Premier ministre Ibrahim Halidi Abderemane vient de mourir d’un accident vasculaire cérébral (AVC). Depuis longtemps, il se salissait la bouche et les mains pour soutenir un dictateur inculte, borné et assassin. Il disposait d’un passeport diplomatique. Il lui suffisait d’une prise en charge pour avoir un visa pour Mayotte. Son chef, le poète Assoumani Azali Boinaheri, a refusé. Alors, Ibrahim Halidi Abderemane est arrivé clandestinement à Mayotte, pratiquement mort. Quelques heures plus tard, il en mourut. Aujourd’hui, le dictateur fou de Mitsoudjé assume devant la communauté nationale et la communauté internationale la lourde responsabilité de faire mourir publiquement et à petit feu l’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi et veut l’obliger à aller se faire tuer en Arabie Saoudite, une dictature médiévale qui assassine ses dissidents dans ses Consulats avant d’en faire disparaître toute trace à l’acide, et qui avait osé séquestrer Saad Hariri, alors Premier ministre du Liban, jusqu’à ce que les pressions diplomatiques de la France en viennent à bout. Séquestrer un Premier ministre étranger!
Aujourd’hui, le chanteur Assoumani Azali Boinaheri donne de plus en plus de lui l’image d’un fou sans la moindre humanité. Même le «pompier» Anissi Chamsidine a fini par le comprendre, et le dit publiquement. Le seul qui ne l’admettra jamais est le très complexé fugitif international Hamada Madi Boléro, qui refuse de comprendre que depuis sa trahison charnelle dans une suite d’hôtel à Dubaï, le jour où ce fou maudit aura l’occasion de l’assassiner, il le fera sans remords. En même temps, le danseur Assoumani Azali Boinaheri tombera bientôt. À sa chute, il faudra lui marcher sur la tête et même la trancher parce qu’aucun Tribunal au monde ne sera compétent pour juger un fou. Sa folie le met à l’abri de toute poursuite judiciaire. On ne condamne jamais les fous.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 28 février 2020
