La prostitution des «religieux» comoriens, un fait ancien
Ces Tartuffes méprisent Dieu et écrasent le peuple comorien
Par ARM
Le naufrage honteux de Mohamed Bajrafil auprès du dictateur Assoumani Azali Boineheri indigne et scandalise les Comoriens. En ce moment de deuil pour le peuple comorien, Mohamed Bajrafil rampe devant un dictateur violent, usurpateur, tuant, exilant, torturant, volant et méprisant les Comoriens, insultant Dieu dans chacun de ses faits et gestes, interprétant de façon erronée le Coran pour ses propres besoins. J’avais entendu parler du personnage à Paris par des amis de Mamoudzou, Mayotte. Je l’ai rencontré une seule fois, dans le Val-de-Marne, en région parisienne. Il a perdu tout le respect et l’estime des gens. Il est devenu le complice d’un tyran athée et impie. Pis, il a mêlé Dieu à ses rampements et reptations de serpent à la langue fourchue. Comment un homme qui passe sa vie à parler de Dieu a-t-il pu se rabaisser au niveau d’un dictateur aussi vulgaire, inculte et subalterne?
Pour les Comoriens, Mohamed Bajrafil, nommé Ambassadeur du dictateur Assoumani Azali Boinaheri à l’UNESCO et chargé de lui trouver des caves pour «diriger la prière», est un mécréant, un hypocrite et un Tartuffe de bouiboui. Aucun intellectuel sérieux et crédible, même avec un salaire d’un million d’euros par mois, n’accepterait de servir de caution à un tyran. Un homme qui aime son pays sert son pays et non un tyran impie. Or, les Tartuffes pullulent sur la scène politique comorienne, et comme «l’Islam» est la propriété personnelle des «religieux» de Grande-Comore, tous ces hypocrites sont grands-comoriens, étant décrété que Mohéli et Anjouan sont indignes et incapables de fournir des religieux.
1.- Le «religieux» Saïd Abdallah Rifki, secrétaire général et n°2 du Département mafieux du Mufti-Cardinal Saïd Toihir Ahmed Ben Saïd Ahmed Maoulana, a fait de la prison début 2013 pour sa complicité dans un trafic d’alcool. Le jour de sa sortie de prison, son cou a failli se briser sous le poids des couronnes de jasmin apportées par des gens qui avaient passé la nuit devant la prison de Moroni. Il sévit toujours au Département mafieux du Mufti.
3.- Mohamed Kabir Abdoul-Anziz, qui «enseigne» bêtises et mensonges sur «l’Islam» à des naïfs et crédules comoriens à Paris, est Satan. Ikililou Dhoinine l’avait nommé Ambassadeur en Arabie Saoudite, avant de le limoger brutalement à cause de ses actes de bandit. Je l’ai vu à Paris se faire traiter de Dieu par ses disciples plongés dans le culte de sa personnalité au point de boire les restes d’eau dans les verres où il avait bu! Cette honte a eu lieu dans les Yvelines, en région parisienne. Mohamed Kabir Abdoul-Anziz est Satan. J’ai entendu ses élèves répéter les monstruosités et billevesées qu’il leur fout dans les crânes!
4.- Le Mufti-Cardinal Saïd Toihir Ahmed Ben Saïd Ahmed Maoulana est mort dans la honte en 2020, après avoir cautionné tous les méfaits du tyran Assoumani Azali Boinaheri.
5.- Aboubacar Saïd Abdillah Djamalillaïl, le Mufti actuel, est un vil serpent mendiant auprès du dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Au lieu de lui demander d’arrêter le massacre du peuple comorien, il se tait obstinément. La seule fois où il a ouvert la bouche en public, c’était pour exprimer sa haine envers l’ex-Président Abdallah Mohamed Sambi, qu’aucun magistrat n’a jugé coupable, qu’aucun Tribunal n’a condamné, mais qui croupit en prison, à domicile, depuis le 19 mai 2018. Aboubacar Saïd Abdillah Djamalillaïl est inhumain.
Ces Tartuffes sont inhumains. Ils sont punis un à un par Dieu. Le tour de Mohamed Bajarafil et Aboubacar Saïd Abdillah Djamalillaïl viendra. Mohamed Kabir Abdoul-Anziz et Saïd Abdallah Rifki ont déjà été humiliés.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 15 novembre 2021.
