Azali est à Paris pour «diriger la prière» dans une cave
Cette escapade parisienne en dit long sur son net désespoir
Par ARM
Les Comores sont en crise dans tous les secteurs. Tous leurs voyants sont au rouge sang: Droit, institutions, économie, société… Quand un pays tombe dans un tel ravin, les dirigeants, quand ils sont réalistes, changent d’orientation et adoptent une politique réaliste pour sauver un peuple en danger de mort. Or, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri part de Glasgow, en Écosse, en Europe, pour les Émirats Arabes Unis, en Asie, avant d’aller à Paris, en France, en Europe. Il est qui pour imposer un tel gaspillage de l’argent public au peuple, étranglé au portemonnaie et à la ceinture? Un dirigeant normal aurait quitté l’Écosse pour la France, en Europe, avant d’aller aux Émirats Arabes Unis, en Asie, sur la route des Comores.
Pis, son retour en Europe n’a aucune nécessité. La conférence sur la paix à Paris a bon dos. Personne n’a besoin du tyran ignare et violent pour sauver la paix dans le monde. Le monde se passera parfaitement du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, même pour parler de la paix. Profitons de l’occasion pour dire un mot sur la persistance de la guerre afin de démontrer que la présence coûteuse du dictateur de Mitsoudjé à Paris est tout à fait injustifiée.
À Paris, la présence du dictateur Assoumani Azali Boinaheri est inutile pour arrêter les conflits et sauver le monde parce que «la guerre est le phénomène social le plus constant. Elle est la plus importante des relations entre les peuples. Sur trois mille quatre cents ans d’histoire connue, il n’y a que deux cent cinquante ans de paix générale»: Maurice Torrelli: Droit international humanitaire, PUF, Collection «Que-sais-je?» n°2221, Paris, 1985, p. 3. Bien plus, «si en effet un conflit mondial a pu être évité jusqu’ici, cela ne saurait faire oublier le nombre considérable de guerres “locales” que notre planète a connues depuis 1945. Assez souvent, à l’ombre de la dissuasion nucléaire réciproque, des formes de guerre ont proliféré, limitées par le nombre de leurs participants, par leur extension géographique et par la nature des moyens engagés. Tout se passe alors, dans ces cas, comme si les grandes puissances, au lieu de s’affronter directement, ce qui risquait d’embraser la planète entière, recouraient à des conflits locaux par petits États interposés. Ce type de relations internationales, s’il sauve l’humanité de l’anéantissement atomique, n’en constitue pas moins une forme peu acceptable de ces rapports. Les Instituts de polémologie font observer que le monde n’a connu que… 26 jours de paix depuis la Seconde Guerre mondiale. Si on adopte d’autres critères moins rigoureux de ce qu’est un jour sans guerre, on obtient, selon d’autres calculs, trois jours de paix totale par an dans le monde, ce qui n’est pas réjouissant»: Mohammed Bedjaoui: Article 1 (Commentaire général), in Jean-Pierre Cot et Alain Pellet: La Charte des Nations Unies. Commentaire article par article, Préface de Javier Perez de Cuellar, 2ème édition, Economica, Paris, 1991, p. 29.
Le tyran Assoumani Azali Boinaheri est à Paris car Mohamed Bajrafil, son Ambassadeur à l’UNESCO, lui a trouvé une cave où il pouvait «diriger» la prière de 100 Marocains, à Ivry-sur-Seine. Quand il tombera, les psys prouveront qu’il est gravement atteint d’une maladie mentale le poussant à diriger les poules et les coqs dans les poulaillers, les prières dans les mosquées, où il est indésirable, et à prononcer le mot de remerciements dans les cérémonies de mariage. En 19 ans passés au Maroc, je n’ai jamais vu le Roi diriger la prière; il prie derrière l’imam. Le tyran Assoumani Azali Boinaheri aime tellement le pouvoir qu’il croit qu’en «dirigeant la prière» même dans une cave de la banlieue parisienne, cela lui confère de l’autorité et du prestige. Pauvre taré! L’argent dépensé pour cette folie furieuse aurait payé le salaire mensuel des enseignants comoriens. Ce tyran a sa place dans un hôpital psychiatrique.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 14 novembre 2021.
