Privilégions désormais la lutte armée aux Comores

Privilégions désormais la lutte armée aux Comores

Stop! Ça suffit, les manifestations et vidéos sur Internet

Par Mohamed Saïd Ali

       Peuple comorien, je vous salue. Que la volonté du peuple comorien soit faite. Que l’année 2020, qui s’approche, soit vécue en l’absence totale et définitive du criminel et malade pathologique Azali Assoumani. Que la volonté du peuple comorien soit faite, et que ce tyran ne puisse voir cette année 2020, Incha Allah. Si Dieu le veut.

Je voudrais interpeler notre valeureuse diaspora sur un point capital: jusqu’à maintenant, le monde entier a vu et entendu de ce que le mort-vivant Azali Assoumani et sa bande de mafia font des Comores, des Comoriens, aux Comores, aux Comoriens. La communauté internationale ignore le peuple comorien dans sa souffrance; ce qui n’est juste. Ce qui le plus égoïste et immoral vient de cette communauté internationale qui, à longueur des journées, parle du terrorisme au Sahel, arguant du fait qu’il faut l’éradiquer par tous les moyens. Or, elle est complice d’Azali Assoumani, pour la dérive sanglante et mortelle aux Comores. C’est comme si, pour que la communauté internationale aide le peuple comorien à se débarrasser du mort-vivant Azali Assoumani et de ses voyous, il faut d’abord que les Comoriens se transforment en terroristes, une éventualité qui risque de se matérialiser.

Il n’y a pas de différence entre les terroristes qui ont fait du Sahel le cancer de l’Afrique et le mort-vivant Azali Assoumani, qui a transformé les Comores en pays de mort et de deuil. Alors, mes chers compatriotes installés à l’étranger, surtout en France, je voudrais vraiment vous dire qu’il est temps de dire «Stop». Stop aux manifestations! Stop aux vidéos de menaces sur Internet! Stop aux débats sur la dictature du mort-vivant Azali Assoumani. On aura beau crier, dénoncer, se bagarrer dans les aéroports, devant les ambassades, devant les chancelleries, on aura beau aller jusqu’à la tribune des Nations Unies, de l’Union européenne, de l’Union africaine, pour dénoncer la dictature du mort-vivant Azali Assoumani, mais la communauté internationale restera inactive, sourde, aveugle, muette et indifférente à la cause sacrée des Comores.

Il est temps de nous prendre en main nous-mêmes, de prendre en main le destin de notre patrie, en commençant la lutte armée. Je le redis: le mort-vivant Azali Assoumani a dans sa conscience troublée de fou qu’il est réélu le 24 mars 2019, qu’il s’apprête à faire un mandat de 5 ans renouvelable. Il est donc inutile d’essayer de le faire raisonner. Il a choisi la voie de l’hostilité, de la violence, de la répression et de l’oppression, et nous devons utiliser les mêmes armes contre lui, jusqu’à sa disparition. Il n’est ni invincible, ni immortel. Pourquoi alors nous le combattons par la voie de la raison, de la démocratie et du Droit, au lieu de prendre les armes? Azali Assoumani est de nature brutale et hostile, malgré qu’il soit le plus grand peureux de l’Armée comorienne. Alors, il faut au plus vite lui répondre par l’hostilité et la brutalité par la lutte armée. Comment se fait-il qu’il fait le tour du monde et revient à Beït-Salam sans être inquiet? Nous devons envisager pour lui un voyage de non-retour. Si le mort-vivant Azali continue de plus en plus à chiffonner le peuple comorien et si nous lui répondons par des intimidations et menaces, alors nous serons loin de gagner la bataille. Prenons les armes et déclenchons la bataille finale contre cet assassin!

Par Mohamed Saïd Ali

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© www.lemohelien.com – Lundi 9 décembre 2019.