L’année 2020 sera meilleure sans Assoumani Azali
Fatigués, les Comoriens doivent en finir avec le tyran
Par ARM
Les Comoriens crient leur dégoût, colère et haine envers le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». En France, depuis mars 2019, et de plus en plus aux Comores depuis décembre 2019, le Comorien est dans la rue pour dire qu’il ne reconnaît aucune légitimité à ce dictateur qui n’en a jamais eu. Le Comorien ne veut plus entendre parler de ce dictateur. Sur l’image, il est sur une embarcation, et ce Comorien qui veut lui succéder y voit un Pharaon d’Égypte plein de morgue et suffisance, navigant sur le Nil avant d’être englouti par la mer Rouge.
En réalité, sa «Ripoux-blique» de Mitsoudjé est un château de cartes. Elle n’a aucune base populaire. Certains militaires veulent le tuer, mais aucun ne fait confiance à l’autre. Sa satrapie est tombée tellement bas que maintenant, elle maltraite les femmes, après avoir emprisonné illégalement, placé en résidence surveillée illégalement et exilé par l’oppression et la répression presque toute l’opposition comorienne. La répression s’abattant sur les femmes viole toutes les règles de l’humanité, dans toutes les civilisations et aires culturelles.
Bons Musulmans, les Comoriens ont à l’esprit les conseils du Khalife Abou Bakr à ses chefs militaires: «Souvenez-vous que vous êtes toujours sous le regard de Dieu et à la veille de la mort; que vous rendrez compte au Dernier Jour… Lorsque vous combattrez pour la gloire de Dieu, conduisez-vous comme des hommes, sans tourner le dos, mais que le sang des femmes, ou celui des enfants et des vieillards ne souille pas votre victoire. Ne détruisez pas les palmiers, ne brûlez pas les habitations, les champs de blé, n’abattez jamais les arbres fruitiers, et ne tuez le bétail que lorsque vous serez contraints de le manger. Quand vous accordez un traité ou une capitulation, ayez soin d’en remplir les clauses. À mesure que vous avancerez, vous rencontrez des personnes religieuses qui vivent dans les monastères (moines) et qui servent Dieu dans leur retraite: laissez-les seuls, ne les tuez point, et ne détruisez pas leurs monastères». Le Khalife Omar Ibn Al-Khattab tenait le même discours: «N’opprimez personne, car Dieu n’aime pas les oppresseurs; ne soyez pas lâches dans le combat, cruels dans la force, ni abusifs dans la victoire. Ne tuez ni vieillard, ni femme, ni enfants, et craignez de les tuer dans les rencontres d’escadrons ou dans les incursions de cavalerie».
Aujourd’hui, la femme comorienne est pourchassée dans la rue, jetée en prison, «jugée» et condamnée pour avoir eu à la bouche les mots «démocratie», «État de Droit» et «droits de l’Homme». Les salaires ne sont plus versés parce qu’il fallait financer une conférence bidon à Paris. Les salaires qui sont versés subissent des coupes injustifiées. La famille dictatoriale tue le pauvre Attoumani Ali Hamidi en Inde pour voler ses organes. Le vol de l’argent du peuple comorien a atteint des proportions inégalées. Aucun dirigeant comorien n’a été maudit par le peuple comme le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, poussé par la folie lui faisant croire qu’il peut continuer ainsi jusqu’à «l’horizon 2030». Toutes les libertés sont supprimées. L’année 2020 est aux portes de l’humanité entière, et les Comores ne resteront pas en 2019 pendant que le reste de l’humanité sera en 2020. L’année 2020 sera meilleure sans le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri, et pour ce faire, les Comores doivent se débarrasser de lui avant le 31 décembre 2019. Cette mort sera salutaire pour l’humanité entière. La parole doit être suivie d’actes de violence pour débarrasser les Comores de ce dictateur inculte et sadique. Ce dictateur débile est de trop dans ce monde, et les Comoriens méritent de vivre.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 12 décembre 2019.
