• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • Honteux! Boléro et Msaïdié ridiculement habillés au «mariage d’État» à Mitsoudjé

Honteux! Boléro et Msaïdié ridiculement habillés au «mariage d’État» à Mitsoudjé

Partagez sur

Honteux! Boléro et Msaïdié ridiculement habillés au «mariage d’État» à Mitsoudjé

Leur accoutrement indigne, indécent et malsain énerve le Tout-Mitsoudjé et environs

Par ARM

     Le cher enfant de 61 ans… Le pauvre chéri… Le fugitif international Hamada Madi Boléro dit Ebola ou «Makridine», «La Magouille pour Religion», fait pleurer les âmes charitables. «Apatrîle», donc sans identité insulaire, ni villageoise, qui se sait vomi par la Grande-Comore et craché par Mohéli, il a tout fait pour organiser son prétendu «grand mariage» chez son père à Chouani, Grande-Comore, espérant avoir, enfin, une existence sociale, villageoise, communautaire et insulaire. À l’annonce de la nouvelle, à Poteau Central, haut lieu des intrigues sociales et politiques à Djoiezi, où notre belle jeunesse lui avait été décerné les pires injures le 1er mai 2014, dans le tract historique «Kala Wa Dala», on estime avec mépris que son truc matrimonial n’est pas un fait social qui vaut qu’on s’y arrête. On s’en fout!

     Or, dès la célébration de son truc matrimonial, il arbore la tenue ridicule censée consacrer sa «noblesse» née du vide. Dans tout évènement social et communautaire, il s’affiche avec cet accoutrement ridicule, pathétique et indigne, qui lui fait ressembler à un sorcier de bas étage. Ce n’est pas bien. Il serait très bien en simple boubou blanc ou en costume occidental. Il peut porter même des feuilles de bananiers, mais pas cette tenue malsaine. De grâce! Son turban au cou lui donne un air encore plus ridicule. Personnellement, ça m’énerve. Notre correspondant à Mitsoudjé ne mâche pas ses mots au téléphone, expliquant à quel point sur place et sur toute la Grande-Comore, la population est en colère, disant qu’elle souhaite que le fugitif international Hamada Madi Boléro arrête d’agresser leur vue par sa tenue excentrique.

     Depuis qu’il subit un contrôle judiciaire l’ayant fait tomber du «tomatier» et que son statut professionnel à Bête-Salam est aussi indéfinissable qu’indéfini, il fait tout pour être vu à Mitsoudjé, le village natal du dictateur Assoumani Azali Boinaheri. De ce fait, il s’y invite même pour les mariages entre coqs et poules. Il veut y être vu. Ça tourne à l’obsession.

     Ici, il assiste à un nouveau «mariage d’État», à l’instant même, dans la matinée de ce dimanche 13 juillet 2025, à Mitsoudjé. Le marié est de la famille du tyran Assoumani Azali Boinaheri. Tous les ministres mendiants, pique-assiettes et fanfarons voulaient y être vus. L’orateur a demandé à l’assistance de prier pour la guérison de Monsieur Neveu Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», dit «Monsieur Pièces détachées», dont le corps, foutu, est justement à moitié composé de «pièces détachées» provenant de celui d’Attoumani Ali Hamidi, qu’il a fait tuer dans une clinique de New Delhi, Inde, pour récupérer les organes.

     Oui, à Mitsoudjé, ce dimanche 13 juillet 2025, le fugitif international Hamada Madi Boléro, qu’on avait vu jadis parler sur son téléphone portable à Hagnamoida, Mohéli, à une époque où il n’y avait aucun réseau téléphonique, donc parlant dans le vide, n’était pas seul. Il était aux côtés de son pote Houmed Msaïdié Mdahoma, l’aboyeur public et insulteur officiel, toujours attendu à la Faculté des Lettres de l’Université de Bordeaux depuis 1982 pour aller finaliser la procédure de son inscription. Le brave homme. La tenue de l’aboyeur public et insulteur officiel Houmed Msaïdié Mdahoma est également indigne, indécent, malsain, folklo, sans classe. Les deux créatures n’ont pas de classe. Ils bluffent en public avec des accoutrements indignes et malsains.

     Officiellement, les deux lascars sont des «Conseillers» de leur chef à Bête-Salam. Naguère, l’anthropologue Ibrahim Barwane avait transformé en «Con à Essayer», et cela pour qualifier l’un de ses proches, qui se dit toujours «Conseiller» du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, après avoir été son liberticide ministre de l’Intérieur ayant interdit les rencontres politiques sauf en périodes électorales. Nous n’avons nommé personne, mais juste évoqué un fait anonyme.

Par ARM

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Dimanche 13 juillet 2025.


Partagez sur

Laisser un commentaire

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.