La «Ripoux-blique» des Comores, 1ère puissance mondiale du faux et usage de faux
Des déclarations des fausses paternités et de fausses maternités, des morts qui vivent
Par ARM
Le fait est de notoriété publique mondiale: les Comores sont la première puissance mondiale du faux et de l’usage de faux, dépassant de très loin les trois premières puissances continentales d’Afrique les plus dangereuses en la matière.
C’est ainsi que 90% des documents administratifs comoriens sur le territoire français sont des faux. C’est ainsi que les Comoriens ont fait de la Préfecture de Mayotte l’administration française qui «brasse» le plus grand nombre de faux documents administratifs. C’est ainsi que, après les fausses déclarations par lesquelles un Comorien de nationalité française peut déclarer être le père de plus de 70 enfants, maintenant, les déclarations de fausse maternité fleurissent comme jardin au printemps, en ceci qu’une femme clandestine comorienne qui accouche au Centre hospitalier de Mayotte (CHM) peut louer jusqu’à 40.000 euros les papiers d’une Comorienne ayant la nationalité française, au moment de l’accouchement, afin de permettre au géniteur du bébé d’avoir des papiers français, en espérant en avoir les siens dans les 5 à 10 ans, par ricochet. C’est ainsi que le frère et la sœur, de même père et de même mère, munis de faux papiers et de fausses identités, peuvent «se marier» à la Mairie, en territoire français, s’embrasser sur la bouche puisque «maintenant, le marié peut embrasser la mariée».
Généreuse et bienfaitrice République, va…
Mais, tout ça, c’est du pipi de chat puisqu’il y a pire: dans certains milieux comoriens, quand un Comorien de nationalité française meurt aux Comores, sa famille ne déclare pas sa mort à l’administration française, et le maintient «en vie» en vendant ses papiers français, parfois à plusieurs personnes, créant des confusions administratives monumentales.
Et voilà qu’une femme originaire du Sud d’Iconi, en Grande-Comore, vivant à Pamandzi, est venue pleurer sur mon épaule en m’expliquant avoir payé 10.000 euros, venus de sa famille à Marseille, pour qu’un faux père déclare être le géniteur de son enfant né en 2020, et que le faux père s’acharne à vouloir se faire payer en plus sur la bête, en voulant coucher avec cette mère de famille ayant à la maison un mari dépassé par les évènements et… dégoûté à vie.
Voici qu’une autre Comorienne vivant alors aux Comores, enceinte jusqu’aux yeux, «monte» à Paris pour aller accoucher. Elle arrive à convaincre son mari qu’il doit convaincre son petit frère afin que celui-ci déclare être le père du bébé à naître. Le faux père accepte. Tout se passe «bien». Et comme tout se passe «bien», quelques mois après l’accouchement, Madame est partie voir le juge pour réclamer une pension alimentaire de 500 euros. Monsieur est un fonctionnaire de rang élevé et perçoit un salaire magnifique. Monsieur le juge fixe la pension alimentaire à… 800 euros, et «papa» se tue depuis pour chercher, vainement, à sortir de ce piège mortel: s’il reconnaît devant l’autorité française avoir déclaré une fausse paternité, il est un homme mort sur les plans administratif et professionnel.
Décidément, le cinquantenaire de l’indépendance des Comores a du bon…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 18 juillet 2025.