Hamada Madi Boléro va bientôt déguerpir de la COI
Quel nouveau rôle de mort va-t-il encore jouer à Moroni?
Par ARM
En février 2020, sera désigné à la tête de la Commission de l’océan Indien (COI) le nouveau secrétaire général de cette organisation sous-régionale, l’homme ou la femme qui va remplacer le fugitif international Hamada Madi Boléro, dont le bilan est négatif à 100%. Et s’il est l’initiateur d’un seul projet, qu’on le dise tout de suite pour que les peuples puissent en prendre connaissance. Les deux Comoriens qui ont dirigé la COI ont été incompétents et nullissimes: Mohamed Caambi El Yachouroutu et le fugitif international Hamada Madi Boléro. Ce dernier voulait y laisser sa marque personnelle en débaptisant la COI, prétendant mensongèrement qu’une organisation internationale (universelle ou régionale) ne saurait s’appeler Commission. Toute personne ayant étudié les Relations internationales de manière sérieuse vous dira qu’une organisation internationale peut s’appeler Organisation, Pacte, Charte, Union, Conférence, Commission, Agence, Conseil, Communauté, Alliance, Ligue, etc.
Les vrais juristes comoriens sont morts de honte en voyant le fugitif international Hamada Madi Boléro s’acharner à débaptiser la COI au nom de son ignorance du Droit international public, dont il se dit diplômé et spécialiste. Quel gâchis! Au même moment, les Comoriens ont compté les années et s’ils avaient pu, ils auraient empêché l’avènement de 2020 car, en février, le successeur du bandit sera désigné, et en juillet, la mission de cet «apatrîle» va prendre fin à la COI, et celui-ci devra retourner aux Comores pour y semer la mort de nouveau. Quand, avec les autres Mohéliens de Bête-Salam, le fugitif international Hamada Madi Boléro a volé la troisième place de l’élection de 2016 à Maître Fahmi Saïd Ibrahim au profit du dictateur fou de Mitsoudjé, à qui il a offert le 2ème tour et le 3ème par un taux inédit de «104%», il était convenu que la présidence tournante allait être maintenue, pour qu’il soit le colistier de l’ivrogne notoire Moustadroine Abdou «Mafitsi» («Foutaises») en 2021, et bénéficier de sa fraude en 2026. Mais, la présidence tournante a été supprimée, même si elle sera restaurée en 2020 pour que les Comores soient dirigées par un Anjouanais de 2021 à 2026, et par moi en 2026-2031. Je suis candidat à l’élection présidentielle de 2026.
Les projets foireux du fugitif international Hamada Madi Boléro sont tous à l’eau. Il est plus que jamais l’ennemi du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Ce dernier oublie les fraudes électorales que le bandit «apatrîle» a organisées en sa faveur en 2002 et en 2016, mais se souvient très bien de sa trahison par la chair et dans la chair dans une suite d’hôtel de Dubaï, refusant de jeter la rancune à la rivière. Il a juré d’avoir sa peau pendant que le fugitif international Hamada Madi Boléro multiplie les gestes de soumission et de servilité à son égard. Depuis 2019, les hommes du dictateur fou de Mitsoudjé ont multiplié les humiliations envers le brigand «apatrîle», mais celui-ci continue à faire la pipe au satrape de Mitsoudjé. Il dit à son entourage qu’il est indispensable et incontournable, mais c’est l’avenir qui nous dira ce qu’il en sera exactement.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 17 janvier 2020.
