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Hamada Madi Boléro est haï par sa «Ripoux-blique»

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Hamada Madi Boléro est haï par sa «Ripoux-blique»

Mohamed Elamine Souef vient de lui sauver la peau à la COI

Par ARM

     Houmed Msaïdié Mdahoma, nouveau porte-parole de la «Mouvance présidentielle» et émérite pionnier mondial de «l’hermaphrodisme politique» et de «l’œcuménisme partisan», grand «navigateur» qui «navigue» d’un courant de mendicité politique à un autre par les effets de son seul fonds de commerce, à savoir sa grande gueule, a fait du fugitif international Hamada Madi Boléro son ennemi intime du moment. Ces derniers temps, le fugitif international Hamada Madi Boléro n’a eu de cesse de saboter les ambitions démesurées de Houmadi Msaïdié Mdahoma, ravalé au rang d’«ancien ministre» pour pouvoir voyager dans les délégations officielles et aller brûler l’argent des Comoriens dans des délégations à l’utilité douteuse à Paris (Quai d’Orsay) et à New York (ONU). Pour tout dire, Houmed Msaïdié Mdahoma déteste à mort le fugitif international Hamada Madi Boléro, et a effacé tous ses numéros de téléphone de son répertoire. Il veut sa mort.

En même temps, un autre cri de haine plus puissant monte des entrailles de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Deux raisons spécifiques expliquent la soudaine haine déclarée de la «Républiquette» de Mitsoudjé contre son fugitif international Hamada Madi Boléro.

1.- Première raison. La «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, sachant le désaveu frappant sa goujaterie référendaire du 30 juillet 2018 à la fois par les Comoriens et par la communauté internationale, voulait un vernis de validation internationale. Aucune chancellerie ne s’associa à la saleté référendaire. Le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», se tourna alors vers son pote le fugitif international Hamada Madi Boléro, qui lui avait organisé la mascarade électorale de 2002 et de 2016. Il lui demanda de dépêcher aux Comores des observateurs de la Commission de l’océan Indien (COI), qu’il dirige. Le fugitif international Hamada Madi Boléro fit quoi? Il saisit l’Union africaine, et refusa de s’impliquer dans ce crime de plus. Le «gouvernement» comorien lança alors une opération visant à le désavouer à la COI, certains de ses membres demandant carrément son renvoi de la COI.

Tout le «gouvernement» était pour son renvoi sauf Mohamed Elamine Souef. Il aurait suffi que le «gouvernement» comorien aille au bout de sa vengeance pour que celui que les jeunes de Djoiezi ont surnommé Dracula et Ebola se retrouve en train de cueillir des mangues dans la campagne située entre Boingoma et Bandar-Es-Salam. Naturellement, le jour où il va croiser sur sa route Mohamed Elamine Souef, il va le décapiter et aller danser sur sa tombe.

2.- Deuxième raison. Le fugitif international Hamada Madi Boléro, reconnu incompétent en tant que secrétaire général de la COI, fait l’objet de nombreuses critiques demandant à le destituer pour inaptitude professionnelle. En plus, les magouilles politiciennes comoriennes qui lui ont valu le surnom horrible de Makridine («Le Religieux de la magouille») lui manquent à Maurice. Le voilà à Mohéli, où il monte un coup au prétexte que le «Colonel» fou Mohamed Anrifi Moustoifa Bacar Madi dit José ou Obama voulait le faire arrêter à Mohéli «pour terrorisme». Or, le fugitif international Hamada Madi Boléro sait très bien que José, surnommé «Mgna Mroni» («Celui qui fait caca à la rivière») par la Mère de Chamou, est complètement fou. Fou!

Du siège de la COI, il lança une campagne internationale tendant à expliquer que sa vie et sa sécurité sont menacées aux Comores par José, sans même saisir la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Les Comores furent saisies de cette affaire par des étrangers. Ses ennemis intimes à Bête-Salam jugèrent inappropriée sa démarche, et tentèrent encore de le faire tomber du tomatier. Une fois de plus, c’est Mohamed Elamine Souef qui sauva sa tête de truand, mais le jour où il va avoir l’occasion de tuer ce dernier, il le fera dans la joie. «L’hermaphrodite politique» Houmed Msaïdié Mdahoma, qui l’insulte partout, est à la tête de la cabale destinée à l’éloigner du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Demain débute aujourd’hui.

Les loups se dévorent entre eux. Qu’ils s’entretuent, et l’humanité s’en portera mieux.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 3 octobre 2018.


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