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Discours fou d’un dictateur fou plongé dans la folie

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Discours fou d’un dictateur fou plongé dans la folie

«Les excès de langage de certains de nos éminents juristes»

Par ARM

     Avez-vous suivi le discours complètement fou du fou et «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger»? On y retrouve la plus malheureuse et la plus folle des phrases: «Je regrette profondément les excès de langage y compris de certains de nos éminents juristes, et certains comportements d’hommes politiques, qui ont entraîné les débats vers une passion inappropriée». Voilà un dictateur fou entouré de manants sans honneur, ni dignité, ni compassion pour les Comoriens, plongés dans le deuil, le mal-vivre et la misère, un dictateur fou qui sème le deuil, le malheur et la haine, et qui joue les victimes. Il vole, affame, assoiffe, insulte, méprise et humilie les Comoriens, et c’est lui qui parle d’«excès de langage y compris de certains de nos éminents juristes» et «certains comportements d’hommes politiques»? Il aurait dû commencer par dire qui sont ces «éminents juristes» qui sont dans les «excès de langage» et les acteurs politiques qui ont des «comportements» «qui ont entraîné les débats vers une passion inappropriée».

Le «concubinocrate» fou Assoumani Azali Boinaheri a annoncé ce samedi 28 avril 2018 son projet fou confirmant sa folie: il va organiser un référendum qu’il n’a que 5% de chances de remporter. Mais, une fois de plus, il compte sur la violence, la force et la fraude électorale. Le peuple attend avec impatience ce référendum pour rendre gorge au fou de Mitsoudjé. Dès à présent, le «ventriote» fou Assoumani Azali Boinaheri doit savoir qu’il y aura un référendum constitutionnel, mais sous supervision internationale comme en 2006. Sans cela, il n’y aura pas de référendum. Que cela soit dans son esprit fou et dans celui de ses courtisans tout de suite. Le peuple comorien ne va pas laisser une bande de voleurs continuer à le voler en toute impunité comme cela se fait déjà.

Même si nous allons mourir jusqu’au dernier, nous ne laisserons pas la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé tuer le peu qui reste des Comores. Nous sommes prêts à mourir jusqu’au dernier, mais nous ne nous laisserons pas faire. Le Saigneur Assoumani Azali Boinaheri verra mourir beaucoup de Comoriens, mais il ne sera pas vivant pour compter les cadavres. Nous allons mourir dans un affrontement sanglant avec lui. Il doit préparer d’ores et déjà son propre linceul car il y aura tellement de morts aux Comores qu’il n’y aura pas assez de linceuls. Il doit s’attendre à voir aux Comores des Comoriens patriotes qui seront présents au moment de ce référendum, qui va signer son arrêt de mort. Nous allons mourir, mais lui aussi mourra.

Il veut légitimer un référendum criminel et mortel par des assises qui n’ont de «nationales» que le nom car rejetées par le peuple comorien. Contrairement à ce qu’il dit bêtement, ces «Asseyez-vous et taisez-vous!» ne sont pas un «grand rendez-vous historique», mais une manœuvre de haine, divisionnisme et mépris. Il invoque les Accords de Fomboni de réconciliation nationale alors qu’il les a déchirés et interdit par les armes leur célébration. Il remercie des mercenaires comme Abdallah Msa pour leur «grand sens de l’intérêt national» alors que ces criminels ne sont intéressés que par l’argent. Où est le «dialogue inclusif de développement» alors que les Comoriens ont rejeté cette mascarade criminelle?

Alors que les Comoriens l’ont vomi et craché, il ose prétendre que «je compte en effet, conformément aux recommandations entérinées par ces Assises, proposer un processus de modification de notre Constitution, pour consolider l’Unité nationale, la Paix et la Stabilité, et soutenir le renforcement et la préservation des valeurs socioreligieuses, qui fondent notre foi et notre identité». Or, la haine qu’il suscite chez les Comores provient du fait que le peuple sait que c’est le contraire de ce qu’il annonce qui va se produire.

On vomit et le maudit quand il annonce: «Vous serez donc consultés, dans les mois à venir, sur ces modifications, destinées à moderniser et renforcer nos institutions, consolider les acquis démocratiques et l’État de droit, et améliorer la gouvernance des affaires publiques, en vue de favoriser l’émergence de notre pays à l’horizon 2030 et le bien-être du peuple comorien». Son référendum va casser et mutiler les pays, en faire une dictature familiale de Droit, légitimer la mauvaise gouvernance, et avec lui au pouvoir, il n’y aura pas «l’émergence de notre pays à l’horizon 2030 et le bien-être du peuple comorien», mais l’immersion dans la pauvreté extrême et le malheur du peuple.

On veut le tuer quand il dit: «En plus de cette nécessité d’adapter notre Loi fondamentale aux exigences du développement, je dois aussi engager, sans plus tarder, comme le soulignent les recommandations de ces Assises, les mesures indispensables pour: redresser les finances publiques et les sociétés d’État, lutter vigoureusement contre la corruption et les détournements des fonds publics et améliorer la gouvernance de l’Administration publique. Cette lutte sans merci contre la corruption et les détournements des fonds publics, tant réclamés par tous depuis toujours et par les participants des Assises Nationales, ne pourra atteindre ses objectifs, sans la transmission des dossiers tant décriés à la Justice».

C’est honteux et scandaleux! C’est lui, sa femme Ambari Darouèche, sa maîtresse Marie Mayobe dite Marie-Madeleine ou la Préférée de la République, son neveu et voleur notoire Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit» et les autres membres de leur clan de voleurs qui volent l’argent des Comoriens. Comment peut-il alors prêcher la vertu? N’est-ce pas lui qui a supprimé la Commission de Prévention et de Lutte contre la Corruption (CNPLC)?

Il soulève le dégoût quand il ose annoncer que le chantier de la reconstruction «exige notre patriotisme, notre sens élevé de l’intérêt national, notre détermination, notre capacité à exploiter, dans la transparence, les ressources mobilisables de notre pays, et notre volonté de réussir ensemble, dans le dialogue et la participation. Oui, c’est par la mobilisation continue de toutes les forces vives et socioéconomiques de notre pays que nous pourrons relever les grands défis du développement inclusif de notre pays et réussir son émergence pour 2030». De nouveau, le voleur crie «au voleur!». Quant à son «émergence pour 2030», seule la folie qui a détruit son cerveau le pousse encore à en parler comme un perroquet.

Il déclare: «Alors, les échanges, parfois virulents, qui ont émaillés [Sic: «Émaillé» sans «S»] les milieux politiques de notre pays au cours de ces dernières semaines doivent céder la place, au débat et à la préservation de l’intérêt supérieur de la nation». Qui, en dehors de lui-même et de sa famille, malmène «la préservation de l’intérêt supérieur de la nation»? Avant de s’adresser aux Comoriens, ce criminel fou doit s’appeler à la raison et appeler sa famille de prédateurs à la retenue. C’est lui et sa famille qui plongent les Comores dans la souffrance.

Il dit: «Comme vous le savez, la loi relative à la Citoyenneté économique, son adoption, son application ainsi que la gestion des fonds issus de ce programme, ont été controversés et ont sérieusement entaché la crédibilité de l’État comorien, à l’intérieur comme l’extérieur du pays. Je voudrais ainsi vous annoncer et vous assurer qu’avec l’aide des juristes, des moyens nécessaires seront déployés, pour faire la lumière, sur cette affaire plus que délicate». Oui à la lumière sur la «citoyenneté économique», mais non à la justice du plus fort et à la vindicte politique. Que le bambochard Assoumani Azali Boinaheri et son cousin Mohamed Elamine Souef nous en disent plus sur leur propre trafic de passeports à l’étranger, sans même une loi «controversée»! Les «juristes» en cause sont Ibrahim Ali Mzimba et Monsieur Clown, Maître Clous Saïd Larifou, le plus grand émetteur de chèques sans provisions de toute l’Histoire. Un jour, ces criminels qui dévoient le Droit pour la dictature d’une famille affronteront l’œil de l’Histoire, cher à Maître Fahmi Saïd Ibrahim, qui est du bon côté de l’Histoire et du Droit.

Il est criminel de la part du fou de Mitsoudjé de dire: «J’ai dernièrement pris la décision de transférer provisoirement les compétences de la Cour constitutionnelle, suite au constat du non fonctionnement de cette institution et après consultation de juristes éminents de notre pays. Il ne me semble pas utile de revenir sur les débats juridiques qui ont été développés dans un sens ou dans l’autre. La décision est prise, comme m’y autorise la Constitution dans son article 12-3». Aucun article de la Constitution ne permet un tel crime. Qui sont les «juristes éminents de notre pays» qui ont soutenu cette folie? Les Ibrahim Ali Mzimba, Monsieur Clown, Maître Clous Saïd Larifou et d’autres vils mercenaires assoiffés d’argent.

Tristes sires, les Comoriens crachent sur vous et l’Histoire vous a déjà jugés. Coupables!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 29 avril 2018.


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