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La folie d’Assoumani Azali, porté dans un cercueil

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La folie d’Assoumani Azali, porté dans un cercueil

S’il était normal, se serait-il fait porter dans un cercueil?

Par ARM

     Dieu soit loué, les Comoriens ont réagi en bons pères et en bonnes mères de famille. Les plus jeunes ont réagi en enfants de bonne famille. Les langues se délient. Tout le monde reconnaît aujourd’hui que le «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», est fou. Chacun rappelle aujourd’hui que ce sombre individu a commis tel acte en public et qu’un homme jouissant de toutes ses facultés mentales n’aurait jamais agi de la sorte. Bien évidemment, les Comoriens ne pourront pas faire un colloque public et en parler publiquement, mais le débat est lancé sous le manteau. Avant le référendum, la folie du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri occupe la première place au hit-parade des sujets les plus commentés du moment aux Comores. Dans certains milieux, il y a une légère inversion de tendance, mais, mais, mais… l’essentiel réside dans le fait que les Comoriens savent ce qu’il en est. Et en parlent.

Nous avons donc un débat. L’une des preuves les plus citées pour accréditer la thèse de la folie de cet individu est la photo du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri dans un cercueil, non pas en cachette, mais au vu et au su du monde entier, avec, tout autour, des séides et des courtisans gênés mais riant comme des grenouilles, tout en sachant qu’ils assistaient à un spectacle macabre auquel ne se serait jamais prêté un homme sain de corps et d’esprit. Dans un pays démocratique, les partis politiques auraient fait un foin d’enfer pour pousser à la démission un malade mental à la tête de leur État.

Mesdames, Messieurs, vous vivez aux Comores, ou vous vivez à l’étranger, mais suivez au quotidien l’actualité politique des Comores. Vous n’avez pas besoin d’être des grands Docteurs en Intelligence économique ou des polytechniciens pour savoir qu’à ce jour, très rares sont les Comoriens qui voteraient pour le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri, le dirigeant le plus impopulaire des Comores, celui en qui on retrouve tous les maux véhiculés par tous les dirigeants du pays.

Alors, la question que le monde entier vous pose est: voyez-vous les Comoriens voter pour le projet constitutionnel fou devant faire de ce fou le Président des Comores «à l’horizon 2030»? Naturellement, non et non! Alors, comment un dictateur fou va-t-il opérer pour faire accepter son projet constitutionnel fou, que vont rejeter plus de 95% des électeurs comoriens? Un homme normal n’aurait jamais envisagé un tel référendum, qu’il n’a que 5% de chances de remporter. Or, le bambochard Assoumani Azali Boinaheri est tellement fou qu’il refuse de voir en face son échec à venir. Il compte sur la fraude électorale et la violence comme toujours. Il est prêt à un bain de sang pour rester au pouvoir anticonstitutionnellement.

Des bruits de couloirs et de chiottes et des rumeurs de bouchère suggèrent que le fugitif international Hamada Madi Boléro commence à désapprouver les folies de son fou d’«ami» du Hambou comme lui. Les Comoriens ne sont pas dupes. Si le fugitif international Hamada Madi Boléro, surnommé Makridine, «Le Religieux de la Magouille», ou encore Dracula, veut désapprouver le dictateur fou qu’il a frauduleusement et anticonstitutionnellement placé au pouvoir en 2002 et 2016, il doit le faire publiquement. Comme il a décidé de vivre en hérisson, en se cachant sous terre et ne sortant que la nuit, ses petites magouilles souterraines habituelles sont de la gnognotte pour gnangnans qui n’intéresse strictement personne.

Pour sa part, Bellou Magochi a perdu le sommeil. Il trouve que les Comoriens s’intéressent trop à la folie de son chef, lui qui croit que son enrichissement personnel ultra rapide par vol d’argent public est celui de tous les Comoriens. Il ne perd rien pour attendre, Bellou Magochi. Il apprendra bientôt que la chaussure droite se porte au pied droit et la chaussure gauche au pied gauche. Les divagations hasardeuses et criminelles de ses deux sudistes de la Grande-Comore comme lui, Ibrahim Ali Mzimba et Monsieur Clown, Maître Clous Saïd Larifou, estimant qu’il ne faut plus raisonner en invoquant le Droit mais laisser le Saigneur Assoumani Azali Boinaheri saigner les Comores, n’aideront jamais son patron fou à continuer à rester impunément et anticonstitutionnellement au pouvoir. Vos jours au pouvoir sont comptés, chers Messieurs.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 28 avril 2018.


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