Bellou Magochi, l’incorrigible voleur de poules, est haï
Un lancinant cri de haine est lancé contre lui à Foumbouni
Par ARM
Bellou Magochi, Directeur de Cabinet à Bête-Salam chargé de la Défense, est l’un des visages les plus hideux (dans tous les sens du terme) de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. C’est un voleur pathologique. Du reste, c’est une sordide histoire de vol qui lui a valu son poste actuel. Pour rappel, lors de la première kleptocratie du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger» (1999-2006), Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit» avait volé de l’argent et du matériel au ministère de la Production. Sous le régime politique d’Ahmed Sambi (2006-2011), le ruffian Idaroussi Hamadi avait atterri en prison. Il fut libéré «provisoirement» à la suite du faux témoignage retentissant de Bellou Magochi. En récompense, «Tonton-m’a-dit» le fit nommer Directeur du Cabinet du dictateur fou de Mitsoudjé en charge de la Défense, un poste de premier plan dans lequel il n’a aucune compétence.
Depuis, le 26 mai 2016, Bellou Magochi a volé beaucoup d’argent, incluant celui de l’achat de poussifs groupes électrogènes d’occasion vendus au prix du neuf, trafic des billets d’avion et dotations étatiques pour le pèlerinage aux Lieux Saints de l’Islam, etc.
Aujourd’hui, Bellou Magochi est l’un des dirigeants les plus détestés et les plus méprisés des Comores. On aurait pu croire qu’il est haï ailleurs mais qu’il est aimé à Foumbouni, sa ville d’origine, située au Sud de la Grande-Comore. Or, l’épicentre du cri de haine lancé contre lui se trouve bel et bien à Foumbouni. Bellou Magochi est considéré à Foumbouni comme un parasite dangereux qui a mis à sac cette ville lors de son passage à la tête de sa Mairie. Pour tout dire, il est détesté à mort à Foumbouni. Il ne se trouve aucun Foumbounien, ni Foumbounienne parlant du bien de Bellou Magochi sauf, bien sûr, ses acolytes, se recrutant parmi les souteneurs et les bordeliers. Ceci est d’autant plus vrai que quand on entend juste le nom de Bellou Magochi, on crache vite fait par terre comme si on a du poison dans la bouche. C’est vous dire…
Il est édifiant de constater que si un jour, il est en danger de mort quelque part, 99,5% des Foumbouniens prieront pour qu’il ne soit pas sauvé, et même sa famille paternelle participera à ces prières pour qu’il meure. C’est une vérité. Oui, c’est la vérité sur Bellou Magochi, l’individu qui s’habille comme un cancrelat du Mato Grosso.
Quand il était «Maire» de Foumbouni, on lui avait confié la somme de 40 millions de francs comoriens (81.300 euros) pour construire un nouveau marché, plus moderne. Or, que fait-il? Il a détruit l’ancien marché, construit par Saïd Hassane Saïd Hachim. À la place, il n’a pas construit un marché comme cela était prévu, mais une sorte de maison d’habitation. Oui, il a construit une sorte de maison, car, premièrement, ce prétendu «marché» est entouré de quatre murs. Deuxièmement, il y a une partie de ce «marché» où Bellou Magochi et ses acolytes ont construit des chambres. Mesdames et Messieurs, où avez-vous vu un marché du pays entouré de 4 murs? Nulle part. En plus, où avez-vous vu un marché dans lequel on trouve des chambres? Un marché doit être construit tout juste avec des poteaux et du toit en béton ou en tôle pour que l’air frais puisse entrer. C’est tout.
Aujourd’hui, les Foumbouniens regrettent profondément l’ancien marché.
Et, il y a pire parce que la somme prétendument employée pour cette mascarade ne correspond pas du tout aux travaux réalisés. Le Tout-Foumbouni sait et dit qu’une forte somme est partie sous les tables.
Jusqu’à ce samedi 19 janvier 2016, ce «marché» n’est pas inauguré officiellement parce que les marchandes ont refusé catégoriquement d’être parquées comme du bétail dans des endroits repoussants. Par conséquent, Bellou Magochi et sa bande de filous sont considérés comme des gens malhonnêtes. Et, ils le sont. Le groupe de Bellou Magochi, dans lequel on trouve l’ex-Président de l’Université des Notes sexuellement transmissibles des Comores, a une très, très, très mauvaise réputation dans la ville de Foumbouni. Ces gens-là sont considérés à juste titre comme très méchants, haineux, radins jusqu’au dernier cheveu et avec un mauvais fond sans borne. Le matou Bellou Magochi est un grand assassin des îles. Il n’a jamais rendu service à un Foumbounien méritant et à plus forte raison à un Comorien de valeur. La seule personne qu’il l’a embauchée, non pardon, qu’il a glissée dans sa poche pour faire les ménages à la Bête-Salam est une jeune femme de Foumbouni. Allez savoir pourquoi!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 19 janvier 2019.
