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Bellou Magochi a tué Omar Mouhsine avant sa mort

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Bellou Magochi a tué Omar Mouhsine avant sa mort

Il étale son inhumanité, sa misanthropie, sa haine d’inculte

Par ARM

       Voilà jusqu’où peut conduire l’inhumanité, mère de la bêtise, de la méchanceté et la misanthropie d’un «djahil» (païen obscurantiste et ignorant de la période de polythéisme préislamique) qui ne pense qu’à amasser de l’argent sale et à insulter plus noble et plus méritant que lui. Bellou Magochi, Directeur du Cabinet du dictateur en charge de la Défense, a appris que l’homme d’affaires Omar Mouhsine était mourant à Samba-Kouni. D’ailleurs, il est mort ce mercredi 27 janvier 2021. Or, Bellou Magochi détestait à mort Omar Mouhsine depuis que ce dernier s’était écrié contre un prétendu système économique qui pousse à la faillite, et cela, 2 semaines avant d’attraper le coronavirus. Plus grave encore aux yeux du sapajou de Bête-Salam, Omar Mouhsine avait lancé un cri d’alarme sur la situation dramatique au mouroir de Samba-Kouni, antichambre satanique de l’au-delà pour concentrer des personnes contaminées par le coronavirus, sans une prise en charge réelle.

L’énergumène malfaisant Bellou Magochi s’en est pris publiquement à un Omar Mouhsine mourant, montrant ses cornes de taureau malfaisant. Se pourrait-il qu’il puisse avoir un peu de remords et de regrets pour des propos aussi inhumains et cyniques face à un homme qui agonisait? Pour cela, il lui aurait fallu un minimum d’intelligence, un brin d’humanité, un sens de responsabilité et une once de conscience de sa propre monstruosité. Mais, Bellou Magochi, c’est un tas de muscles et le cerveau d’une fourmi qui change de sexe dans le Mato-Grosso.

Omar Mouhsine, le businessman connu pour son élan, son allant et son imagination, a ainsi rendu l’âme au Créateur en contribuant à mettre encore plus bas les masques de ce «Sirkali yama bandits», «Pouvoir politique de bandits», comme déclara un jour feu Mohamed Hassanaly, le patriarche mohélien de la scène politique nationale, à propos d’une des dizaines de gouvernements sous la «gendrocratie» de Saïd Mohamed Djohar dit Papadjo (1989-1995).

Mais, au fait, pourquoi ne voit-on plus Bellou Magochi et son chefaillon, le dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri, courir derrière les cercueils pour réclamer «le droit» de présider la prière de l’absent? Ont-ils si peur de tant de victimes qui vont hanter leur âme frappée de damnation et offerte complaisamment à Monsieur Satan?

En réalité, il se passe des choses en Grande-Comore. Alors que Mohéli a reconnu les ravages du coronavirus et a été secourue en conséquence, la dictature est restée sur le déni de la vérité en Grande-Comore et à Anjouan: «Circulez, il n’y a rien à voir». Cependant, la situation tourne à l’hécatombe à Anjouan et en Grande-Comore. Les membres du personnel médical et soignant du mouroir satanique de Samba-Kouni sont tellement éprouvés et traumatisés qu’ils demandent à être placés en isolement dans un lieu où ils resteront parqués pour ne pas rentrer à la maison et contaminer les leurs. Personne au sein de la dictature ne les prend au sérieux pendant que l’hécatombe continue.

Mais, le coronavirus est une «maladie démocratique»: il n’épargne jamais même ceux qui croient être les puissants et qui, en fait, ne sont rien devant lui…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 28 janvier 2021.


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