Mouigni Baraka est le pire de tous les faux opposants
À plat ventre et à genoux, il mendie auprès du dictateur
Par ARM
Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, dit «Mouigni», Président autoproclamé de l’Opposition et du Comité national de Transition (CNT), bat tous les records de mensonge, hypocrisie, duplicité et double langage en politique. Dégoulinant d’obséquiosité et de la bassesse la plus humiliante, il se présente auprès du dictateur fou et terroriste Assoumani Azali, petit-fils de Boinaheri, mendie le titre officiel de chef officiel de l’Opposition, une voiture avec gyrophare, sirène et tout et tout, et un poste de ministre. Quand le dictateur fou de Mitsoudjé ne peut pas le recevoir, il demande à son larbin Houmed Msaïdié Mdahoma, l’insulteur officiel et aboyeur public d’aller le calmer. Mais, Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, ne se limite pas au manant et rustre Houmed Msaïdié Mdahoma. Quand il veut faire ses pleurnicheries larmoyantes sur la lenteur des démarches, il va voir ce notable de Mdé, en Grande-Comore, pour plaider sa cause. Le notable compatît et promet chaque fois de secouer le cocotier pour que son protégé soit nommé ministre le plus rapidement possible. Allons bon.
Mouigni Baraka Saïd Soilihi et le dictateur de Mitsoudjé, son maître
Heureusement, sur les 5 continents, les océans, les 2 pôles, l’atmosphère, les galaxies proches et lointaines, personne n’a placé une once d’espoir sur Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi. Ce traître a remercié le dictateur fou et terroriste Assoumani Azali, petit-fils de Boinaheri, quand il a fait disparaître le Colonel Mohamed Soilihi dit Campagnard car cela lui a permis de s’autoproclamer Président du CNT, et désigner l’avocat déchu franco-malien Saïd Larifou dit «L’Art-Fou» ou RIDJA, du nom de son parti mort, le n°2 du même CNT. Or, le serviteur le plus zélé, fanatisé et radicalisé de la dictature est l’avocat déchu Saïd Larifou. La mission des deux hommes est la suivante: Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, fait tout, y compris avec des gris-gris, pour la mort physique et politique de Mohamed Ali Soilihi à l’intérieur des Comores, tandis que, en France et au Mali, l’avocat déchu Saïd Larifou travaille sur la mort politique et diplomatique de l’Ambassadeur Soilih Mohamed Soilihi, doté d’une crédibilité internationale 1000 fois supérieure à celle de ses ennemis se cachant en France réunis. Où vont les Comores?
Pendant que les Comores sont en enfer, Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, et l’avocat déchu Saïd Larifou ne pensent qu’à leurs comptes d’apothicaire, qu’on appelle à Mohéli des «calculs de rat». Cela étant, le CNT a aujourd’hui deux choix: par fidélité, il chasse à coups de pieds sur le derrière Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, et l’avocat déchu Saïd Larifou, et confie sa présidence symboliquement au Colonel Mohamed Soilihi, ou se dissout.
Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, et l’avocat déchu Saïd Larifou sont ce qu’il y a de pire aux Comores. Le seul point où sur lequel le Musulman «Mouigni» dépasse l’avocat déchu et Témoin de Jéhovah Saïd Larifou est que le premier peut se faire passer pour un vrai croyant en ayant un long chapelet (tasbih), sur lequel il tire en Tartuffe devant les gens, tandis que l’avocat déchu cache sa religion, alors qu’il a le droit de choisir ses idées et croyances.
Par contre les deux lascars sont pareils dans leur incapacité à garder une ligne politique unique et cohérente pendant une journée. En mars 2015, «Mouigni» avait fait parler de lui-même à Fagatogo et en Gagaouzie en changeant de camp politique 5 fois en 24 heures, tandis que Saïd Larifou, l’avocat déchu, a été l’allié et l’ennemi de tous les membres de la classe politique des Comores.
«Mouigni» est mauvais. Il n’est pas humain. Il n’a pas de cœur. Il n’a pas de tête.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 24 mars 2021.
