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Banni à Anjouan et Mohéli, mais aussi à Ntsoudjini

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Banni à Anjouan et Mohéli, mais aussi à Ntsoudjini

Assoumani Azali fait l’unanimité contre lui à la mosquée

Par ARM

      Le pauvre chéri! Le pauvre chou! Pauvre chéri! Pauvre chou! Pour peu, on serait tenté de verser des larmes de crocodile sur lui, au vu des malheurs en série qui s’abattent sur lui dans les mosquées, même s’il ne les a pas volés. Le monde entier est au courant des déboires dans les mosquées du «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Qu’on se le dise! Le pire malheur qui puisse s’abattre sur un Comorien est celui qui consiste à être exclu du groupe social, quand on lui dit qu’il ne peut pas vivre avec les autres, suite à son comportement antisocial.

Mais, quand, en plus, l’individu demande à diriger la prière et se voit interdire cela, c’est qu’il est réduit à l’état d’un chien galeux, avec le redoutable privilège d’avoir à choisir entre le statut d’un porc et celui d’un cochon. Alors, on peut imaginer la symbolique de la chose quand ce chien galeux est un dictateur qui croit avoir tous les droits, surtout un droit de vie et de mort même sur les clous qu’il a fait déposer sur l’Aéroport à chèvres de Mohéli par Kiki.

À la mi-février 2018, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri était à Anjouan, où, toute honte bue, il s’était invité, pendant que le Docteur Salami Abdou Salami, le courageux Gouverneur de l’île, était à Mohéli en compagnie d’autres grands patriotes pour tenter de célébrer le 17-Février. À Mutsamudu et Domoni, malgré ses incessantes et obséquieuses demandes, il lui avait été signifié qu’il pouvait accéder à la mosquée, la maison de Dieu, mais ne devait même pas penser à diriger la prière, sous-entendu parce qu’il est un impie dont chaque acte et chaque parole sont une grave injure faite à Dieu. Après sa petite combine sur les clous, il était retourné à Mohéli ce mercredi 28 février 2018.

Or, poussé par le diable, il avait eu la malencontreuse idée de vouloir s’inviter à la grande mosquée de Djoiezi, alors que c’est la ville qui avait le plus souffert des arrestations injustes et injustifiées à la suite de la foutaise sur les clous à l’Aéroport de Mohéli. Djoiezi est quand même la ville d’origine du héros national Ismaïl Ahmed Kassim, qui, en compagnie de Hamada Almoutawakil, a subi toutes sortes de traitements inhumains et dégradants, avant la déportation inhumaine en Grande-Comore.

C’est son âme damnée, le fugitif international Hamada Madi Boléro, qui lui a soufflé à l’oreille la folle idée d’aller faire le singe à Djoiezi, où tout le monde aime et respecte Ismaïl Ahmed Kassim. Son fugitif international, originaire de Chouani, en Grande-Comore, ne connaît pas les Mohéliens. Djoiezi, c’est également chez Mohamed Larif Oucacha, que le fugitif international Hamada Madi Boléro avait fait emprisonner en toute illégalité, alors que c’est lui qui a été son mentor et l’avait présenté au gendre Mohamed Abdallah Saïd Mchangama, auprès de qui il allait faire la pute après.

Lors du dernier voyage de la honte du dictateur de Mitsoudjé à Mohéli, il fallait même poster des militaires partout à Djoiezi pour empêcher la population de le huer comme du poisson pourri.

Nous voilà à Ntsoudjini, en Grande-Comores. Ce 2 mars 2018 est un vendredi, n’est-ce pas? Eh bien, le tyran de Mitsoudjé s’était invité à la grande mosquée de Ntsoudjini, chez l’ancien Gouverneur Mouigni Baraka Saïd Baraka et où Maître Fahmi Saïd Ibrahim, en voisin, n’est pas en terrain inconnu. C’est une litote dictée par la pudeur sémantique afin de ne pas dire qu’il est «un vrai enfant de Ntsoudjini», surtout depuis le naufrage du trafiquant de visas Schengen qu’est Saïd Ahmed Saïd, le beau gosse de Ntsoudjini, méprisé et abhorré chez lui.

On aurait pu en rester là, mais quand le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri se hasarda dans la grande mosquée de la ville, le Tout-Ntsoudjini a déserté les lieux. Le chef de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé s’était invité à la grande mosquée de Ntsoudjni, non loin de la maison du Mufti, qui l’a toujours traité en fils, et qu’il a piétiné, alors qu’il le sait gravement malade. À la grande mosquée de Ntsoudjini, il ne restaient que quelques courtisans, à la tête desquels se trouvait le beau gosse Saïd Ahmed Saïd Ali, «Con à essayer» auprès de son maître, natif de Ntsoudjini et descendant direct de William Shakespeare, qui a écrit Othello et Roméo et Juliette sous le cocotier et l’arbre à pain de la case de ses ancêtres à Ntsoudjni.

Terrible. C’est terrible. C’est d’autant plus terrible que partout aux Comores, la population a banni le bambochard Assoumani Azali Boinaheri. Après les mosquées de Moroni, Coulées-des-Laves, Mutsamudu, Domoni et Djoiezi, sur les trois îles, c’est le tour de Ntsoudjini de le bannir. Le Saigneur Assoumani Azali Boinaheri est devenu un pestiféré. Il ne reste que ceux qui veulent rentrer au gouvernement qui continuent à le suivre pour remplir les mosquées à défaut de remplir le gouvernement et rempiler en son sein.

Triste! Houmed Msaïdié Mdahoma n’a qu’à lui organiser une prière chez lui à Maouéni-Mboudé, et «Monsieur Clown, Maître Clous» Saïd Larifou chez lui à Foumbouni. Avez-vous remarqué que dans les taxis, les gens ne parlent désormais que de Saïd Larifou, et toujours pour vomir et cracher sur lui?

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 2 mars 2018.


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