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Azali légalise l’esclavage d’Africains Noirs à 4.000 euros

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Azali légalise l’esclavage d’Africains Noirs à 4.000 euros

Pour lui, l’esclavage est légal, mais entre 4.000 et 40.000 euros

Par ARM

     Au secours! Au secours! À l’aide! À l’aide! Au feu! Au feu! Ils vont avoir fort à faire, les séides du dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Oui, les pauvres chéris (ils ne sont pas à plaindre, tant s’en faut) devront contrôler chaque mot prononcé par leur chef fou, le Président de l’Union africaine, par la volonté de ses maîtres étrangers. Chaque fois que le dictateur «panafricain» de Mitsoudjé ouvre sa bouche, il n’en sort que des conneries, des insanités et des élucubrations pathétiques. Il vient de dire sur l’esclavage d’Africains Noirs en Libye: «Vous savez, tout ce qui s’est passé en Lybie est une tragédie, une véritable tragédie. Mais, l’Histoire a montré qu’il y a des deals qu’on ne peut pas surmonter s’il n’y a pas des cas flagrants comme ça. Personne n’aurait imaginé, n’aurait imaginé, qu’on vend des hommes aux enchères. 400 euros, c’est le prix d’un cabri à Moroni. Vous voyez, ça n’a pas de sens. À la limite, ça aurait été 4.000 euros, 40.000 euros, je suis obligé parce que ces gens-là vous donnent raison. Mais, 400 euros, 300 euros, c’est le prix d’un cabri». Ah! C’est donc ça?

En d’autres termes, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri ne déplore pas la pratique de l’esclavage elle-même, mais le prix de vente de l’Africain Noir en Lybie. Pour Monsieur, si l’Africain Noir était vendu de 4.000 à 40.000 euros, cela est une somme convenable, mais pas les 400 euros, «le prix d’un cabri à Moroni». Était-il vraiment obligé de dire une telle ânerie? En tout état de cause, il est rattrapé par la dure réalité qu’est sa médiocrité congénitale et pathologique. Habitué à parler n’importe comment devant les Comoriens, c’est maintenant devant tous les Africains qu’il grogne pour débiter ses âneries habituelles. Va-t-on user de la muselière pour l’empêcher de dire des bêtises devant toute la communauté internationale? Le fugitif international Hamada Madi Boléro, son «“con à essayerˮ diplomatique», devra le dire aux masses populaires pour que la chose soit claire dans les esprits.

En tout état de cause, il faudra que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri comprenne une chose fondamentale: le Droit naturel, la morale, le Droit international public, le Droit international privé et le Droit positif même des pires dictatures tropicales et autres «Ripoux-bliquettes» interdisent l’esclavage, et ce, non pas pour une question de prix, mais uniquement parce que l’être humain n’est pas une marchandise et n’est pas à vendre. On ne vend pas un être humain. On n’achète pas un être humain. En la matière, la Déclaration universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948 (à Paris) a adopté une position très claire: «Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne» (Article 3) et «Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes» (Article 4).

Or, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri a sa propre lecture de l’interdiction de la pratique de l’esclavage, et explique doctement que «l’esclavage à 300 ou 400 euros par esclave noir d’Afrique est interdit, mais l’esclavage visant le Noir d’Afrique pour un prix allant de 4.000 à 40.000 euros est permis». Il l’a dit. Dès lors, les combattants de la liberté aux Comores et ailleurs en Afrique ainsi que les associations des droits de l’Homme et des libertés fondamentales doivent porter plainte contre le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, dictateur des Comores et Président en exercice de l’Union africaine, pour incitation à l’esclavage. Nous devons nous mobiliser et faire connaître ces propos infâmes et infamants.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 25 février 2023.


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2 Comments

  • Ali Madi

    février 26, 2023 at 3:42

    Cher frère ARM, vous avez tout dit sur le caractère inculte, débile, décerebré et esclavagiste du Satrape reptilien des Comores et récent servile nommé à la tête de l’union Africaine. Je n’ai plus de mot pour porter le moindre commentaire sur l’incontinence verbale de l’individu. Il serait, seulement, sage de saisir la cours sud africaine de justice qui saura le juger avec équité ou le confier à Dr La Mort pour des expérimentations sur la débilité avancée.

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    • ARM

      février 27, 2023 at 10:32

      Frère Ali Madi,
      Aucune Cour de Justice ne jugera un être humain qui ne jouit pas de ses facultés mentales. Je me tue à le répéter: le dictateur Assoumani Azali Boinaheri est fou. Son entourage à Mitsoudjé et à Bête-Salam le dit sous le manteau.
      Il est fou.
      Cet homme est fou.
      Analysez ses paroles.
      Analysez ses actes.
      Un jour, quand il sera destitué, tout le monde abondera dans mon sens.
      Je le répète: le tyran Assoumani Azali Boinaheri est fou, et par humanité, aucune Cour de Justice ne jugera un fou.
      Fraternellement,
      ARM

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