Azali Assoumani tue Saïd Larifou, Djaé Ahamada fuit
Kiki et Ambari font du trafic de clandestins vers la France
Par ARM
Saïd Larifou est un homme absolument haïssable et haï, méprisable et méprisé. Les Comoriens ont raison de le mépriser et de le dédaigner. Il est haineux, vantard, pompeux, grincheux et jaloux comme un pou. Il aime s’attribuer le beau rôle et des mérites imaginaires. Il n’a jamais été élu et n’a jamais été capable de faire élire un homme même face à un singe sur un arbre. Pourtant, il se paie le luxe d’insulter un élu, le courageux Docteur Salami Abdou Salami, Gouverneur d’Anjouan, dont la dénonciation des projets politiques criminels du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri réchauffe le cœur de tous les Comoriens aimant sincèrement leur pays. Saïd Larifou, qui n’a pas été capable de faire fonctionner son cabinet d’avocat à La Réunion, et qui doit 2 millions d’euros au Fisc français, est qui pour insulter le Gouverneur Salami Abdou Salami, un élu qui fait très bien son travail et défend l’unité de son pays? Il n’est rien, ni personne. Il est un pauvre type, qui aurait dû retrouver sa dignité le jour où il a été admis au Barreau de Moroni pour tenter d’exercer poussivement le métier d’avocat sans mendicité.
Or, comme Dieu est le plus Grand, il a fallu que le danseur de «Bumping» de rues Saïd Larifou soit humilié en public, à Mitsamiouli, ce dimanche 26 novembre 2017, par son maître à «penser et à panser», le «saigneur» Azali Assoumani Boinaheri. Le Tout-Moroni et le Tout-Mitsamiouli se posent une seule question: au nom de quoi Saïd Larifou a pu supporter les insultes du «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri à son encontre? En effet, le garçon fou de Mitsoudjé a soutenu publiquement le petit discours assassin suivant: «J’ai été accusé d’avoir volé 40 millions d’euros par certains, dont un est présent à cette réunion et a même une responsabilité dans le Comité de Pilotage des assises, alors que c’est faux».
Si c’est faux, pourquoi le fou furieux du Hambou n’a pas porté plainte pour diffamation contre le Français Thierry Vircoulon, auteur de l’article l’accusant de vol?
En tout état de cause, quelle humiliation pour le pauvre chéri Saïd Larifou, le danseur de rues! Or, Saïd Larifou, «Prophète» du RIDJA, toute honte bue, était obligé de sourire jaune, en grinçant de dents. Il fait pitié. Les patriotes sincères ne prennent plus ses appels. Seul Saïd-Ahmed Saïd-Abdillah, volcanique et explosif Président du Parti Comores Alternatives (PCA), accepte de lui parler au téléphone, sans doute par pitié. Son sourire était différent de celui qu’il affichait lors des «beaux» jours de sa campagne en faveur de «l’émergence à l’horizon 2030» et des assises. Un homme digne serait parti, mais le mendiant de Foumbouni est resté sur place, sans broncher. Le pauvre chéri! Sa descente aux enfers ne fait que commencer…
Attendez, parce que ce n’est pas fini. En effet, il y a une semaine Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, l’enfant maudit qui a renié sa propre maman pour une autre maman afin d’obtenir frauduleusement et donc illégalement la nationalité française, est parti en France, avec dans ses valises, des migrants. Il s’agit de futurs clandestins. Ma grande sœur bien-aimée Ambari, première épouse du dictateur de Mitsoudjé, a fourni deux personnes de sa famille, qui ne vont jamais rentrer aux Comores. Oui, associée à Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, la Sultane Ambari est devenue une vulgaire trabendiste d’êtres humains. Elle aime les trafics, la Sultane Ambari. Lors de la première kleptoratie de son kleptocrate de chéri, elle avait inondé les magasins de luxe de Place Vendôme, à Paris, de sa fameuse fausse monnaie en euros.
Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, lui-même avait deux faux gardes du corps, qui ne vont pas rentrer aux Comores avant devenir Français, sans doute en imitant leur «bienfaiteur», en changeant de mamans. Bien calé sur son fauteuil, dans sa villa cossue de Moroni, ce grand notable soupire à fendre l’âme: «J’aimerais connaître la réaction du ministre français de l’Intérieur quand il saura que son homologue comorien, en plus d’être Français par des méthodes de voyou, à l’occasion d’un déplacement officiel, a exploité cette opportunité pour aider à l’immigration clandestine».
Ce que le grand notable de Moroni tait par pudeur, c’est le fait que le mendiant politique Djaé Ahamada Chanfi, lui aussi, a quitté Moroni dans la précipitation, la colère et la honte. Sale temps pour les individus sans honneur, ni personnalité, ni dignité pullulant à Moroni. Les scélérats! Le mendiant politique Djaé Ahamada Chanfi et toute sa famille ont pris le vol de la Ethiopian Airlines du dimanche 26 novembre 2017 pour aller se cacher à Paris et pleurer en silence, loin du regard moqueur et satisfait de l’ennemi intime, Maoulana Charif, qui ne l’aurait jamais laissé obtenir une nomination de la «Républiquette de Mitsoudjé». Le bandit de Koimbani-Oichili avait obtenu du bandit de Mitsoudjé la promesse d’être nommé à la tête de l’Office de Radiotélévision des Comores (ORTC), «l’odieux-visuel» national. Aux dernières nouvelles, le poste a été offert sur un plateau d’or à l’ancien ministre Ahmed Ben Saïd Jaffar. Mourant de honte et de colère, Mna Djaé («Le Petit Djaé») est parti Gros-Jean comme devant. Bien fait pour ce traître méprisant et narcissique!
Ce qui fait rire dans cette suite d’affaires scabreuses, c’est que Marie Mayobe dite Marie Madeleine, la Préférée de la République, se répand en sarcasmes sur sa rivale, Ambari, pour son implication dans le fameux trabendo d’êtres humains. Où va se nicher la jalousie?
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 27 novembre 2017.
