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Azali Assoumani a failli mourir dans un avion à Zanzibar

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Azali Assoumani a failli mourir dans un avion à Zanzibar

Sorcellerie à Zanzibar, concerts de Soprano et Alonso à Paris

Par ARM

      Les évidences finissent toujours par s’imposer d’elles-mêmes. En effet, comme l’a si bien dit le Khalife bien guidé Ali Ibn Abî Talîb, «celui qui lutte contre la vérité est rapidement terrassé par elle»: Cité par Roger Pasquier: Découverte de l’Islam, Institut islamique de Genève et Éditions des Trois Continents, Genève (année?), p. 168.

Cela étant, un jour ou un autre, la vérité finira par s’imposer, même à ceux qui ont décidé d’être sceptiques dans le seul but de ne pas admettre que le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», est fou. Il est fou. Cela prendra les années que ça prendra, on finira par admettre qu’il a le cerveau détruit par les maladies de différentes natures et qu’il est en grande partie fou. Acharnement et dénigrement? Que nenni! Que nenni!

Chaque jour, les nouveaux éléments de preuve sur sa folie s’accumulent. En français ou en comorien, plus personne ne comprend ce qu’il raconte, à force d’avaler la moitié de ses mots, d’aligner des insanités sans cohérence dans la même phrase, finissant le tout par des blagues d’un goût douteux, en affichant son côté jouissif.

Le Groupe Vigor, qui vient d’obtenir gratuitement l’Hôtel Itsandra, et une communauté religieuse du Yémen d’obédience inconnue, ont affrété un avion privé pour une cérémonie familiale spéciale de sorcellerie à Zanzibar, avec la bénédiction du Mufti des Comores. Outre le «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri et le Mufti, la délégation de l’enfer comprenait également le voleur Idaroussi Hamadi, Monsieur Neveu, surnommé «Tonton-m’a-dit», repris de justice notoire devant sa liberté «provisoire» à Bellou Magochi (qui confond chaussure droite et chaussure gauche), le baby-sitter Saïd-Ali Saïd-Chayhane et le cousin Kamaldine Soeuf, Directeur général des Douanes.

Il s’agit donc du cœur palpitant de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Rien n’est sorti de ce voyage: ni contrat, ni communiqué commun avec les autorités tanzaniennes. Aucune photo de l’équipée n’a été vue non plus. Or, on connaît le goût des fous de Bête-Salam pour les textes stupides et les photos sans utilité sur le moindre déplacement du garçon fou de Mitsoudjé. Ici, il s’agit d’un voyage de 24 heures sur une île de Zanzibar qui entretient des relations de chair et de sang avec les Comores depuis des siècles.

Ce voyage placé sous le signe de la sorcellerie a été un fiasco total et retentissant. Au moment du départ vers les Comores, l’avion a refusé de démarrer et a failli imploser, risquant de tuer les bandits de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Il a fallu que ces voleurs regagnent les Comores par le vol régulier d’Air Tanzanie. Il se murmure, se chuchote, se susurre et se dit sous le manteau que les autorités tanzaniennes de l’Aviation civile avaient déjà pris des dispositions pour clouer au sol cet avion aux allures d’Air Cocaïne.

À peine arrivé à Moroni, le dictateur de Mitsoudjé s’est empressé de dire que la déclaration d’indépendance des Comores, le 6 juillet 1975, est le fait non pas d’Ahmed Abdallah Abderemane, mais de son tombeur du 3 août 1975, Ali Soilihi.

Voici le «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri à Paris. Ce voyage est la mère de tous les fiascos en matière de déplacements d’une autorité à l’étranger. Il se rendit clandestinement au siège de TV5 Monde sans en parler à son entourage. Le vantard maudit Saïd-Ahmed Saïd-Ali, le beau gosse de Ntsoudjini, n’a même pas su que son Dieu se déplaçait pour aller blablater à la télévision ou avec Soprano et Alonso, pour une inutile opération de charme auprès de la jeunesse comorienne vivant en France, nullement intéressée par les folies d’un fou maudit.

Sur TV5 Monde, le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri a été à la hauteur de sa réputation de nullissime. Il parle de «rapaces» qui sont susceptibles de cannibaliser les jeunes Comoriens. Il s’agit de quels «rapaces»? On le surprend en train de qualifier Mayotte non pas d’«île sœur», mais de «pays frère», signalant ainsi que Mayotte est un État à part entière et qu’elle n’est pas concernée par les Comores. Question fautes de français, il fait fort, en disant notamment «la fait» et non «le fait», «quatre îles insulaires», «le Président Macron, à qui on remercie beaucoup», «la menace extrémisme»…

Alors que la France a décidé unilatéralement d’associer les élus mahorais aux négociations franco-comoriennes à venir, le tyran de Mitsoudjé en parle comme si c’était lui-même qui en avait pris la décision. On le surprend également en train d’appeler une conférence internationale sur le climat «assises», le mot qui l’obsède, en train de dire que la jeunesse comorienne est porteuse des assises de la honte et du mépris, que ces assises maudites faisaient l’unanimité chez les Comoriens, que le Comité de Pilotage des Assises était représentatif…

Si cet individu n’avait pas le cerveau détruit, il n’aurait jamais tenu des propos aussi insensés.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 12 décembre 2017.


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