Assoumani Azali s’invite effectivement à Djomani
Il a quémandé le statut d’imam pour diriger la prière
Par ARM
C’était le jeudi 29 mars 2018. Ce jour-là, votre site titrait: «Assoumani Azali prêt à payer pour prier à Djomani – Il mène lui-même les négociations pour diriger la prière». Il était précisé ce qui suit: «C’est ainsi que, voulant laver l’affront subi dans toutes les villes et dans tous les villages qui refusent sa présence pour la prière de la mi-journée le vendredi, il a reçu le mardi 27 mars 2018 des notables de Djomani, dans le Mboudé, la région d’origine de son pote Houmed Msaïdié Mdahoma, pour négocier en personne, sa venue le vendredi 30 mars 2018 dans cette localité pour la prière de la mi-journée. Il est tellement désespéré qu’il s’est montré disposer à payer une forte somme d’argent afin que les notables de Djomani-Mboudé s’impliquent pour trouver une solution à son statut de paria des mosquées. C’est grave d’en arriver là».
Eh bien, ce vendredi 30 mars 2018, le bandit Mohamed Abdou Mbechezi et le brigand Saïd Ahmed Saïd Ali, l’Othello tropical, le descendant en ligne directe de l’écrivain anglais William Shakespeare, qui a écrit Othello et Roméo et Juliette sous l’arbre à pain et le cocotier jouxtant la case de ses ancêtres à Ntsoudjini, ont confirmé l’information que nous vous annoncions, mais en déformant mensongèrement et perfidement la réalité. Toute honte bue, les deux chenapans ont écrit sur la page Facebook de Bête-Salam: «Le Président AZALI Assoumani a répondu à l’invitation de la région de Mboudé et de la ville de Djomani où il a dirigé la prière à la grande mosquée». Ah! Les fieffés menteurs! Les menteurs professionnels!
La région de Mboudé et la localité de Djomani n’ont jamais invité le «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri à prier ou à diriger la prière dans la mosquée de Djomani. C’est le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», qui, noyé dans les pleurnicheries larmoyantes, a quémandé l’autorisation d’aller diriger la prière à Djomani. Très dégoûtés par la confirmation de la nouvelle et par le flot d’images postées sur Facebook par le paparazzo Saïd Ahmed Saïd Ali, le beau gosse de Ntsoudjini, les Comoriens attendent les prochaines négociations que va mener le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri pour pouvoir diriger la prière dans un village.
Le Saigneur Assoumani Azali Boinaheri se comporte comme un chien errant. Or, en matière de chiens, il doit savoir qu’on enterre le sien dans sa cour quand il meurt. Ceci est signalé pour que chacun se souvienne d’une chose fondamentale: dans la pure tradition comorienne, on prie dans son village d’origine. Il doit donc prier le vendredi dans son village de Mitsoudjé au lieu d’errer comme une âme en peine. Mais, certains à Mitsoudjé y traitent le bambochard Assoumani Azali Boinaheri en étranger puisque sa maman n’est pas originaire de ce village. C’est ce qui le pousse à s’inviter ailleurs chaque vendredi à midi.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 31 mars 2018.