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Assoumani Azali plonge et retient les Comores en enfer

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Assoumani Azali plonge et retient les Comores en enfer

Les Comores, entre mal-vivre, désespoir, désordre et abîme

Par ARM

     Le dictateur Assoumani Azali Boinaheri est assoiffé de pouvoir et d’argent, et en mourra. Son obsession et sa voracité sont dans les causes du déclin du Khalifat, quand les chefs musulmans étaient plus soucieux de biens matériels que de l’Islam: «Il s’agit non seulement de porter la bannière du Prophète aux confins du monde, mais aussi de s’emparer des richesses que les Arabes convoitent avec la voracité insatiable des peuples jeunes»: René Kalisky: L’Islam. Origine et essor du monde arabe, Éditions Marabout, Alleur (Belgique), 1987, p. 108.

Les Omeyades (661-750) avaient fait du Khalifat une affaire de famille noyée dans la dictature et la corruption, les deux mamelles de la tyrannie du satrape Assoumani Azali Boinaheri, puisque leur «dynastie devint célèbre pour sa manière d’administrer l’empire à son profit, comme si c’était un fief personnel, et c’est la nature matérialiste et tyrannique des Ommeyades qui causa leur chute»: Cyril Glassé: Dictionnaire encyclopédique de l’Islam, Préface de Jacques Berque, Éditions Bordas, Paris, 1991, p. 301.

Les discours d’investiture des premiers Khalifes suggèrent que le chef de la Communauté ne doit pas être un obsédé de pouvoir. L’Imam Al-Nawawy (1233-1277), auteur du Minhadj Al-Talbin, la référence en matière de statut personnel, familial et successoral aux Comores, explique que le rôle de chef en pays musulman est conditionné à la croyance en Dieu. Il est pour «l’interdiction de confier le pouvoir à ceux qui le réclament ou qui le convoitent» et soutient que «l’obéissance aux dirigeants est un devoir religieux tant qu’ils ne commandent pas de désobéir à Dieu»: Abou Mouhiedinne Al-Nawawy: Les Jardins de la Piété. Les Sources de la Tradition islamique (Recueil de Hadith), Alif Éditions, Lyon, 1991, p. 192.

Les Comores ont formé des cadres dans tous les domaines de compétence. Or, ces experts sont marginalisés, ostracisés, méprisés, insultés, exilés et montrés du doigt, quand le Roi du Maroc offre dans son pays des emplois qui équivalent à leur niveau à des experts marocains expatriés, les nommant ministres ou dans son Cabinet. Dans les pays institutionnellement développés, les dirigeants de haut niveau sont souvent des lauréats de certaines Grandes Écoles et Instituts supérieurs, pendant que les Comores ont le malheur d’être détruites par des ignorants et voleurs comme le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, Mohamed Saïd Fazul, Anissi Chamsidine, Kiki, Bellou Magochi, Chabouhane Baguiri et consorts. Personnellement, je préfère vivre en exil que dans un pays placé sous l’imbécillité dictatoriale de tels ignares.

Que sont devenues les Comores sous leur barbarie? La dictature de Mitsoudjé a fait des Comoriens un peuple malheureux et désespéré. Les Comoriens vivent très mal, pendant que la dictature se gargarise de discours d’autoglorification et d’autosatisfaction, en chantant la fameuse et prétendue «Émergence à l’horizon 2030», dans un pays incapable de fournir les ailes de poulets, le riz, l’École, la santé publique, l’eau potable, l’électricité, les transports, la liberté, la téléphonie à prix abordable à un peuple sans pouvoir d’achat, et les droits fondamentaux à une population paupérisée et traumatisée. Le dictateur Assoumani Azali Boinaheri et consorts ont plongé les Comores en enfer, et les y maintiennent. Ils pillent dans l’insouciance et la folie les maigres ressources d’un pays parmi les plus pauvres au monde.

L’indépendance des Comores est une faillite intégrale, dans une absence totale de nation et d’État au sens civilisé et effectif. Cet échec est réel et progressif, et il aurait été sage de confier à une puissance étrangère (la France, qui connaît mieux le pays) leur administration.

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Jeudi 14 octobre 2021.


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9 Comments

  • Moufid

    octobre 14, 2021 at 9:57

    Bonjour,
    L’ironie du sort, ces gens que nous autres croyons incapables de contourner ces pénuries, se félicitent que l’économie se porte bien et que le pouvoir d’achat y est: raison pour laquelle tout est consommé au point que les magasins sont vides.
    À ce point, il m’arrive d’avoir la faiblesse de croire que ma grand-mère pourrait être un très bon dirigeant de n’importe quelle institution de ce pays.

    Répondre
  • ALI Madi

    octobre 15, 2021 at 1:12

    L’argument selon lequel la pénurie serait le résultat d’un pouvoir d’achat conséquent ou élevé est un mensonge, une ruse, une diversion. La pénurie a toujours été le fruit d’un problème de livraison lié à plusieurs motifs:

    1) L’inflation galopante,
    2) La dépendance extérieur de l’offre,
    3) La fragilité financière des opérateurs économiques installés,
    4) Enfin nombre réduit de consommateurs en capacité de payer le juste prix. Il faudrait que le pouvoir en place tienne une statistique sur la masse salariale de ceux qui ont la chance de travailler pour nous parler de pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat devant permettre de manger 2 fois par jour avec un coût de 10. 000FKM par jour et par famille de 6 personnes non compris le coût de transport, de l’électricité, de l’eau et des frais scolaires pour les enfants quand il y’en a.

    Alors le régime tient un discours d’ironie et d’hypocrisie. C’est la preuve d’un pouvoir sans colonne vertébrale. Un jour, il dira que si les magasins sont vides c’est parce que les comoriens sont devenus les premiers consommateurs du monde larguant la Chine et les USA derières elles.

    Répondre
    • ARM

      octobre 15, 2021 at 4:57

      Bonjour, mon frère,
      Ne négligeons pas le pouvoir d’achat.
      Par ailleurs, les autorités comoriennes actuelles n’ont jamais entendu parler d’économie d’échelle.
      Cordialement,
      ARM

      Répondre
      • ALI Madi

        octobre 15, 2021 at 7:38

        Oui, le pouvoir d’achat est d’une grande importance sur les difficultés socio-économiques. Lorsque les salaires stagnent depuis des années alors que les prix de produits de consommation augmentent, il y a inflation. Autrement le pouvoir d’achat dégringole jusqu’à ne rien valoir. Pendant le régime Djohariste, notre monnaie de singe avait connu une forte dévaluation alors que les misérables salaires sont restés bloqués pendant que les prix liés à la consommation n’ont jamais été aussi élevés. Ainsi le pouvoir d’achat n’a jamais eu son sens dans nos contrées et ce ne sont pas les fluctuations des marchés qui peuvent, seules, le justifier. En définitive, lorsque l’offre est très inférieur à la demande les prix augmentent vertigineusement, lorsque la monnaie subit une dévaluation les prix flambent et lorsque les salaires restent bloqués, pour les Comores depuis 29 ans, la vie sociale devient critique et lorsque les trois facteurs sont réunis c’est la mort sociale bien après une vie toute famélique. Après tout, il serait simple de dire ces quelques mots et partir sans tenter d’évoquer la raison principale d’un pouvoir d’achat suicidaire. Les Comores ont proclamé une indépendance le 6 juillet 1975 avant de se donner les conditions d’une souveraineté assumée. Jadis, il y avait deux camps politiques majeurs au pays. Les verts et le parti blanc de prince Said IBRAHIM. Lorsque ce dernier bataillait pour une indépendance en 1985, il pensait à deux choses. D’une part se donner le temps de ramener les maorais à une unité nationale franche et de respectabilité mutuelle et de l’autre former des cadres en capacité d’organiser la vie de la cité, créer des infrastructures sanitaires, scolaires, institutionnelles, routières et ainsi disposer d’une souveraineté monétaire et alimentaire. Hélas le parti vert d’Ahmed Abdallah et Taki ont préféré une indépendance avortée et tronquée juste pour une main main mise sur le pouvoir politique. Ils sont restés sur la ligne de feu président du conseil Mr Said Mohamed CHEIK. Dénigrer le peuple comme les maorais l’ont été via le transfert brutal et humiliant de la capitale de Mayotte à Ngazidja. Du coup le 06 Juillet 1975 une proclamation d’indépendance sans les piliers d’une souveraineté comme je viens de le dire çi dessus et sans un programme de gouvernement si ce n’est de se partager des postes. Ce qui a nourrit le coup d’état, discutable, d’Ali Soilih et prince Said IBRAHIM avec la bénédiction de Paris. Pendant les 2 ans de pouvoir soilihiste, le pays vivait sous assistance respiratoire de certains pays frères ou non alignés à l’exception du secteur alimentaire réduit à fournir tout ce dont l’agriculture et la pêche nationales a toujours été en capacité de donner. La révolution s’est, du coup, imposée avec les conséquences connues. Une armée inculte et une administration incompétente. Après le coup d’état, orchestré par Paris avec la location des services de DENARD, AAA, Mohamed AHMED, TAKI et Said Hassani Said Hachim ont régagné Moroni pour gouverner le pays sur la même ligne que feu leur mentor Said M. CHEIK. Aucune ambition d’indépendance nationale. Ils vont signer avec Paris un contrat de défense pour ne plus être victimes de coup d’état, imposer le parti unique pour se maintenir au pouvoir éternellement, abandonner l’indépendance monétaire, prendre les salariés en esclave avec des salaires misérables. Or, lorsque vous dépendez des autres pour votre sécurité vous devenez de facto son sujet. Sans la capacité de produire l’essentiel de nos besoins alimentaires, nous devenons faméliques. Lorsque vous confiez votre porte monnaie à votre voisin, ne vous attendez pas à une indépendance économique. Djohar avec sa démocratie virtuelle portée par son tahomba a initié le pays avec une gouvernance gendro-cratique sans lendemain si ce n’est de crier démocratie, démocratie et mensongèrement démocratie. Depuis les Comores ne brillent que par AZALI et ses rejetons initiés à la corruption et la dictature. Sur le pouvoir d’achat Sambi et IKI n’ont pas fait mieux excepté celui des ministres, parlementaires et président qui ne se satisfassent d’ailleurs pas de leur salaire pour gonfler leur compte en banque. Pou finir, le pouvoir d’achat souffre des conjonctures inflationnistes arrimées à une dépendance monétaire qui nous prive de la capacité à agir sur les salaires. C’est mon point de vue.

        Répondre
          • ALI Madi

            octobre 16, 2021 at 10:20

            Bonsoir frère,
            Généralement, nous comoriens n’aimons pas lire. Nous avons une culture de lecture scolaire seulement. Une fois quitté le banc de l’école, on retrouve l’arbre à palabre. Les productions littéraires, juridiques, philosophiques ou autres ne nous inspirent aucun amour à la lecture. Depuis des années que je parcours les sites des réseaux sociaux comoriens, vous me semblez le seul à, souvent, faire référence à des lectures de différentes oeuvres pour illustrer, scientifiquement, vos tribunes, pamphlets et autres textes. La pauvreté de commentaires écrits, sur les sites des réseaux sociaux comoriens, laissent penser que nous sommes attachés à la palabre avec des vidéos et conférences à profusion au mieux et au pire allergiques à la rédaction voir la lecture. Les seuls écrits lus et commentés en masse sont les paraphrases des facebookeurs. Au pays, des enfants sont enlevés, violés et assassinés mais peu sont les plûmes qui produisent un manifeste d’indignation. Des abus de toute sorte y sont pratiqués avec très peu de rédaction pour dire non. Des politiques et membres de la société civile sont, injustement, privés de leur droit et peu de personnes pondent, sur papier, une diatribe pour ne plus être victime d’injustice et faire place au droit. A croire que celles et ceux qui lisent et écrivent sont à compter des doigts d’une main. Et quand on sait que la loi du nombre est, souvent, force de loi, il faudra donner au peuple l’amour de la lecture et l’écriture pour espérer un jour en nous un nouveau paradigme faces aux besoins impérieux des Comores en mouvement positif. Sans lecture pas de commentaires et pourtant la rédaction nous impose de mieux chauffer les neurones pour un avenir harmonieusement partagé.

            Fraternellement,
            Madi,
            Pour finir, que chaque lecture sache que je n’ai pas, forcement, raison mais juste le droit de m’exprimer.

  • ALI Madi

    octobre 16, 2021 at 10:27

    Bonsoir frère,
    Généralement, nous comoriens n’aimons pas lire. Nous avons une culture de lecture scolaire seulement. Une fois quitté le banc de l’école, on retrouve l’arbre à palabre. Les productions littéraires, juridiques, philosophiques ou autres ne nous inspirent aucun amour à la lecture. Depuis des années que je parcours les sites des réseaux sociaux comoriens, vous me semblez le seul à, souvent, faire référence à des lectures de différentes oeuvres pour illustrer, scientifiquement, vos tribunes, pamphlets et autres textes. La pauvreté de commentaires écrits, sur les sites des réseaux sociaux comoriens, laissent penser que nous sommes attachés à la palabre avec des vidéos et conférences à profusion au mieux et au pire allergiques à la rédaction voir la lecture. Les seuls écrits lus et commentés en masse sont les paraphrases des facebookeurs. Au pays, des enfants sont enlevés, violés et assassinés mais peu sont les plûmes qui produisent un manifeste d’indignation. Des abus de toute sorte y sont pratiqués avec très peu de rédaction pour dire non. Des politiques et membres de la société civile sont, injustement, privés de leur droit et peu de personnes pondent, sur papier, une diatribe pour ne plus être victime d’injustice et faire place au droit. A croire que celles et ceux qui lisent et écrivent sont à compter des doigts d’une main. Et quand on sait que la loi du nombre est, souvent, force de loi, il faudra donner au peuple l’amour de la lecture et l’écriture pour espérer un jour en nous un nouveau paradigme faces aux besoins impérieux des Comores en mouvement positif. Sans lecture pas de commentaires et pourtant la rédaction nous impose de mieux chauffer les neurones pour un avenir harmonieusement partagé.

    Pour finir, que chaque lecteur sache que je n’ai pas, forcement, raison mais juste le droit de m’exprimer.

    Fraternellement,
    Madi,

    Répondre
    • ARM

      octobre 18, 2021 at 5:28

      Bonsoir, mon frère,
      Hélas!
      Au Maroc, j’ai vu des étudiants comoriens brûler leurs documents de l’Université dès la proclamation des résultats de fin d’études. J’ai les classeurs de mes cours de 1987 à 1994 au Maroc, et de l’Ecole des Avocats de Paris de 2015-2016. J’ai tout fait pour que mes documents soient dans mon salon, dans ma bibliothèque, à Labattoir. J’attends cette semaine un gros colis de livres venant de Paris, après en avoir reçu un autre en février 2021. Mes proches me taquinent en disant que je suis marié à mes livres et à mes ordinateurs. Il s’agit de gros livres de Droit que j’attends. En août 2021, j’ai reçu deux livres de Nelson Mandela, dont j’ai tous les ouvrages.
      En janvier 1999, nous faisions un pique-nique chez moi. On s’y retrouva facilement à 15 personnes. Voilà qu’une personne découvre mon salon et ma grosse bibliothèque. Elle dit le plus sérieusement du monde: “Si l’habitant de cette maison m’acceptait chez lui, ici, j’y apporterais une belle touche d’esthétique. Je commencerais par enlever tous ces livres pour les jeter dans l’autre salon, celui qui est derrière”. En d’autres termes, la personne aurait voulu remplacer au salon ma bibliothèque par de la vaisselle. J’en ris aux larmes chaque fois que j’en parle. Chez moi, à Mohéli, je vais aménager une pièce spéciale pour ma bibliothèque, avec pour consigne l’interdiction d’y accéder parce que ces livres représentent ma vie. Certains me suivent depuis le Maroc.
      Le livre est le plus grand support de la culture, la télévision n’en représentant que 9%! Je peux passer 3 jours sans allumer ma télévision, que je ne regarde que la nuit, sauf quand il y a un événement exceptionnel.
      J’ai éteint le WIFI sur mon téléphone principal. J’en tire le bonheur de ne pas être inondé de vidéos et images inutiles et de rumeurs. Je croyais que 3 mois allaient être utiles à cette expérience. Eh bien, j’en suis tellement content que je ne vais plus rallumer le WIFI sur ce téléphone. Quel bonheur! Certains cherchent à me localiser, pendant que je me cache.
      Les réseaux sociaux des Comores sont médiocres. Ils ne m’ont jamais intéressé. Le niveau est très bas et lamentable.
      Il fut un temps, nous étions 3 blogs, en plus de ce site: Mlimadji, Ridja et Wengo. Malheureusement, les 3 blogs ont arrêté leurs activités, malgré mes prières. Aujourd’hui, on lit des écrits comportant des milliers de fautes avec des fautes même sur les titres, le tout étant tiré des réseaux sociaux, sans recoupement. C’est un recul déplorable.
      J’exhorte les Comoriens à lire et à débattre. Chacun est libre de défendre son point de vue, mais commençons par lire et par engager des débat de société, choses que nous ne faisons pas.
      Savez-vous que le Roi Hassan II soignait ses opposants et leurs familles quand ils étaient malades, les recevait, discutait avec eux (…)? La tradition perdure. Au Maroc, les partis politiques reçoivent des subventions de l’Etat, même pour leurs journaux. Quand le Roi Hassan II apprit que le fils de l’opposant historique et tonitruant Ali Yata était gravement malade, il en convoqua le père et lui dit: “Monsieur Ali, occupe-toi de ton parti politique et laisse-moi m’occuper de ton fils”. Il en prit soin jusqu’à la mort du jeune homme. Un autre jour, le Roi Hassan II apprit que la maison natale de l’opposant M’Hamed Boucetta, alors Secrétaire général de l’Istiqlal (Opposition), avait été rachetée par Hadj Khazraj. Il convoqua ce dernier, racheta la maison à 100.000 euros (une fortune au Maroc) et appela M’Hamed Boucetta, à qui il remit les clés de la maison en lui disant: “Monsieur M’Hamed, la maison des Boucetta doit rester dans le giron des Boucetta”. Et quand le même M’Hamed Boucetta eut un problème de calcul rénal, le Roi Hassan II affréta un avion médicalisé pour une évacuation d’urgence à Paris.
      Vous comprendrez donc que, étant formé dans cette Grande Ecole de la Vie, je ne verrai jamais en Assoumani Azali Boinaheri et consorts des dirigeants, mais des criminels intolérants. Cela explique mes… pamphlets et mes coups de sang et de colère… Des mauvais dirigeants ont tué notre pays et nos vies.
      De la tolérance.
      Cordialement,
      ARM

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      • ALI Madi

        octobre 18, 2021 at 6:35

        A la lecture de votre dernier mot, je reste sans commentaire quant à votre désir, permanant, d’inviter à des débats de fonds. Mais lorsque, dans un pays, les enseignants s’auto censurent, les lycéens et étudiants s’infantilisent, il ne serait pas étonnant de voir le peuple plonger dans un profond sommeil. AZALI est le produit d’une société intellectuelle, globalement, frappée d’indignité. Mais comme tout a une fin, un moment viendra où les vraies forces vives du pays prendront le dessus sur la masse satanisée. Ce jour là, les dignes fils du pays comme MAS et ARM distilleront suffisamment d’espoir pour un peuple, longtemps, pris en otage par le diable et ses rejetons.

        Bien cordialement,
        Madi

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