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Assoumani Azali fait un nouveau «malaise vaginal»

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Assoumani Azali fait un nouveau «malaise vaginal»

Vantard, le mourant avait assisté au Maoulid de Mvouni

Par ARM

     «Le sourire de celui qui est frappé par un taureau», disent les Mohéliens. De quoi s’agit-il? La tradition mohélienne est porteuse d’une danse d’hommes autour d’un bovin attaché, de préférence d’un taureau, quand il y a un mariage dans un village. Les danseurs défient par la suite le taureau détaché. Il arrive que le taureau déchaîné plante ses cornes sur un danseur et le blesse plus ou moins gravement. Mais, la victime du taureau doit afficher son sourire le plus éclatant, dans l’unique but de faire comprendre à l’assistance, en grande partie composée de femmes, qu’il est indemne, même si son corps lui fait un mal de chien. C’est exactement ce qui arrive au «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».

Voilà un individu qui a fait une chute spectaculaire devant une foule et face aux caméras de «l’odieux-visuel» public comorien. On le voit se tordre de douleurs, se contorsionner, faire des gestes d’un serpent venimeux, avant de tomber comme une masse. Quand les militaires le relèvent, on voit en lui le lugubre visage d’un mort de deux jours qu’un profanateur de tombes (il s’y connaît) vient de déterrer. Ses hommes de mains et de bouche se lancèrent dans une débauche d’actes désespérés et malheureux destinés à mentir sur l’état de santé lamentable d’un mourant affecté d’une incurable tumeur au cerveau. Les médecins mauriciens qui le soignent signalent qu’il est foutu et que personne ne pourra le guérir.

Le pittoresque Saïd Ahmed Saïd Ali, qui jure que l’écrivain anglais William Shakespeare est sa réincarnation et que lui-même est la réincarnation du même William Shakespeare, ne sait pas faire en pareille occasion. Il va se faire photographier auprès de son dictateur fou. Le but de la photo est de montrer que le tyran mourant «se porte bien», et que son «malaise vagal», devenu un «malaise vaginal» n’est qu’une simple péripétie due à un coup de soleil. Or, le mourant qui «se porte bien» commet un acte très grave sur la photo: il a posé son pied sur son chaouch Saïd Ahmed Saïd Ali. Il lui marche dessus au sens physique du terme (Photo ci-dessous). Il ne s’en rend même pas compte. Un homme qui «se porte bien» ne fait pas ça.

     Et voilà le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri qui en rajoute, en faisant «le sourire de celui qui est frappé par un taureau»: le samedi 1er décembre 2018, jour de son «malaise vaginal», il assiste à une cérémonie de Maoulid à Mvouni, juste pour faire passer un message: «Je me porte très bien». Pourtant, sur les photos, son visage porte les stigmates de la maladie. Il aurait dû recourir aux services d’une maquilleuse, ne l’a pas fait, et ressemble à ce qu’il est: un agonisant.

D’ailleurs, sa vantardise de Mvouni ne lui a pas porté chance parce que, dans la matinée de ce dimanche 2 décembre 2018, il est de nouveau tombé à terre. Le secret n’a pas été gardé longtemps: le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri a fait un nouveau «malaise vaginal» ce dimanche 2 décembre 2018. Dès lors, son entourage est désemparé, voyant s’envoler en petits morceaux le projet de dictature à mort et jusqu’à ce que mort s’ensuive «à l’horizon 2030».

Et c’est maintenant que nous arrivons à ce que nous avons martelé sur ce site avant la folie référendaire du lundi 30 juillet 2018. Ce crime a été commis pour ouvrir la voie dictatoriale à Nour-El-Fatah, un fils du dictateur qui demande même du carburant pour sa voiture aux étrangers qui veulent investir aux Comores et qu’il fait fuir. Comme le bambochard Assoumani Azali Boinaheri sait qu’il est lui-même mourant, il a pensé à l’élection présidentielle anticipée de 2019 pour placer son fils Nour-El-Fatah à la tête des Comores. Il a une pensée attendrie pour Omar Bongo Ondimba au Gabon, pour Gnassingbé Eyadema au Togo et pour Laurent-Désiré Kabila au Congo-Zaïre, mais veut introniser son fils de son vivant, et non après sa mort, comme les autres.

Pour autant, le «malaise vaginal» de ce dimanche 2 décembre 2018, quelques heures seulement après celui du samedi 1er décembre 2018, a créé une confusion confondante à Bête-Salam, où on pense organiser «l’élection présidentielle confirmative» si possible dans deux semaines et faire des Comores un don au fils Nour-El-Fatah, au nom du père, et avant que ce père ne meure et ne soit enterré. Bon courage…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 2 décembre 2018.


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