Assoumani Azali fait de Dieu un fraudeur d’élections
Cette fois-ci, le dictateur fou a dépassé toutes les limites
Par ARM
De la bouche du mécréant Assoumani Azali Boinaheri, les Comoriens ont entendu toutes les inepties et tous les blasphèmes. Les Comoriens ont entendu l’impie notoire Assoumani Azali Boinaheri, lors de sa première kleptocratie (1999-2006), dire que Dieu aura fort à faire le jour du Jugement dernier quand Il aura devant Lui des milliards de Chinois et d’États-Uniens avant d’arriver à lui, pour le juger, risquant à coup sûr de l’oublier. Les serviles, les rampants, les obséquieux et les mendiants avaient ri de leur rire le plus gras et le plus vil, sans même chercher à se rendre compte de la gravité de tels propos, blasphématoires en Islam.
Cette fois, l’athée Assoumani Azali Boinaheri, lors d’un meeting «électoral» au Stade Ajao de Moroni, a volontairement déclaré que Dieu est le Roi des fraudeurs d’élections, et s’est servi d’un verset du Saint Coran, qu’il a déformé, vidé de son sens, répété à satiété, sans jamais pouvoir le citer de façon correcte et entière:
«Dis: “Ô Allah, Maître de l’autorité absolue. Tu donnes l’autorité à qui Tu veux, et Tu arraches l’autorité à qui Tu veux; et Tu donnes la puissance à qui Tu veux, et Tu humilies qui Tu veux. Le bien est en Ta main et Tu es Omnipotentˮ» (III, La Famille d’Imrane, 26).
Se servant donc de ce noble verset du Saint Coran, l’irréligieux Assoumani Azali Boinaheri a dit ceci à un moment de son discours décousu, à travers lequel il se permet de parler de «démocratie»: «Dieu choisira celui qu’Il veut. Mais, ce dont nous devons nous rappeler, c’est que “Tu donnes l’autorité à qui Tu veuxˮ. Le pouvoir ira à celui qu’Il aura désigné. Alors, quand tu es battu lors des élections, ne pleure pas si tu es victime de la fraude électorale, même si c’est vrai. C’est Dieu qui le voulait. Celui qui a volé a volé parce que Dieu a voulu qu’il vole. Ceux qui voulaient voler n’ont-ils pas volé? Ne les avez-vous pas vus? Alors, si Dieu le veut, vous allez être élus par la fraude. Alors, vous devez lever le front, sans baisser les yeux, et que chacun considère qu’il a fait ce qu’il devait faire».
Franchement, est-ce le discours d’une personne en bonne santé mentale? Non! C’est la première fois dans l’Histoire de l’humanité qu’un prétendu dirigeant ose chanter en public les supposés vertus de la fraude et du vol, et surtout de faire de Dieu le Roi des fraudeurs d’élections. L’impie Assoumani Azali Boinaheri est fou par hérédité. Ceux qui le savent le savent. Aujourd’hui, ils se taisent. Cependant, quand il sera fusillé, égorgé ou empoisonné, les langues se délieront. En même temps, ce qui est vraiment révoltant dans tout ça, c’est quand des Comoriens se permettent de rire à haute voix chaque fois, c’est-à-dire souvent, que le mécréant de Mitsoudjé tient des propos inconvenants et injurieux, que ça soit contre Dieu ou contre les Anjouanais et les Mohéliens, qu’il traite de «races inférieures». Mais, comme disent les Français, «rira bien qui rira le dernier».
Enfin, contrairement aux dires du dictateur fou de Mitsoudjé, Dieu oblige le dirigeant de tenir compte de l’opinion du peuple. Dieu exige la Consultation. Celle-ci peut être électorale.
«[…]. Consulte-les sur toute chose» (III, La Famille d’Imran, 159).
«[…] Ceux qui délibèrent entre eux au sujet de leurs affaires […]» (XLI, La Délibération, 38).
Le bon dirigeant musulman consulte le peuple et tient compte de son opinion. «Mon peuple ne se mettra jamais d’accord sur une erreur», avait dit le Prophète Mohammed.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 18 janvier 2020.
