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Assoumani Azali et son homosexuel de Mtsangadjou

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Assoumani Azali et son homosexuel de Mtsangadjou

Le tyran compte sur l’aide des pédérastes pour le sauver

Par ARM

     Sale temps pour un dictateur ignorant, inculte, têtu et borné. Mesdames, Messieurs, le dictateur en question est une vieille connaissance. Vous le connaissez. Il a un nom, un visage et une adresse. Il s’agit du «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Il s’agit bien du triste sire qui s’est autoproclamé «Chef de la Religion», arguant du fait que c’est lui qui nomme le Mufti. Or, au moment où il débitait ses fadaises, le Mufti converti au Catholicisme était présent et n’a pas pipé mot. C’est le Mufti de la Soumission obséquieuse et de la Complicité. Pour des raisons d’humanité et de charité, vous êtes priés de ne pas rire, même si l’affaire suivante est l’une des plus ridicules et débiles de l’année.

La voici. Dans sa déclaration publique de l’autre jour, le Gouverneur Hassan Hamadi de la Grande-Comore avait dit être prêt à se sacrifier pour le pays, face aux crimes abjects du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Il était très outré et touché au fond de lui-même par le défi lancé par le tyran de Mitsoudjé, ayant décidé d’aller lancer la campagne son irréalisable référendum anticonstitutionnel dans son foyer d’origine du Dimani. Comme Djaffar Ahmed Saïd Hassani, Hassan Hamadi avait fait référence à ses aïeux, notamment au guerrier Massim, un de ceux que la mémoire collective a retenus parmi les combattants morts sur le champ d’honneur, dans le refus de la colonisation. Il a également rappelé être le descendant de Saïd Mohamed Cheikh, premier Président du Conseil de Gouvernement des Comores durant la période de l’autonomie interne. Il a insisté sur son statut d’homme de paix, mais qui sait faire respecter sa dignité, nolens volens.

Le jeudi 28 juin 2018, le tyran fou de Mitsoudjé a été dans la région Oichili-Dimani, prétendument pour inaugurer un tronçon de route. Quelle humiliation! En effet, après mille tractations tortueuses pour que le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri soit autorisé à organiser son machin à Mtsangadjou, la population s’était opposée catégoriquement à sa venue sur les lieux et à ses fanfaronnades. La population a perçu, à travers cette insistance, la volonté du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri d’humilier leur fils Hassan Hamadi dans son propre foyer d’origine, comme il voulait le faire dans la région d’Itsandra contre Djaffar Ahmed Saïd Hamadi.

C’est alors qu’entre en scène «le grand notable» Ismaïl Aboudou, originaire de ces lieux, connu sous le surnom de «Ismaïla cinq mille». Cet hurluberlu s’était fait fort, auprès de son maître, le bambochard Assoumani Azali Boinaheri, de convaincre la population locale, moyennant une grosse enveloppe et un marché à la MAMWÉ, d’accepter sur place le vaurien de Mitsoudjé, mais ce fut tintin. Tintin. Cet énergumène déguisé en grand notable a des besoins d’argent très importants. La raison de sa folie dépensière étant connue des initiés triés sur le volet, il suffirait à peine de signaler qu’il aime sodomiser les jeunes garçons, qui lui coûtent beaucoup d’argent. Il est connu comme étant un grand pédéraste très, très actif. Oui, Monsieur est pédé comme un phoque.

Dans sa ville natale, les gens racontent à souhait une anecdote qui circule depuis des années. Le jour du décès du père de «Ismaïla cinq mille», toute la ville le cherchait partout pour le lever du corps, et personne ne savait où était le fils maudit, l’homosexuel pathologique. C’est à la dernière minute que le pédé a été retrouvé dans une paillotte («banga» ou «vala») en train de sodomiser comme un soudard un petit jeune, pendant que toute la région et la ville pleuraient le décès de son père. Il a été attrapé, marginalisé par la ville et la région. Voilà le personnage. C’est lui qui doit sauver la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé.

C’est sur cet énergumène que le criminel Assoumani Azali Boinaheri a tout misé pour sa fête à Mtsagadjou. En réalité, après d’âpres négociations, cet homosexuel s’est heurté au refus catégorique de la ville Mtsagadjou-Dimani. C’est seulement après ce refus catégorique que le pédé «Ismaïla cinq mille» s’est résigné à organiser la manifestation de la honte à Ouadani, sur les hauteurs de Mtsangadjou-Dimani. C’est dans cette plaine que les localités des alentours ont l’habitude d’attacher leurs cabris et leurs bœufs pour qu’ils puissent brouter. Quand on observe bien les images de la prétendue cérémonie, on constate que tous ceux qui ont pris part à ce meeting douteux sont des fonctionnaires transportés de Moroni par des bus affrétés par Bellou Magochi. Les cadres de Dimani ainsi que les vrais notables de la région et de la ville n’ont pas assisté à cette rencontre fangeuse, qui avait pour but d’humilier leur fils Hassan Hamadi.

Dès lors, nonobstant les discours d’autosatisfaction et d’autoglorification, Bakapihi est rentré très, très furieux à Moroni. Il a compris qu’il a été roulé dans la farine par «Ismaïla cinq mille» et Bellou Magochi. Dans la soirée du jeudi 28 juin 2018, les notables de Mtsangadjou se sont tous réunis pour discuter sur la sanction qu’ils allaient infliger à «Ismaïla cinq mille», qui copie ses pratiques sexuelles sur les ânes. On croit que ça sera le bannissement, mais pour l’heure, ils n’ont pas encore publiquement prononcé la sanction. Pour autant, ils ont une satisfaction: ils disent que le dictateur fou de Mitsoudjé n’a pas été reçu au chef-lieu de Dimani, mais à Ouadani, sur la plaine où chèvres et bœufs sont régulièrement attachés.

C’est un juste retour des choses, surtout quand on sait que Bakapihi était dans la région avec la ferme intention d’humilier Hassan Hamadi, un enfant de la ville et de la région. C’est ce même Bakapihi, le cultivateur de la pédérastie des pédérastes, qui est ressorti humilié par et de la région du Gouverneur de la Grande-Comore. C’est la région de Massim et Mtsala, mais l’ignorant de Mitsoudjé ne connaît pas l’Histoire de son pays. Son Histoire à lui, ses valeurs à lui, sont celles de la fuite devant Robert «Bob» Denard le 28 septembre 1995, la manière honteuse qu’il avait eu à se cacher en slip sous une table et dans les toilettes de l’Ambassade de France aux Comores, les coups d’État contre un peuple gentil et pacifique. Le troufion et tourlourou Assoumani Azali Boinaheri ne connaît pas les héros du pays. Le mot «héros» fait partie d’un vocabulaire qu’il ignore.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 29 juin 2018.


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