Assoumani Azali et ses pédérastes, bousculés à Roissy
Les patriotes ont pris à partie la bande de petites tantouzes
Par ARM
«Louange à Dieu, le Maître de l’Univers, le Clément, le Miséricordieux, le Souverain du Jour du Jugement dernier! C’est Toi que nous adorons! C’est Toi dont nous implorons le secours! Guide-nous dans la Voie droite, la voie de ceux que Tu as comblés de bienfaits, non celle de ceux qui ont mérité Ta colère ni celle des égarés!» (Coran, I, Al Fatiha, L’Ouverture, 1-7).
Le Musulman n’a pas besoin d’un événement particulier pour adresser ses remerciements et louanges à Dieu. Et quand, en plus, il voit les images qui nous viennent de Paris ce dimanche 10 novembre 2019, il a une raison supplémentaire de remercier Dieu. Ces images sont libératrices: elles montrent des Comoriens houspillant et bousculant la bande de voyous et de tarlouzes accompagnant à Paris le dictateur fou de Mitsoudjé. Nos valeureux combattants de la liberté traitent à juste titre ces voyous de voleurs et d’assassins, leur jetant à la figure tous leurs crimes et exactions sur les Comoriens aux Comores. Ils leur crient: «Vous n’êtes pas aux Comores ici». Il a fallu une intervention de la Police française et le détournement d’une partie de la délégation de filous et tantouzes vers une autre sortie de l’Aéroport pour éviter le lynchage.
Ces images sont sucrées, délicieuses, précieuses et paradisiaques parce qu’elles prouvent qu’il existe des Comoriens qui aiment vraiment leur pays. Si ces événements avaient eu lieu à l’époque où je vivais encore à Paris, j’aurais été parmi ces patriotes qui viennent de prouver leur amour et leur attachement à leur pays. Quelle belle scène! Quelles belles images! Au cours de la bousculade, on a vu les deux bandits notoires Mohamed Abdou Mbechezi et le shakespearien Saïd Ali Saïd Ahmed traités en vieilles putes ne servant plus à rien qu’ils sont. Il a été rappelé au voyou Saïd Ali Saïd Ahmed le jour où, devant l’Ambassade des Comores à Paris, il a traité de voleur le père d’un Comorien qu’il ne connaît. Il fut secoué, et rapidement, sa cravate à deux sous devint une cravache dans le cou d’un taureau de Palécouma, sur les hauteurs de Mohéli. Si au départ, l’arsouille Saïd Ali Saïd Ahmed riait jaune, ce rire artificiel disparut sous l’action de nos valeureux combattants de la liberté, dont la lutte n’a rien à envier à celle de Nelson Mandela. Ces Comoriens savent que les portes de leur pays leur sont fermées tant qu’aux Comores règnera dans le sang le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».
Maintenant, la France n’est plus un lieu de rêveries et de promenades pour le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri et sa bande de roquets. Or, ces voyous sont toujours incapable de tirer deux conclusions. D’une part, ils sont rejetés par les Comoriens à cause de leur politique criminelle, qu’ils refusent de reconsidérer et d’abandonner. D’autre part, ce qui leur arrive est nouveau puisque, avant, les Comoriens n’ont jamais manifesté autant d’hostilité, de haine, de détestation, de mépris et d’aversion envers des dirigeants de leur pays à l’étranger. Il va sans dire qu’aucun dictateur dans le monde ne peut remporter une guerre de cette envergure. Forcément, cette guerre finira par la mort violente du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri, de son épouse Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», et des enfants nés de ce couple de serpents venimeux.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 11 novembre 2019.
