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Assoumani Azali est encore tombé aujourd’hui

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Assoumani Azali est encore tombé aujourd’hui

En plus d’être sénile, gâteux et dyslexique, il tombe

Par ARM

     Les gens n’en peuvent plus. Oui, les visiteurs du soir, les solliciteurs qui sollicitent, les mendiants qui mendient, les transhumants politiques qui font de la transhumance politicienne, et les thuriféraires qui flattent et dégoulinent de l’obséquiosité la plus servile n’en peuvent plus. Ils ne peuvent plus engager une discussion avec un mort-vivant, avec un individu plus mort que vif. Vous l’aurez deviné: l’un des plus grands calvaires qui existent aujourd’hui aux Comores réside dans le fait de s’asseoir aux côtés du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Oui, un calvaire. Il est sénile, gâteux et dyslexique. Personne ne comprend ce qu’il dit.

Il radote devant les gens.

Il divague devant les gens.

Il délire devant les gens.

Il bafouille devant les gens.

Il rêve debout devant les gens.

Il est incapable de prononcer les mots d’une certaine longueur comme «Constitution», «institution», «République», etc. Il bafouille. Ce site avait signalé ce problème de langage depuis 2016. Les grincheux et les haineux avaient crié à l’acharnement obsessionnel.

Qui plus est, déjà, le 30 décembre 2015, devant moi, à la Salle multifonctionnelle de Fomboni, il confondait les dates, incapable de savoir que l’Accord-cadre de réconciliation signé dans la capitale mohélienne l’avait été en 2001 (17 février 2001) et que le débarquement militaire chassant les séparatistes d’Anjouan l’avait été en 2008 (le 25 mars 2008). Récemment, en France, devant la presse, il avait tenu les propos les plus biscornus et les plus décousus, faisant rire à mort les Comoriens. Peu de jours plus tard, soit le samedi 1er samedi 2018, il faisait son fameux «malaise vaginal». Comme on dit à Mohéli, il est tombé comme un baobab, étant entendu que le baobab ne tombe jamais sous la poussée du vent, mais quand il fait vraiment beau.

Mais, en plus de subir les radotages du dictateur fou de Mitsoudjé, ceux qui vont le solliciter subissent également ses chutes. Ce vendredi 21 décembre 2018, la chute qu’il a faite a failli lui faire exploser les poumons. De nouveau, il est tombé. De nouveau, il a fait un «malaise vaginal». Le pauvre chéri! Ah! Lui qui se prend pour Dieu, lui qui traite les Comoriens de «chiens», lui qui se voit à Bête-Salam à mort, il est si mal en point? Le destructeur d’hôpitaux est malade? Comment un homme qui se prend pour Dieu a-t-il accepté d’être malade?

Pour autant, ses maladies ont un «avantage républicain»: quand le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri fait ses «malaises vaginaux», il est monstrueusement effrayant. Comme il tombe chaque jour, bientôt, personne ne se hasardera à Bête-Salam, puisque personne n’a envie d’assister quotidiennement aux chutes d’un monstre effrayant. Ça fera faire des économies, puisque le nombre de mendiants va diminuer.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 21 décembre 2018.


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