«Presque» veuve, Ambari Darouèche s’entraîne au deuil
Répétitions de veuvage dans la joie et la très bonne humeur
Par ARM
Ayant fait ses études supérieures au Maroc, où elle n’a pas laissé le souvenir d’une étudiante intelligente et brillante, la «presque» veuve Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», a appris une seule chose dans ce pays: les veuves s’habillent en blanc au cours de leur période de deuil. Aujourd’hui, elle s’affiche en blanc, entourée des courtisanes et des eunuques de son sérail. On l’aura compris: elle est déjà entrée dans le veuvage, elle dont la famille a été appelée d’urgence au Maroc, où son vaurien d’époux avait été hospitalisé à la suite d’un «malaise vaginal» à l’Aéroport de Marrakech, et ce, pour recevoir un ordre: «Ramenez-le tout de suite aux Comores pour qu’il puisse y mourir parce qu’il n’y a rien à faire pour lui. Faites attention parce que, à tout moment, il risque la mort».
La «presque» veuve Ambari Darouèche effectue ses entraînements de veuvage dans la joie et la bonne humeur, en pensant à tous les millions d’euros, soit des dizaines de milliards de francs comoriens, qui ont été placés dans les comptes bancaires à l’étranger par le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Quelles belles nuits de veuvage elle va pouvoir passer dans les suites d’hôtels à Dubaï avec qui on sait, sans pouvoir dépenser tout cet argent! Cela s’appelle «l’émergence à l’horizon 2030 par le veuvage de la veuve joyeuse».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 22 décembre 2018.
