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Ambari Darouèche tombe par terre à Mutsamudu

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Ambari Darouèche tombe par terre à Mutsamudu

Des bruits de balles non loin du tyran Assoumani Azali

Par ARM

     Le châtiment de Dieu a commencé à s’abattre en public sur le couple maudit formé par la vieille rombière Ambari Darouèche et le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». C’est que, à Mutsamudu, Anjouan, ce dimanche 24 juin 2018, au cours d’une énième cérémonie de la honte, de la haine et de la malédiction, au moment où la vieille maquerelle Ambari Darouèche, première épouse du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, faisait son entrée méprisable sur les lieux, elle est tombée par terre et a été filmée en direct par les cameramen de l’ORTC, l’«odieux-visuel» public comorien. Ces cameramen, au lieu de regarder ailleurs, ont filmé toute la scène avec une joie sadique, se montrant impitoyables et insensibles aux malheurs de la mère des voleurs et voleuses, comme s’ils ne comprenaient pas la gravité de la situation. La vieille maquerelle devra aller se faire soigner à l’étranger, sauf si Madame Saïd Larifou s’autoproclame médecin et se propose de la soigner.

Les images montrant la chute de cette voleuse spécialisée dans les injures et les menaces envers les Comoriens sont celles d’un régime politique pourri et vermoulu qui tombe. Ceci est d’autant plus vrai que, au cours de cette cérémonie de la fange, les Comoriens ont entendu des bruits de balles. Les soldats présents ont essayé d’en localiser l’origine, et n’ont rien vu. La prochaine fois, les balles vont atteindre leur cible: le cœur du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri dit «le mort-vivant». Attendez et vous verrez…

Comme un malheur arrive rarement seul, une délégation étrangère était attendue à Bête-Salam. Mais, que fait-elle? Elle se contente de rencontrer le seul homme qui, dans le régime politique actuel, est du côté de la vérité et du Droit: Djaffar Ahmed Saïd Hassani, que tous les Comoriens aimant leur pays doivent soutenir sans réserve depuis sa brillante et patriotique déclaration du samedi16 juin 2018. Après cette rencontre, la délégation internationale a repris l’avion sans même chercher à voir le bambochard Assoumani Azali Boinaheri et ses chaouchs qui, pourtant, l’attendaient.

De nouveau, c’est la consternation à Bête-Salam, réduite à compter sur la bouche impossible à fermer d’un Houmed Msaïdié Mdahoma, qui répète comme un perroquet: «La communauté internationale doit nous laisser régler nos affaires sans intervention extérieure». Comment a-t-il fait tomber si bas et suivre dans leur chute sans gloire les «navigateurs» et transhumants Madame Saïd Larifou et Ibrahim Ali Mzimba? Décidément, certains ont du mal à sortir de la petitesse et de la médiocrité… Comment regarder en face de tels individus sans avoir honte pour eux, à leur place?

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 24 juin 2018.


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