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Assoumani Azali a vraiment eu raison d’avoir eu tort

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Assoumani Azali a vraiment eu raison d’avoir eu tort

Il fraude déjà les scrutins, mais ne peut pas tout contrôler

Par ARM

     À tous points de vue, il est un mauvais militaire. Là, il n’est même pas question de rappeler le 28 septembre 1995 quand, alors chef d’État-major de l’Armée comorienne, il avait fui en slip devant Robert «Bob» Denard et ses mercenaires qui renversaient le Président Saïd Mohamed Djohar, pour aller se cacher sous une table et dans les toilettes de l’Ambassade de France aux Comores. Il est un mauvais militaire notamment parce qu’il surestime toujours sa propre importance, et sous-estime l’adversaire. Il croit qu’il peut continuer à imposer toutes ses vues au peuple comorien. Aujourd’hui, il est dans le doute. Ceci est d’autant plus vrai que le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», voit plusieurs tuiles lui tomber sur la tête.

1.- Il croyait que Mohamed Ali Soilihi, qu’il a arbitrairement placé en résidence surveillée, n’allait pas être candidat à l’élection présidentielle; Mohamed Ali Soilihi est candidat.

2.- Il croyait que sa Cour suprême n’allait pas valider la candidature de Mohamed Ali Soilihi; sa Cour suprême a validé la candidature légale de Mohamed Ali Soilihi.

3.- En désespoir de cause, il lança le mercenaire Nourdine Abodo dans une folle aventure destinée à faire invalider la candidature de Mohamed Ali Soilihi; or, du point de vue du Droit, l’abject Nourdine Abodo n’a aucun argument à développer pour faire invalider la candidature de Mohamed Ali Soilihi.

4.- Dans la précipitation, il fait convoquer Mohamed Ali Soilihi au Tribunal de Moroni ce samedi 2 février 2019, alors que ce dernier a tous les dossiers comptables établissant son innocence sur la «citoyenneté économique». Qui plus est, le dictateur fou de Mitsoudjé ne pourra jamais faire condamner Mohamed Ali Soilihi et faire invalider sa candidature.

5.- Aujourd’hui, la communauté internationale ne veut plus laisser le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri organiser les élections à sa guise. Elle veut s’y impliquer et empêcher ce voleur de voler de nouveau. C’est le début de la fin pour le tyran de Mitsoudjé.

6.- Si les élections sont supervisées par la communauté internationale, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri sera éliminé dès le premier tour et, même en étant en résidence surveillée, Mohamed Ali Soilihi sera rétabli dans ses droits de 2016, puisqu’il sera le prochain Président des Comores. Mohamed Ali Soilihi sera élu sans organiser un seul meeting.

7.- Le mauvais militaire qu’est le «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri avait trop sous-estimé Mohamed Ali Soilihi, et admet aujourd’hui que celui-ci est devenu une lumière d’espoir dans la longue nuit noire qui a commencé le jeudi 26 mai 2016. Si les deux hommes s’affrontaient dans le cadre d’une élection vraiment libre, le bambochard Assoumani Azali Boinaheri serait incapable de recueillir 5% des suffrages. À Kiki, il répète: «Faisons tout pour empêcher la supervision internationale de l’élection. Si nous n’y arrivons pas, nous sommes foutus».

8.- Le putschiste Assoumani Azali Boinaheri est un profanateur de tombes; il a profané la tombe de son propre père en 2016. Toujours en 2016, un sorcier de Pemba (Tanzanie) lui a dit qu’il ne finirait pas sa troisième de pouvoir au cas où il serait élu par la fraude, puisque ne pouvant se faire «élire» que par la fraude. Son projet électoral de 2019 avait pour but de jouer sur cette troisième année. Cependant, Mohamed Ali Soilihi le fait trembler même dans son sommeil. Il a fini par comprendre qu’il s’est tendu lui-même un piège mortel en organisant des élections qu’il ne pourra jamais remporter, même en comptant sur les saletés malsaines de Kiki. Il est rattrapé par ses propres incohérences. Il est rattrapé par ses propres crimes.

     Le 26 mai 2019, ce n’est pas lui qui sera investi Président des Comores. La détestation, la haine, le dégoût, le mépris et le rejet qu’il suscite chez les Comoriens sont tellement forts qu’il ne sortira jamais vainqueur d’une élection un jour, lui qui ne connaît que la violence et la fraude.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 3 février 2019.


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