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Après l’agonie des politicards, la mort de la politique

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Après l’agonie des politicards, la mort de la politique

Mouigni Baraka, Saïd-Abasse Dahalani et autres féaux

Par ARM

     Belle leçon d’hypocrisie, n’est-ce pas? Depuis des années, votre site préféré martèle que Mouigni Baraka, fils Saïd Soilihi, et Saïd-Abasse Dahalani sont des traîtres à la solde du dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Les haineux ont tout fait pour ignorer l’alerte, pendant que les deux filous notoires font leur chou sur le dos des Comoriens. Ces derniers auraient tant voulu voir Saïd-Abasse Dahalani se faire élire ne serait-ce que chef des balayeurs de quartier chez lui à Mitsamiouli avant de vouloir incarner un destin national et se faire le porte-parole de l’île de Mohéli, avec la complicité, accusent les Mohéliens aimant leur île, des aînés Charif Abdallah Mohadji, Mohamed Larif Oucacha et Aboubacar Allaoui. De longue date, Saïd-Abasse Dahalani, qui ne sait même pas ce que signifient les termes juridiques qu’il aime agiter devant son petit monde, obtient toujours des contrats des mains du dictateur de Mitsoudjé, en contrepartie de sa trahison envers le peuple comorien. Quand, en compagnie des roquets de son COMRED, il est parti voir le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, il avait demandé à ce qu’il n’y ait pas des photos immortalisant la remise des Trente Deniers de Judas. Mais, les deux complices ont eu leur rencontre sur le dos des Comoriens, et la chose se sait.

Le boulanger Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, a officialisé sa complicité avec la dictature de Mitsoudjé, en étant reçu publiquement à Bête-Salamalecs, au lieu de se cacher comme les autres fois. Mais, il ne faut accorder de l’importance à une chose qui n’en a pas: les deux lascars ne représentent qu’eux-mêmes. Comme l’avait constaté Philippe Decraene en décembre 1972, «certes, comme nous l’affirmait un administrateur, “Moroni n’est pas la Grande-Comore et la Grande-Comore elle-même n’est pas l’archipel”. Mais, depuis le transfert en 1962 du chef-lieu de ce territoire d’outre-mer de Mayotte en Grande-Comore, c’est à Moroni que se concentre pratiquement toute la vie politique de l’archipel»: Philippe Decraene: I.- Morosité à Moroni, Le Monde, Paris, 1er décembre 1972, p. 1. Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, et Saïd-Abasse Dahalani ne sont pas la Grande-Comore, encore moins les Comores.

Pourtant, il faut être prudent parce que certains Mohéliens accusent toute la classe politique de Grande-Comore d’être en complicité avec le dictateur grand-comorien Assoumani Azali Boinaheri. Le Mohélien Saïd Antoissi accuse tous les politiciens grands-comoriens de soutenir les projets dictatoriaux du tyran Assoumani Azali Boinaheri: «(1) Tous hommes et femmes politiques grand-Comoriens de l’opposition et des proches de Azali ont tous la même intention “garder le pouvoir à Ngazidja pendant la Transition et déposer leurs respectives aux élections présidentielles de 2024ˮ; (2) c’est pour cela qu’il y un partage d’accord secret entre Azali et les Responsables des partis et mouvements de l’opposition […] et quelques complices des autres îles; (3) ils se concertent tous en eux secrètement et certains reçoivent l’argent de Azali pour casser l’opposition notamment à Anjouan et à Mohéli pour lesquels ils doivent être empêchés d’agir; (4) les grand-comoriens visent donc, un seul objectif, garder le pouvoir jusqu’en 2029; et pour y arriver, ils veulent pousser les Anjouanais et les Mohéliens dans OUKOUTROUZI [Séparatisme]… Conclusion: les Grands-Comoriens pourraient-ils gouverner seuls l’ensemble des îles Comores? Avons-nous fait le nécessaire pour nous rapprocher des Anjouanais rapidement pour préparer la riposte si mes craintes se réalisent? Que le bon Dieu nous sauve de la situation politique à laquelle nous vivons actuellement ou nous allons vivre jusqu’en 2024». Des politiciens grands-comoriens sont furieux après avoir lu la déclaration de Saïd Antoissi.

Les politicards ont agonisé, et la politique est morte aux Comores. Comment un tel phénomène ne se serait-il pas produit quand on sait qu’aujourd’hui, le grand donneur des leçons est «Hadj» Mbaé Soilihi de Mbéni, dans le Hamahamet, en Grande-Comore? Cet homme-là est payé par Ibrahim Ali Mzimba, le faussaire de diplômes français et documents administratifs français, le proxénète et maquereau, qui a déterré le cadavre de sa propre sœur pour une sombre affaire d’héritage. Oui, «Hadj» Mbaé Soilihi est payé pour insulter et calomnier Maître Fahmi Saïd Ibrahim et Abdelaziz Riziki Mohamed (ARM). Or, «Hadj» Mbaé Soilihi a tort parce que, d’une part, il n’a aucune compétence pour prendre part à un débat public portant sur des questions de Droit, lui qui n’a jamais été à l’École, et qui est à CP1 moins 3. D’autre part, «Hadj» Mbaé Soilihi est un voleur. Quand il vivait à Mbéni, il passait sa vie à voler les chèvres et les poulets, et à dévaliser les boutiques et magasins. Un jour, pris en flagrant délit de vol dans une boutique, le boutiquier l’avait attaché à un poteau, en public, et les passants le maudissaient et crachaient sur lui. Morte de honte, sa famille l’a fait fuir en France, avec des faux papiers. Ce voleur vit en France avec des faux papiers. Je le mets au défi de publier sur les réseaux sociaux son passeport ou sa carte d’identité. Et c’est ce voleur qui rythme la vie politique et médiatique aux Comores, un ignorant, un analphabète, un voleur de chèvres et de poules, et dévaliseur de boutiques doublé d’un faussaire, qui n’est même pas digne d’enlever la poussière des chaussures des juristes formés au Maroc et en France qu’il est payé pour calomnier et insulter contre l’argent de la prostitution et du proxénétisme?

Les Comores sont tombées bien bas.

Si vous ne croyez pas ce que j’affirme ici, je vous invite à interroger n’importe quel Mbénien sur ce malfaiteur de «Hadj» Mbaé Soilihi.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 13 septembre 2022.


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2 Comments

  • imani

    septembre 18, 2022 at 10:02

    LA MANIGANCE POLITIQUE DE MOUIGNI BARAKA ET SES EPIGONES.
    Le ralliement de MOUIGNI BARAKA au colonel Azali ASSOUMANI est tout sauf un hasard. Il s’agit précisément d’un jeu de dupe.

    d’abord, il a envoyé ses épigones pour débroussailler le terrain. Et ceux qui ne maitrisent pas la politique pensaient qu’il s’agissait d’une trahison politique. Or, en politique, il faut toujours prendre la température des électeurs avant toute décision de lourde sens. c’est dans cette optique que MOUIGNI BARAKA, a envoyé ses lieutenants afin de mesurer le pouls de la population.

    par ailleurs, L’ancien gouverneur de Ntsoudjini a toujours été privilégié par le colonel Azali. Il a toujours bénéficié les faveurs de l’ancien ami du grand mufti. Nous ne devons pas se mentir car les opposants comoriens sont tous décédés. En effet, les opposants du colonel Azali sont tous des menteurs. Ces derniers ne cessent de bailler dans les rues de Paris en se prenant pour des gardiens de la démocratie et de la liberté aux Comores. Or, tous ont gouverné depuis 1975 à nos jours. Il y en a même qui ont gouverné avec Azali. C’est le cas Elarif. Sachez bien que les traitres se débusquent eux-mêmes.

    Les opposants peuvent continuer à mentir aux peuples comoriens mais un jour viendra la vérité.
    Car, un voleur lorsqu’il s’introduit chez le voisin, il laissera toujours des traces. Mr Elarif doit savoir cela entant qu’avocat.

    Bref, il est temps de mettre en route une nouvelle stratégie pour reconquérir l’opinion comorienne car l’image des opposants du colonel Azali est abimée.

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