Anissi Chamsidine balaie la basse-cour d’Assoumani Azali
Le pompeur sert contre «Tonton-m’a-dit» et Chayhane, nocifs
Par ARM
Le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri n’en peut plus contre deux de ses séides les plus proches et les plus encombrants:
A.- Monsieur Neveu Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», secrétaire général du gouvernement, le célèbre assassin et voleur d’organes humains, qui est également Premier ministre et Vice-président représentant les 3 îles et les 7 régions de la Grande-Comore.
B.- Saïd Ali Saïd Chayhane, l’inusable baby-sitter donnant le biberon et le sein à l’éternel bébé, celui qui ne grandit jamais, pour être nommé, par le passé, Directeur général de la Douane, sans en avoir les qualifications, et actuellement, «ministrillon» des Finances, sans en avoir la compétence.
Les deux rigolos nocifs et toxiques ont pris la grosse tête, se croyant indispensables. «Tonton-m’a-dit», le neveu et enfant gâté à qui Tonton ne refuse rien énerve. Saïd Ali Chayhane va plus loin, entretenant des relations pourries et empoisonnées avec Houmed Msaïdié Mdahoma, Mohamed Elamine Souef, cousin du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, Kiki et Maoulana Charif, «Le Mauvais Fils», selon la terminologie vengeresse de Tatie Ambari Darouèche, la première épouse du tyran. Même si Maoulana Charif ne trône plus à l’Assemblée de l’Union des Comores et végète à l’Université des Notes sexuellement transmissibles, il est resté influent. Saïd Ali Saïd Chayhane lui a fait un coup de vache en faisant chasser de la Direction de l’Autorité des Ports des Comores (APC) sa plus que très chère Toilabya Soilihi, que Maoulana Charif a dû faire marier lui-même à quelqu’un d’autre. On dit que le bandit Maoulana Charif n’en survivra pas.
Alors, comme le dictateur ne veut pas se charger lui-même de «Tonton-m’a-dit» et de Saïd Ali Saïd Chayhane, il a demandé à son pompeur et pompiste Anissi Chamsidine, l’usurpateur portant le titre ronflant de «Gouverneur» d’Anjouan, de se charger de ces deux proches tellement toxiques et nocifs qu’ils sont devenus ingérables et insupportables. Quand le pompeur et pompiste Anissi Chamsidine attaque les deux toxiques, il ne fait que répéter les consignes venues du dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri, qui ne sait plus ce qu’il doit faire avec ces deux tarés, qui se croient indispensables. En même temps, Anissi Chamsidine doit faire attention parce que, à tout moment, son chef peut faire rentrer dans ses grâces ses deux brebis galeuses. Si cela arrive, Anissi Chamsidine se retrouvera en train de cultiver les ignames et de déterrer les hérissons dans son hameau de Maraharé.
Anissi Chamsidine est habitué à faire le larbin auprès des autres, mais devra un jour se résoudre à prendre position en faveur d’Anjouan-2021 au lieu de s’immiscer dans les petites affaires de la basse-cour du tyran Assoumani Azali Boinaheri. Qu’on le lui dise!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 26 juin 2020
