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Assoumani Azali a la plus grande cour de faussaires

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Assoumani Azali a la plus grande cour de faussaires

Faux diplômes, fausses expertises, fausses compétences

Par ARM

       La chose fait rire les Comoriens. En 2019, la dictature de Mitsoudjé a fait un pas de plus dans l’absurdité et la farce sinistre. Pour licencier des opposants, elle a créé le prétexte des faux diplômes. Certes, les faux diplômes sont une plaie aux Comores. Leur livrer une chasse est une action de salubrité publique. Mais, il s’agit de quels faux diplômes, quand ce fléau est une pandémie «mondiale» dans l’entourage du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger»? Les faussaires les plus emblématiques de la basse-cour du dictateur fou de Mitsoudjé sont:

1.- La dictatrice au nom de l’époux, Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», a une Maîtrise et non un Diplôme d’Études approfondies (DÉA) de l’École nationale d’Administration publique (ÉNAP) de Rabat, Maroc, où j’allais faire une partie de mes études supérieures par la suite. Or, son chéri claironne et pérore en ces termes: «En outre, je n’avais aucune inquiétude sur le plan personnel, car mon épouse, bien que titulaire d’un Diplôme d’Études Approfondies (DÉA), a accepté de cesser ses activités professionnelles pour s’occuper de la famille»: Assoumani Azali: Quand j’étais Président. Entretiens avec Charles Onana, Éditions Duboiris, Paris, 2009, p. 159. Ça fait rire: celle qui a usurpé le titre de «Mère de la nation» est une vulgaire faussaire. Pouah! Quelle horreur!

2.- L’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi, chantre du «français manioc et façon-façon», ex-Professeur remplaçant de Collèges en banlieue parisienne, s’est autoproclamé «Professeur des Universités en France». Il a à peine une Licence, et il devient Docteur? Docteur en quoi?

3.- Kiki, ancien maître-nageur à Dunkerque, est l’auteur de la plus grande performance universitaire mondiale, en «obtenant» le même jour son «Master 2» et son «Doctorat» en «Intelligence économique», intervalle demandant à un chercheur brillant au moins 3 ans.

4.- Monsieur Cousin Mohamed Elamine Souef, arrivé au Maroc sans un DEUG (Bac + 2) en 1988, quittera ce pays la même année, sans le moindre diplôme, mais prétendra par la suite préparer un «Doctorat» à Tanger sans même un Bac + 1. En 1996, Ambassadeur en Égypte, il se rend à Fez, et demande au Recteur de l’Université de lui délivrer une Maîtrise fictive, se faisant chasser du bureau de ce dernier. Il s’autoproclame «Diplomate de formation et de carrière» après un passage dans une école coranique de Talibans au Pakistan. Fanatique!

5.- Le «Docteur» Sounhadj Attoumane est le plus grand faux cardiologue de l’Histoire de l’humanité. Sa «capacité» à tuer les patients est tellement élevée que deux vrais cardiologues parisiens lui ont écrit pour lui intimer l’ordre de ne plus exercer en cardiologie. En pays normal, il aurait été fusillé 36 fois pour ses diagnostics et ordonnances tuant ses patients.

6.- Saïd Ahmed Saïd Abdillah, le faux Docteur en Médecine «Made in Madagascar», l’homme au français sans masculin, ni féminin, et qui a ramené tous les mots au genre neutre.

7.- Ibrahim Ali Mzimba. Ses ennemis vont loin dans l’accusation, certains disant qu’il se sert du diplôme d’un parent mort.

8.- Le fugitif international Hamada Madi Boléro: Sur la quatrième de couverture du Tome I de ses prétendus «Mémoires», il a écrit: «Hamada Madi Boléro est né en 1965 à Boingoma (Mohéli, Comores). Il a effectué ses études en URSS (Kiev), où il a obtenu un “Master of Law” (DÉA)». Parfois, il parle de MBA (Master of Business Administration) et même de «Doctorat». Or, en URSS, bastion du communisme, de la Révolution de 1917 à sa fin, le 31 décembre 1991, les étudiants ne préparaient ni Master of Law, ni MBA, diplômes anglo-saxons et capitalistes. À la page 38 du Tome 1 de ses prétendus «Mémoires», il s’attribue frauduleusement une Thèse de Doctorat et le titre de Docteur en Relations internationales: «Lorsqu’en avril 1992, je présentais ma thèse à l’université d’État de Kiev (capitale de l’Ukraine soviétique), un de mes très proches amis, Mirhane Bourhane, docteur en relations internationales, s’était étonné du choix du sujet: “Le système fédéral et les relations internationales entre les États en cas de dislocation d’un État fédéral et la mise en place d’un nouvel État”». Ouf! Ouf! Au secours! À l’aide! Il aurait pu intituler son truc: «Fédéralisme et succession d’États» ou «La succession d’États dans les systèmes fédéraux». Il parle de «Thèse», synonyme de «Thèse de Doctorat», «Thèse de Doctorat d’État» ou «Thèse de Doctorat de Troisième Cycle», dans le cas de certains régimes universitaires. Or, il n’y a ni de «Thèse de DÉA», ni de «Thèse de “Master of Law”».

9.- Ahmed Djaza Mohamed, instituteur à Fomboni dans les années 1970, «Docteur en Médecine» après quelques jours en URSS. Inventeur du «104%» des électeurs.

10.- Ahamada Ahamadi, le petit épicier aigri de Mohoro, policier dans les années 1970, est devenu «Docteur en Médecine» après avoir passé quelques jours en URSS, où il a éclusé en vodka l’égal de 3 fleuves. Il était surnommé «Docteur Paracétamol», son remède miracle.

11.- Mohamed Djounaïdi Soilihi, l’éternel protégé d’Ambari Darouèche, a fait rédiger son Mémoire de fin d’études à l’ÉNAP par Mohamed Abdou Mouigni dit Méda, de Panda.

12.- Mohamed Abdou Mbechezi a ruiné son père, entrepreneur prospère, par des études supérieures qui seront sanctionnées par zéro diplôme. Le pauvre chéri…

13.- À ce jour, personne n’a été en mesure de dire où le fou maudit Nourdine Abodo a fait ses prétendues études en «Droit». En tout cas, s’il est juriste, moi, je ne le suis pas.

14.- Msa Ali Djamal, Roi des tarés et des menteurs, n’est expert qu’en mensonges et en injures sur Internet, après avoir décidé de ne jamais avoir un semblant de dignité et d’honneur.

15.- L’insulteur officiel et grande gueule Houmed Msaïdié Mdahoma est diplômé en insultes.

16.- Le «Docteur» Ibrahima Souef, s’il était un vrai médecin, aurait dû commencer par se soigner lui-même afin d’éviter l’accident vasculaire cérébral (AVC) qui le tue actuellement.

17.- Lors de la mascarade électorale de 2016, l’avocate du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri se référait au Code électoral d’avant sa révision de 2014 et était hors-sujet.

18.- Quant à Issa Mliva, il est plus qu’un faussaire: c’est tout simplement un faux!

La liste des faussaires gravitant autour du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri est interminable. Vous allez y ajouter d’autres noms, pour démasquer les voyous!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 2 novembre 2019.


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