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Le serment de 3 magistrats devant Assoumani Azali

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Le serment de 3 magistrats devant Assoumani Azali

À Mitsoudjé, les voyous passent des ablutions au serment

Par ARM

     La honte absolue! C’est honteux! C’est abject, honteux et ignominieux! Qu’on s’en rende compte. Le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapiki, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», en personne, avant de nommer un Procureur pourri et deux juges d’instruction véreux, les avait fait venir à Mitsoudjé, l’autre soir, dans la plus grande discrétion. Il s’agit bien d’une discrétion qui se transforma en secret de Polichinelle puisque maintenant, vous allez tout savoir. Les trois voyous ont été obligés de faire les ablutions comme s’ils allaient faire la prière, et de jurer d’obéir fidèlement et obséquieusement aux fatwas et instructions du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Les trois magistrats maudits ont juré, comme des enfants, qu’ils resteraient fidèles à leur maître, et exécuteraient à la lettre les instructions, par lui, données.

Par la suite, le fou de Mitsoudjé leur a dit en criant qu’ils ne devaient écouter personne en dehors de lui-même. Il leur a répété toujours à très haute voix: «Vous devez jurer de n’obéir à personne d’autre, même pas à ma femme Ambari. La seule personne qui transmettra mes ordres, c’est Nourdine Abodo. Si besoin est, il vous appellera en personne, mais en aucun cas, vous ne devez vous rendre à la Présidence, même chez Bellou, et cela, sous aucun prétexte».

Les deux juges d’instruction en question sont Aliamani et Abdoulwahab. Le «juge» Aliamani est le neveu direct du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri. Il est le fils de sa demi-sœur de Mboudadjou-Bambao, du côté maternel du tyran fou de Mitsoudjé. Mboudadjou-Bambao se trouve sur les hauteurs de Vouvouni. Ce sont de très, très proches parents. Le voyou Aliamani a été nommé pour emprisonner l’ancien et inévitable prochain Président Ahmed Sambi et tous ceux cités dans l’enquête bidon sur «la citoyenneté économique». En juin 2016, ce «juge» véreux a été filmé en flagrant délit de tentative d’extorsion de fonds à l’Hôtel Retaj, à Moroni. La victime est un certain Assim, qui était le propriétaire de l’Hôtel le Moroni, connu pour être un grand ami du bambochard fou Assoumani Azali Boinaheri et l’avocate incompétente Foutoum Mohamed Zaïne, que le Tout-Moroni désigne comme la maîtresse d’Assim. Le sexe en veux-tu, en voilà.

Le juge, idiot qu’il est, s’était déplacé en personne à l’hôtel et, face à ses menaces d’extorsion, Assim avait crié devant tout le monde, et le «juge» maudit avait pris la poudre d’escampette devant les témoins. Il avait fui, le bougre! Le Procureur de la République l’époque avait été saisi, et il se trouve que ce Procureur s’appelait Mohamed Abdou. Le Procureur de la République et ses supérieurs, notamment le Procureur général et le Premier Président de la Cour d’Appel, avaient saisi le ministre de la Justice de l’époque: Maître Fahmi Saïd Ibrahim. Ce dernier l’avait immédiatement suspendu de ses fonctions et avait saisi la hiérarchie judiciaire. C’est ce juge Monsieur Neveu qui est chargé d’instruire l’affaire de «la citoyenneté économique» contre Ahmed Sambi et d’autres acteurs politiques de premier plan.

Le second «juge» pourri est Abdoulwahab. Celui-ci est le cousin germain de Maoulana Charif, Vice-président maudit de l’Assemblée de l’Union, connu pour voler avec la complicité de sa femme et pour «enceinter» les jeunes stagiaires avant de les faire avorter. Lui aussi avait été suspendu par le ministre Fahmi Saïd Ibrahim, pour un délit commis dans le cadre de son travail. Ce voyou avait commis un grave délit de droit commun.

Pour couronner le tout, on assiste à l’entrée en scène de Monsieur Neveu II, le brigand Abdoulhalim Hamadi, deuxième Substitut du Procureur au Tribunal de Moroni. Le voleur génétique Abdoulhalim Hamadi est le frère du malfaiteur Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», le prétendu secrétaire général du gouvernement, un poste dans lequel il n’a aucune espèce de compétence. Le voyou Abdoulhalim Hamadi a monté un énorme business de libération de prisonniers en contrepartie d’une forte somme d’argent. Fait très important, Abdoulhalim Hamadi est un homosexuel notoire, aime se faire sodomiser comme une ânesse de Palé-Kouma, à Mohéli, et est un grand caïd dans le milieu des trafiquants de voitures volées en France et vendues aux Comores. Kiki et aussi dans ce trabendo international. C’est Abdoulhalim Hamadi qui offre sa protection et l’impunité aux bandits. Les initiés savent qu’il est également dans l’importation de drogue, et offre sa protection aux trafiquants de drogue.

En réalité, Abdoulhalim Hamadi se présente partout comme le vrai chef du Parquet, et cela est avéré. Tous les autres membres du clan des ripoux de Mitsoudjé sont comme lui. Il est le frère de son frère et le neveu de son oncle, le poétique assassin Assoumani Azali Boinaheri.

La «Justice» de Papa est mise en coupe réglée, et la famille du tyran de Mitsoudjé procède toujours par la force pour passer en force. Enfin, ironie du sort, c’est le même Procureur Mohamed Abdou, changé par le mort-vivant Assoumani Azali Boinaheri en septembre 2016, qui vient d’être nommé Procureur aux côtés de ces deux «juges» par le même kleptocrate Assoumani Azali Boinaheri pour exécuter la sale besogne. Ainsi va la «justice» du soudard Assoumani Azali Boinaheri.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 27 juin 2018.


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