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Djaafar Ahmed Saïd tue les Comores face au monde

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Djaafar Ahmed Saïd tue les Comores face au monde

Sa conférence des experts tourne au vaudeville et tombola

Par ARM

      La chose a eu lieu du mardi 7 au jeudi 9 novembre 2017, à l’hôtel Retaj, de Moroni. Il s’agissait de la réunion des experts des pays de l’Afrique subsaharienne, réunion organisée conjointement par le beau-frère Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Ouf! Ouf!) et le Bureau sous-régional de la Commission des Nations Unies pour l’Afrique (CÉA). Cette réunion a été financée par l’ONU et constituait la session du 21ème Comité intergouvernemental d’Experts. Le thème choisi est grandiose et ambitieux: «Croissance et transformation en Afrique de l’Est. Accélérateurs et freins».

Tout cela est très bien. Mais, jusqu’au moment où il a fallu passer aux choses sérieuses, et là, ce fut tintin. Oui, ce fut tintin parce que la partie comorienne a été nulle, notamment en étant incapable de répondre aux questions économiques. Déjà, le beauf Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Au secours!), le «ministre de l’Économie», est un incapable, alors, vous pouvez imaginer ce que sont en Économie ses petites mères maquerelles à la petite semaine…

Et, il y a pire parce que le beauf Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Au feu!) a boudé cet important événement réunissant des experts de haut niveau, sauf ceux des Comores, pour partir à Mohéli avec le beauf qu’est le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri, et c’était le jeudi 9 novembre 2017. Hier.

Attendez, et vous n’avez pas fini de rire ou de pleurer parce que le pyromane Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, et accessoirement «ministre de l’Intérieur», l’homme qui a réussi la prouesse mondiale d’«obtenir» le même jour, son «Master 2» et son «Doctorat» en «Intelligence économique», remplaçant Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Par pitié!), était incapable de lire le discours de clôture. Il est incapable de lire ce qu’on écrit pour lui. Ce fut un immense scandale ponctué de rires dans la salle de conférences. Pour sa part, Fouad Goulam, amoureux comme un collégien d’une étudiante à Évry, en France, prétendument «Commissariat général au Plan», a été incapable de répondre aux questions pertinentes, participant ainsi à la préparation du fiasco de l’événement devant la communauté internationale. Les Comores venaient d’être enterrées vivantes par l’incompétence criminelle de ces énergumènes.

L’organisation de l’événement a été faite au petit bonheur la chance, et a relevé d’une absence totale de coordination entre le Cabinet du «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri, le secrétariat général du «ministère» du beauf Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Au feu!) et le ministère des Affaires étrangères. Il y a eu de l’assistance au lieu de l’assurance et de l’organisation, et ce fut une erreur terrible.

Plus piquant encore, le neveu Idaroussi Hamadi, secrétaire général du gouvernement dit «Tonton-m’a-dit», l’homme qui avait volé argent et matériel au ministère de la Production lors de la première kleptocratie de Tonton, qui fut jeté en prison par la suite avant de se faire libérer par un faux témoignage retentissant de son pote Bellou, a boudé l’événement. Il en est de même pour le baby-sitter Saïd-Ali Saïd-Chayhane, «ministre des Finances», avec qui le beauf Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Doux Jésus!) est en rude concurrence. Il faut dire que le «saigneur» Azali Assoumani Boinaheri manifeste un «amour» plus appuyé à son baby-sitter Saïd-Ali Saïd-Chayhane, et la chose n’est pas de nature à plaire au beauf Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Tudieu!). Le beauf Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Gloire à Dieu!) est en perte de vitesse partout au sein de l’appareil d’État.

      Toujours est-il que les experts présents ont été choqués en constatant l’incompétence criminelle des prétendus experts comoriens. Les Comoriens ont pouffé de rire en voyant dans la salle des conférences le fugitif international polygame Hamada Madi Boléro. Celui-ci se moque de cette conférence comme de son premier mensonge scélérat destiné à enterrer un adversaire politique. Il était à Moroni uniquement pour aller insulter et calomnier devant la Commission parlementaire chargée d’enquêter sur la «citoyenneté économique» le Vice-président Mohamed Ali Soilihi, à qui il a volé l’élection présidentielle de 2016 au profit d’un tyran incompétent, corrompu, inculte et borné.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 10 novembre 2017.


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