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«Le mendiant n’aime pas l’autre mendiant»

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«Le mendiant n’aime pas l’autre mendiant»

Injures entre Houmed Msaïdié et Saïd Larifou

Par ARM

      Pouah! Elle est infâme, la liste publiée ce vendredi 18 août 2017 et regroupant les noms des mendiants attitrés de BêteSalam, ceux qui touchent un salaire occulte et illégal du «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri pour faire du «lèche-bottisme». Elle est abjecte, cette liste. Un seul nom manque, mais doit figurer à la page suivante: celui de Houmed Msaïdié Mdahoma, qui a généreusement attribué à son pote le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri le titre de souverain de Droit divin dont «la parole a force de Loi». Voici cette liste de la honte, celle d’individus buvant le sang des Comoriens sans travailler pour l’État, mais juste parce qu’ils font du lèche-cul à Bête-Salam, à leur maître, le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri. Mesdames, Messieurs, lisez.

      Pouah! Même Saïd-Ahmed Saïd-Abdillah émarge à Bête-Salam. C’est un scandale. C’est une honte.

Au moment où cette liste a commencé à circuler, la première guerre mondiale comorienne est déclarée entre Houmed Msaïdié Mdahoma et Saïd Larifou, tous deux applaudisseurs, thuriféraires, laudateurs, flatteurs et chantres du génie divin de leur chef commun, le «saigneur» Azali Assoumani Boinaheri. Les séides des deux hommes s’injurient comme du poisson pourri sur Facebook. Ridicule et pathétique jusqu’au bout des ongles, le remuant Saïd Larifou a réuni son petit monde et a délivré le message suivant: «C’est Houmed Msaïdié qui m’a empêché d’être nommé ministre. Nous devons le combattre». Le message semble tout de même un peu gros parce que le même Houmed Msaïdié Mhahoma était en larmes quand la liste du nouveau gouvernement a été publiée sans que son nom n’y figure. Après avoir asséché ses larmes, il avait appelé toute l’opposition en demandant une mobilisation contre le pouvoir anticonstitutionnel en place. En tout état de cause, les injures échangées sur Facebook par les partisans des deux thuriféraires sont d’une bassesse insupportable. Pouah!

Mesdames, Messieurs, ne vous faites pas des nœuds à la tête. Pour comprendre l’origine des injures entre les deux camps de qui vous savez, vous devez juste faire un bon usage du proverbe mohélien selon lequel «le mendiant n’aime pas l’autre mendiant». Face à leur chef le matamore Azali Assoumani Boinaheri, les deux hurluberlus, l’un du Nord, l’autre du Sud de la Grande-Comore, sont en position de mendicité. Chacun se dit que les choses auraient été beaucoup plus simples si l’autre était mort et enterré. C’est honteux! C’est abject!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 19 août 2017.


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