Azali inaugure sa présidence africaine par l’assassinat
C’est un crime rituel, une de ses habitudes pour le pouvoir
Par ARM
On a entendu cet opposant d’Afrique centrale parler des testicules humains que mange son dictateur pour rester au pouvoir, et le tyran bat des records en la matière. Dans le fameux documentaire Mobutu, Roi du Zaïre, disponible sur YouTube, l’inégalable et inégalé, inimitable et inimité Dominique Sakombi Inongo (1940-2010), ministre de l’Information de Mobutu Sese Seko à 5 reprises, devenu Pasteur à l’église sur le tard, accuse son dictateur de boire du sang humain. Les dictateurs africains font des choses très inhumaines, sauvages et dégueulasses pour tenter de rester au pouvoir. Les crimes rituels font partie de ces saletés.
En la matière, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri a montré des prédispositions d’inhumanité qui donnent froid au dos, lui qui, en 2016, avait profané la tombe de son propre père pour arracher deux dents à son squelette afin d’être éliminé dès le premier tour à la mascarade électorale avant de se faire imposer à «104%» par les Mohéliens de Bête-Salam et le «Colonel» Youssoufa Idjihadi dit «Youssoufa Mfamanga», «Youssoufa Poisson séché», en référence à son passé de vendeur au Marché de Volo-Volo de poisson séché très salé de Madagascar. Le bougre a été nommé «Général» pour avoir «obligé» en 2016 la très corrompue Commission électorale nationale «indépendante» (CÉNI) à publier des résultats électoraux absolument faux, incomplets et illégaux en faveur du chien enragé de Mitsoudjé.
Les Comoriens doivent comprendre une chose absolument horrible: le tyran Assoumani Azali Boinaheri est tellement assoiffé de pouvoir et d’argent sale qu’il est prêt à tuer ses 4 enfants et la dictatrice Ambari Darouèche, sa première épouse, pour y accéder. Rien ne le fera reculer devant le pouvoir. L’existence tant vantée mais non prouvée de gaz naturel et de pétrole dans les profondeurs sous-marines des Comores l’a rendu encore plus fou et inhumain.
Il inaugure sa présidence de l’Union africaine par un crime rituel, dont les autorités «judiciaires» ne veulent pas entendre parler. Il a fait des sacrifices humains sur le jeune Aymane, 26 ans, originaire de Vouvouni, en Grande-Comore. Dans cette affaire, on retrouve le Centre mondial des Assassinats à caractère médical: le Service de Santé militaire (SSM), propriété personnelle du «Colonel Médecin et Docteur» Naoufal Boina de Hahaya, le Josef Mengele des Comores. Ce crime de sang-froid est tellement dégueulasse qu’il pue le sacrifice humain. Pour s’en rendre compte, il suffirait à peine d’examiner attentivement les blessures inhumaines et mortelles faites sur le corps du jeune Aymane. Ce n’est pas un «simple» assassinat; c’est un sacrifice humain commis par le nouveau Président de l’Union africaine, qui passe son temps entre les tueries et les opérations de magie noire.
Aujourd’hui, il faudra que les plus grands soutiens au dictateur Assoumani Azali Boinaheri expliquent aux masses populaires pourquoi Aymane, après un séjour à la Gendarmerie et au SSM, est-il mort et porte ces horribles blessures. On aurait pu commettre l’effort d’essayer de comprendre certaines choses si les autorités acceptaient de s’occuper de ce dossier. Or, aucune autorité ne veut en entendre parler. Elles sont effrayées par l’étendue du crime rituel de leur propre chef, le Président de l’Union africaine. On peut alors se demander si le dictateur Assoumani Azali Boinaheri avait promis à ses sorciers du sang humain dès son accession à la présidence de l’Union africaine, puisque cela semble être le cas. Ne perdons pas de vue le fait que, régulièrement, cet être primitif et sauvage fait venir de Pemba, Tanzanie, des sorciers, qui lui conseillent le pire, comme l’arrêt de son mandat inconstitutionnel de 2016-2021, sans quitter Bête-Salam puisque, jugeaient-ils, sa poursuite allait causer sa mort. D’ailleurs, dès 2018, votre site préféré avait annoncé qu’il allait interrompre brutalement ce mandat avant son entrée à sa troisième année, et cela s’est bel et bien produit.
Votre site préféré vous a déjà raconté ce qui se sait partout aux Comores: un jour, ses gardes du corps l’ont vu entrer dans une pièce de Bête-Salama avec ses sorciers de Pemba, où il s’était enfermé durant un long moment. À un moment donné, craignant le pire, ils sont entrés dans la pièce, où ils ont vu le dictateur Assoumani Azali Boinaheri nu comme un ver en train de danser aux côtés de serpents vivants et de ses sorciers de Pemba. Votre site préféré vous a également parlé de la vache enterrée vivante dans la cour de Bête-Salam.
Ce fonctionnaire de Mitsoudjé, proche de Bellou Magochi, le Chargé à la Défense, est formel quand il se confie à votre site préféré ce lundi 27 février 2023, ulcéré par le crime rituel sur Aymane: «Tout ce qui relève de la magie noire, de la sorcellerie et du “maraboutageˮ est directement de la compétence de la folle, fanatique et illuminée Ambari Darouèche, qui a hérité ces pratiques malsaines de son propre père. Tout le monde ici, à Mitsoudjé, le sait. Cette femme est diabolique et satanique. Elle est capable du pire pour le pouvoir, sa religion».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 28 février 2023.
