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Azali emprisonne anticonstitutionnellement A. Sambi

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Azali emprisonne anticonstitutionnellement A. Sambi

Mzimba finasse et ment, mais on injurie Fahmi Saïd Ibrahim

Par ARM

Chères toutes, chers tous, je vous présente ma bibliothèque personnelle. Certains livres sont dans des commodes, dans une chambre, en attendant que j’agrandisse ma bibliothèque. Si Dieu le veut, demain, jeudi 18 août 2022, je serai à l’Aéroport pour recevoir «La Bible du Droit international», dont la 9ème édition vient de paraître (juillet 2022), pour un total de 2048 pages. Je vais le lire en entier. Certains de mes livres m’accompagnent depuis février 1987 au Maroc. Un livre de Droit international public de couleur bleue, en 2 Tomes, bien visible sur la bibliothèque, m’a coûté 125 euros, et ses frais de transport 60 euros. D’autres, surtout mes livres et dictionnaires d’allemand, me tiennent compagnie depuis 1985, quand je vivais à Mohéli. En juin 2012, j’étais à la deuxième présentation du Tome I des prétendus Mémoires du fugitif international Hamada Madi Boléro à l’Université Paris 8, devant des étudiants comoriens. Le livre coûte 12 euros, et aucun étudiant n’a daigné l’acheter, chacun demandant à ce qu’il lui soit vendu à 6 euros. Même si j’avais déjà le livre, j’en ai acheté un deuxième exemplaire, pour mon frère Mohamed Nassuri, et j’en étais le seul acquéreur du jour.

Je vous parle de ma passion pour les livres pour mettre en exergue ma passion pour le Droit, que j’ai étudié de 1986 à 1995, «sur les bancs», sans le moindre échec, et en tant que chercheur de 1995 à 2003, et de 2005 à 2013, avant de retourner «sur les bancs» de 2015 à 2016, ayant pour camarades de promotion des jeunes de l’âge de mes enfants, et c’était à l’École de Formation professionnelle des Barreaux de la Cour d’Appel de Paris (ÉFB), l’École des Avocats. J’ai obtenu mon diplôme, mais je ne me suis pas inscrit au Barreau.

Oui, j’ai une passion pour le Droit, et c’est ma fierté. Le faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba a été mon «ami» de juin 2013 à Paris à mars 2018 à Mayotte. Je l’ai beaucoup aidé, et tout le monde le sait. Contrairement à ses mensonges, il ne m’a jamais payé, et j’allais apprendre qu’il m’appelait «mon frère» au téléphone, mais m’insultait et m’insulte devant les autorités et les siens. J’ai rompu toute relation avec lui le jour de mars 2018 où il a traité de «merde» la Cour constitutionnelle des Comores, dont il a activement soutenu la mise à mort, et où il a osé me dire que le «Droit constitutionnel n’existe pas; il est juste un rapport de forces». On l’a effectivement vu avec «son» Barreau à Bête-Salam soutenir la mort de Cour constitutionnelle et pour féliciter le dictateur pour la «non-Constitution de la main coupée et de la mort» du lundi 30 juillet 2018. Son ami Ahamada Mahmoud y était aussi.

Le 19 mai 2018, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri a assigné à résidence dans une totale inconstitutionnalité et illégalité le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi par une simple décision du secrétaire général du ministère de l’Intérieur, alors que seul le juge peut prendre des mesures privatives de liberté. Depuis, le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi croupit en prison dans sa propre résidence de Voidjou, non loin de l’hacienda du faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba. Le sort du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi n’a jamais préoccupé son voisin faussaire, bordelier et proxénète. Or, toute honte bue, et au mépris de toutes les règles de Droit et surtout celles relatives à la Procédure pénale, le faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba a crâné en prétendant que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri devait, par UN FAIT DU PRINCE, libérer le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, victime d’un FAIT DU PRINCE. Quelle monstruosité!

J’ai été le premier à réagir à cela, en expliquant que LE FAIT DU PRINCE étant un acte arbitraire et illégal, on ne pouvait se baser sur l’arbitraire et l’illégalité du FAIT DU PRINCE pour réparer l’arbitraire et l’illégalité d’un FAIT DU PRINCE: «Raspoutine, Mzimba: “Le péché peut vaincre le péchéˮ – Mzimba achète une interview, étale ignorance et mensonges», www.lemohelien.com, Mardi 19 juillet 2022. Personne ne m’a signalé que je me trompais, et je ne me trompais point. Oui, le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi doit être libéré et indemnisé, mais pas par FAIT DU PRINCE, mais par reconnaissance de l’injustice subie. Il ne faut pas faire croire aux Comoriens et à la communauté internationale que le dictateur, «par grandeur d’âme, humanité et pour des raisons humanitaires», a décidé de libérer un innocent. Le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi doit être libéré sur la base du Droit, en reconnaissance son innocence, par aveu de l’injustice infligée par ceux qui ruinent sa vie.

Lors d’une interview du mercredi 10 août 2022, quand la question lui est posée, Maître Fahmi Saïd Ibrahim, Avocat expérimenté et rompu aux procédures judiciaires, a expliqué de manière raffinée et élégante, sans désobliger le faussaire, bordelier et proxénète de Voidjou, que LE FAIT DU PRINCE est par définition un acte arbitraire et illégal, et ce n’est pas par lui que justice sera rendue au Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, anticonstitutionnellement et illégalement assigné à résidence, mais par le Droit. Il appartient donc au dictateur de Mitsoudjé de reconnaître son crime en faisant libérer un innocent, mais uniquement au cours d’une procédure judiciaire au cours de laquelle la dictature devra reconnaître qu’elle n’a aucune preuve contre le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Ça, ça serait du Droit et non un FAIT DU PRINCE. Ce n’est pas criminel de le dire.

Aujourd’hui, les oiseaux de mauvais augure, qui n’ont jamais fait des études de Droit, et dont certains n’ont même pas le Baccalauréat, osent prétendre que Maître Fahmi Saïd Ibrahim ne veut pas que le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi soit libéré. Ne finassons pas. Parlons un langage de vérité: est-ce que ceux qui prétendent aujourd’hui être les vrais amis du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi veulent voir ce dernier quitter sa prison comme un coupable dont on pardonne le prétendu détournement d’une inexistante tonne de billets de 100 dollars des États-Unis? Veulent-ils qu’on dise que le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi est un voleur que le dictateur libère par «humanité et pour raisons humanitaires»? Personnellement, je préfère savoir le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi en prison dans l’honneur et la dignité qu’en liberté dans le déshonneur et l’indignité.

Aux Comores, les dirigeants sont des ignorants et des incultes. J’étais présent, le jeudi 17 juillet 2014, quand le fugitif international Hamada Madi Boléro, Directeur de Cabinet du Président Ikililou Dhoinine chargé de la Défense, animait une conférence à la Fondation Jean-Jaurès, une institution proche du Parti socialiste français, aux côtés de mon amie Maliza Saïd Soilihi. Je l’ai entendu dire que le Général Salimou Mohamed Amiri «avait été acquitté pour vice de procédure et non par reconnaissance de son innocence». Nous avions crié notre colère. Le lendemain, le Général Salimou Mohamed Amiri arrivait à Paris en provenance des Comores. Quand je lui ai fait part de l’indignation suscitée en moi par la haine du fugitif international Hamada Madi Boléro, il mit à ma disposition la décision par laquelle le Tribunal de Moroni reconnaissait son innocence totale et définitive, et je la publiais sur ce site. C’est avec des propos comme ceux qui sont tenus par le fugitif international Hamada Madi Boléro qu’on sème la confusion dans les esprits. Dans l’injustice subie par le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, les vrais juristes et vrais Avocats que nous sommes, Maître Fahmi Saïd Ibrahim et moi-même, nous voulons la libération immédiate et inconditionnelle du Président, mais dans l’honneur et la dignité, mais pas par FAIT DU PRINCE.

Les gens qui insultent et accusent Maître Fahmi Saïd Ibrahim de trahison et de ne pas vouloir voir le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi libres sont les traîtres. Ils doivent porter leurs accusations sur qui l’a emprisonné au mépris du Droit, au lieu de s’en prendre à un bon juriste et Avocat sincère qui défend son frère, le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Des gens du Parti Juwa déforment les propos de Maître Fahmi Saïd Ibrahim pour dresser un mur entre lui et le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Personnellement, je soutiens ces deux frères, et invite le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi à séparer le bon grain de l’ivraie. Les manipulateurs du Parti Juwa le manipulent et lui mentent.

Je finis par une touche personnelle: avant de quitter Paris en novembre 2017, j’ai discuté au téléphone à deux reprises avec le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, avant son arrivée dans la capitale française, et cela, par l’intermédiaire de Maître Fahmi Saïd Ibrahim, sur le téléphone de Maître Fahmi Saïd Ibrahim. Au sein du Parti Juwa, n’a cessé de monter un cri de haine contre Maître Fahmi Saïd Ibrahim. C’est de la jalousie et de haine. Dès lors, si on reproche à Maître Fahmi Saïd Ibrahim son opposition au FAIT DU PRINCE, qu’on me la reproche aussi. Ceux qui l’accusent haineusement d’être un traître voulant voir le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi moisir en prison jusqu’à la fin de ses jours doivent m’adresser les mêmes critiques et accusations. Ceux qui se découvrent un amour soudain pour le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi font tout pour oublier que dans l’affaire, l’ennemi est le bourreau et dictateur Assoumani Azali Boinaheri, et le menteur et manipulateur qui finasse et vit de l’hérésie juridique est le faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba. Les ignorants du Droit «expliquent» le Droit aux vrais juristes. Ouf!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 17 août 2022.


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