Les Comores sont livrées aux voleurs de poules incultes
Voleurs et ignorants enseignent le Droit aux vrais juristes
Par ARM
«La Bible du Droit international public», œuvre magistrale du regretté Nguyen Quoc Dinh (1916-1976), son précieux legs à l’humanité, nous apprend que «toute société a besoin de Droit et tout Droit est un produit social. Ubi societas, ibi jus est un adage qui est vérifié dans le temps et dans l’espace»: Mathias Forteau, Alina Miron et Alain Pellet: Droit international public, 9ème édition, LGDJ Lextenso, Paris, 2022, p. 57. L’expression latine «Ubi societas, ibi jus; Ubi societas, ubi jus» est le cœur palpitant et saignant du Droit et de la société civilisée: «Il n’y a pas de société sans Droit, ni Droit sans société». Hélas! Aux Comores, aujourd’hui, l’analphabète (Baccalauréat moins 13) au passé de voleur multirécidiviste dans son village et au présent d’usager de faux papiers en France, où sa famille l’a exilé pour fuir la honte suscitée par son statut de voleur, notamment de poules, payé par un autre faussaire et voleur de poules, donne des cours magistraux de Droit à un vrai juriste. Ces gens-là ont choisi de vivre en dehors du Droit et des autres valeurs de la société. L’ancien voleur de poules devenu faussaire en France fait ses cours magistraux dans un océan d’injures adressées au vrai juriste. Cela s’appelle du «strabisme divergent».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 19 août 2022.
