Boléro et son Chabouhane sont comme cul et chemise
Le Mal aime et appelle le Mal, du Mal naît toujours le pire
Par ARM
Au Collège et Lycée de Fomboni, le fugitif international Hamada Madi Boléro était le champion mondial des mensonges et fausses interprétations des idées de Karl Marx et Vladimir Oulianov dit Lénine. Vantard, il s’était surnommé Lénine. Tout ce qu’il disait sur les deux hommes était faux. Il voulait se donner une importance qu’il n’a jamais eue faute de culture générale, qu’il a l’habitude de confondre avec mensonges et arrangements avec la vérité. Un jour, au Lycée de Fomboni, il me tua: pendant que je lui expliquais l’intérêt des discours et écrits du Pasteur Martin Luther King, il me dit: «Comme il est un religieux, il ne présente aucun intérêt pour moi». Le bougre inculte et maudit! Déjà, à l’époque, il exhibait et étrennait son athéisme comme un glorieux trophée. Aujourd’hui, il exhibe son auréole factice sur le front pour se parer des habits de «Monsieur le Bon Croyant». Voire…
En 1985, il partit faire ses études supérieures en Union Soviétique après une grosse escroquerie de poissons venus de Mohéli et vendus à Moroni. Il était vendeur de poissons frais au Marché de Volo-Volo, mais avait «oublié» de rendre l’argent au propriétaire des poissons: l’ancien Député Soilihi Mohamed, qu’il fait passer pour son oncle, par cousinage!
Boléro et Chabouhane Baguiri en action
Mais, quelles études a-t-il faites en URSS? Seul Dieu le sait. C’est gravissime. Monsieur se dit «Docteur» devant ceux qui ne savent pas. Sur la quatrième de couverture du Tome I de ses prétendus «Mémoires», on lit: «Hamada Madi Boléro est né en 1965 à Boingoma (Mohéli, Comores). Il a effectué ses études en URSS (Kiev), où il a obtenu un “Master of Law” (DÉA)». Mais, parfois, il parle de MBA et de Doctorat, comme si en URSS on préparait des diplômes anglo-saxons et capitalistes («Master of Law» et MBA). À la page 38 du Tome 1 de ses prétendus «Mémoires», il se dit Docteur: «Lorsqu’en avril 1992, je présentais ma thèse à l’université d’État de Kiev (capitale de l’Ukraine soviétique), un de mes très proches amis, Mirhane Bourhane, docteur en relations internationales, s’était étonné du choix du sujet: “Le système fédéral et les relations internationales entre les États en cas de dislocation d’un État fédéral et la mise en place d’un nouvel État”». Ouf! Ouf! Il aurait pu intituler son truc: «Fédéralisme et succession d’États» ou «La succession d’États dans les systèmes fédéraux». Et ce mot «Thèse». Quand on dit «Thèse», c’est toujours «Thèse de Doctorat» ou «Thèse de Doctorat de Troisième Cycle», parfois. Il n’y a pas de «Thèse de DÉA». Il ment donc…
Entré en politique grâce à Mohamed Larif Oucacha, qu’il s’emploie à détruire, l’athée notoire qu’il est se créa sa divinité: l’escroc notoire et mondial Chabouhane Baguiri. Un jour, à la gare de Nanterre Université, il a tellement répété «Chabouhane Baguiri a dit» que j’étais obligé de lui dire: «J’aurais aimé que tu cites Victor Hugo ou Antoine de Saint-Exupéry au lieu de ce voleur. Un jour, il te fera un sale coup. C’est une pourriture». En dépit de tout le Mal que véhicule ce voleur, il le prit comme colistier lors de l’élection présidentielle de 2010. Habitué au Mal, Chabouhane Baguiri attendit jusqu’à la dernière seconde pour devenir le colistier de Bianrifi Tarmidhi, obligeant le fugitif international Hamada Madi Boléro à raccommoder à la hâte les porcelaines. Les deux voyous sont toujours les meilleurs amis du monde et se livrent à leur jeu favori: le trafic des visas Schengen.
Le fugitif international Hamada Madi Boléro n’a aucune compétence en Droit. Il se dit expert en Droit constitutionnel, mais c’est un gros mensonge. Un jour, à la Fondation Jean-Jaurès de Paris, Sambaouma de Singani l’interpella sur sa haine viscérale envers le glorieux et prestigieux Général Salimou Mohamed Amiri. Il mentit honteusement par ignorance du Droit privé. Son «expertise» en Droit constitutionnel est aussi réelle que la «compétence» en Droit public et en Droit privé de son escroc et criminel de cousin Nourdine Abodo, le serpent venimeux à la langue fourchue, la vipère infâme, le mercenaire dégénéré, l’ignoble Procureur général de l’ignoble Cour suprême, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salam du temps des Mohéliens de Bête-Salam.
Comment un homme qui se dit «juriste», «le plus grand juriste comorien de tous les temps», n’a jamais soutenu le primat du Droit, mais travaille pour sa violation, notamment par encouragement de la dérive dictatoriale et par la fraude électorale?
En tout état de cause, il sera toujours comme cul et chemise avec l’escroc notoire Chabouhane Baguiri par affinités sociales: ni origines sociales, ni origines insulaires, ni tonton, ni tata, ni champ de manioc et de bananes hérité, mais un goût prononcé pour l’argent sale… Comme disait l’autre à Marseille, l’autre jour, «qui se ressemblent se rassemblent».
Une fois de plus, bravo aux jeunes de Poteau-central, haut lieu des intrigues sociales et politiques à Djoiezi, qui, dans leur tract anthologique, historique et patriotique «Kala Wa Dala» du 1er mai 2014, avaient écrit: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha)[«Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20). Mention: Traître». Merci beaucoup, au nom du peuple… Merci beaucoup.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 22 février 2022.
