• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • Le mort-né «monologue de sourds» antinational de parti

Le mort-né «monologue de sourds» antinational de parti

Partagez sur

Le mort-né «monologue de sourds» antinational de parti

La confusion faite entre le parti unique et un pays explosé

Par ARM

       On annonce doctement au peuple comorien que le fasciste Bellou Magochi, secrétaire général de l’organisation criminelle Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC), est à Anjouan pour promouvoir «le monologue des sourds» mort-né voulu par le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Franchement, qu’est-ce que le vagabondage touristique d’un Bellou Magochi peut bien faire aux Comoriens? Avant d’aller à Anjouan, Bellou Magochi a-t-il oublié quand il insultait et menaçait les Anjouanais? Quand on veut réussir, on n’organise pas  «le dialogue national» avec l’aide d’un divisionniste haineux et borné comme Bellou Magochi.

Ce voyage prouve que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri manque d’intelligence: il n’a pas compris que «le national» ne se construit pas à partir d’un parti unique, de la haine, du rejet de l’autre, de la stigmatisation et de l’ostracisme. Aux origines du projet mort-né de «monologue des sourds», on retrouve le fugitif international Hamada Madi Boléro, l’un des deux individus les plus détestés, les plus haïs, les plus exécrés, les plus maudits, les plus damnés et les plus honnis des Comores.

De façon tout à fait naturelle, l’initiative du fugitif international Hamada Madi Boléro a échoué avant d’avoir commencé. Dès le départ, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri a commis la faute horriblement lourde et inexcusable de n’avoir pas libéré au préalable le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, le Vice-président Mohamed Ali Soilihi, le Gouverneur Salami Abdou Salami et les autres prisonniers politiques, de n’avoir pas annoncé le retour sans représailles des exilés, avant d’inviter les chefs de l’opposition autour d’une table pour leur demander de définir le format, les contours et le contenu d’un vrai «dialogue national». Il n’a pas eu cette intelligence-là. Il a cru qu’il pouvait créer un «dialogue national» en ayant recours à ce qu’il y a de plus sale aux Comores, et en l’imposant à un pays en colère.

Un «dialogue national» ne concerne pas le parti unique CRC, mais «la nation» comorienne, et celle-ci ne saurait se limiter au fugitif international Hamada Madi Boléro et au fasciste Bellou Magochi. Un «dialogue national» est une affaire trop sérieuse, et pour ne l’avoir pas compris, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri est la souris qui a accouché d’un «monologue des sourds». Personne ne veut de sa mascarade, et le tyran de Mitsoudjé en est réduit à recourir à des gens qui ne représentent qu’eux-mêmes. Il ne pouvait en être autrement quand on a entendu Bellou Magochi grogner pour dire que «le monologue des sourds» «se fera avec ou sans l’opposition». Mais, comment est-il possible de parler à l’opposition sans parler à l’opposition?

La communauté nationale et la communauté internationale savent que dans son «monologue des sourds», le dictateur Assoumani Azali Boinaheri est seul et qu’il fera passer son échec cuisant pour un «succès flamboyant». Il ne trompera que lui-même. Ça ne sert à rien d’organiser son propre échec et crier à «la victoire éblouissante» après. Le dictateur Assoumani Azali Boinaheri va se réunir avec lui-même, il se parlera, s’admirera le nombril, se bombera la poitrine, se fera congratuler par ses roquets comme le nuisible shakespearien Saïd Ahmed Saïd Ali et le faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba, mais dans un discrédit total. Il sait que la communauté nationale et internationale savent qu’il a échoué, mais dans ses délires schizophréniques, il est incapable de tracer une ligne de démarcation entre la réalité et ses désirs schizophréniques dictés par la scotomisation, ce déni de la réalité qui le conduit quotidiennement au rejet inconscient de toute vérité qui lui paraît pénible et insupportable.

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Jeudi 24 février 2022.


Partagez sur

7 Comments

  • Ali

    février 27, 2022 at 6:42

    ARM, T’es vraiment spécial, plus de 48h après l’accident du vol AB Aviation, tu n’es même pas capable de présenter des condoléances aux familles endeuillées. Tout ce que tu sais faire ou dire, c’est d’insulter les gens, dénigrer ton pays au détriment de la France et se faire passer pour le super intelligent de ce monde. Honte à toi franchement, il est temps que les gens te découvrent et connaissent vraiment tes ambitions. Je suis désolé mais tes Doctorats ne servent qu’à lancer des insultes partout où tu y as échoués.

    Répondre
    • Ali Madi

      février 27, 2022 at 11:39

      C’est violent de prendre le stylo, juste, pour insulter quelqu’un qui n’a rien demandé à personne. On peut porter toutes les accusations sur ARM lorsqu’il évoque un sujet qui semble déranger la pensée unique mais pas lorsqu’il est absent. Personne ne peut savoir dans quelle situation se trouve ARM et on se permet de le traiter de tout pour n’avoir pas pris le temps de dire les condoléances. Mais votre président, qui lui était en fanfare pendant la journée du crash, a attendu le lendemain pour des mots insignifiants. Puis, ne vous servez pas des malheurs des uns pour transporter des sales offenses.

      Répondre
    • ARM

      mars 2, 2022 at 10:07

      Bonjour,
      1.- Vous êtes-vous renseigné sur ma relation clanique, familiale et villageoise avec certaines des victimes de ce drame? Savez-vous que pour moi, ces victimes ne sont pas de simples noms sur un papier établi à Hahaya? Chez qui Mohamed Saïd Fazul a été houspillé et rejeté quand il était parti présenter ses prétendues “condoléances”? C’était chez ma propre sœur!
      2.- Je suis le fils d’un porté disparu entre la Grande-Comore et Mohéli (Juillet 1996). Il m’a fallu combien de temps pour admettre que mon père était introuvable, qu’il avait coulé avec le bateau, que je n’allais plus le revoir, qu’il n’allait pas avoir une tombe sur terre? Et vous voulez que j’annonce immédiatement après le crash que les passagers de l’avion étaient morts, pendant que les familles attendaient un miracle? Je savais que le miracle était exclu, mais, moi, je n’aime pas le sensationnel et le saignant. Après être revenue du Maroc, où elle a fait ses études supérieures, l’une des victimes de ce drame m’avait promis une réception grandiose le jour de mon retour à Mohéli.
      3.- Savez-vous que les dirigeants d’un pays ainsi que les autres personnalités publiques peuvent être critiqués? Dans les pays civilisés et démocratiques, on parle de “critiques”, un droit constitutionnel, pendant que, dans les pays sous-développés et en régression, les bien-pensants parlent systématiquement d'”injures”, assimilées à un crime de lèse-majesté. Dans les pays en voie de destruction comme les Comores, il est interdit de critiquer les voleurs, les voleurs d’argent public, les violeurs, les pédophiles, les mauvais dirigeants, les faussaires et les escrocs.
      Bon courage.
      Cordialement,
      ARM

      Répondre
  • Abdou Said Houmadi

    mars 2, 2022 at 6:54

    De quel ALI s’agit-il???De quelles condoléances s’agissent-elles???Pour nous,le fait qu’ARM a eu le courage et l’abnégation de dénoncer le comportement féroce,criminel et inhumain de GOZIBI et ses sbires vis-à-vis de ce drame “national”EST PLUS QUE DE PRESENTER DES CONDOLEANCES pour nous ALI.Je t’informe ALI que ARM est natif de MOHELI,dont sa famille est endeuillée.Si tu n’es pas l’entourage ou proche de GOZIBI,tu étais le premier à présenter tes condoléances à ARM.ALI,tu nous fais honte comme GOZIBI.ALI,tu nous rabaisses comme GOZIBI.ALI,tu es dans la mème catégorie animale comme GOZIBI,la suite est très,très,très dangereuse et pleine des épines pour TOI et GOZIBI.QUI VIVRA VERRA.

    Répondre

Laisser un commentaire

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.