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Assoumani Azali, humilié avant la mort à Mutsamudu

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Assoumani Azali, humilié avant la mort à Mutsamudu

Tous les fidèles vident la mosquée pour ne pas prier avec lui

Par ARM

     Dans la pure tradition comorienne, quand à l’arrivée de quelqu’un, tout le monde quitte une place publique donnée, cela équivaut à une mise à mort. C’est un bannissement, le pire des rejets sociaux, la pire des exclusions sociales. Et quand cela se passe dans une mosquée, on ne survit jamais au-delà de 48 heures à ce rejet social. Quand on subit ce châtiment social, on part acheter le linceul avec lequel on sera enterré et on attend la mort. Elle arrive toujours quand on subit un tel vomissement de sa personne.

C’est ce qui vient d’arriver au sale type le plus répugnant et le plus ignoble des Comores et de l’océan occidental actuellement, et il s’agit de l’infâme «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Ce qui s’est passé dans la Mosquée de Libye, à Mutsamudu, Anjouan, dans la soirée de ce samedi 26 mai 2016, date marquant le deuxième anniversaire du retour anticonstitutionnel et immoral du fou de Mitsoudjé à Bête-Salam, vaut d’être conté, car annonçant la mort physique imminente et inévitable du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri.

Pendant que les fidèles étaient réunis pour la dernière prière de la soirée et du jour, ils se levèrent pour commencer cette prière. C’est en ce moment précis que le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri est rentré dans la mosquée. D’un seul coup, tous les fidèles présents, y compris l’Imam, ont quitté la mosquée, refusant de prier avec ce mécréant. Youssouf Paca et les autres militaires ont tenté d’empêcher par la menace des armes les fidèles de partir, mais il était impossible d’arrêter cette marée humaine. Constatant que les armes n’impressionnaient personne, les militaires ont exhorté les fidèles à rester, en disant que les Musulmans ne commettent pas un tel acte, mais rien n’y fait. Les fidèles sont tous partis.

Ce bannissement ne s’est pas passé à la grande mosquée de Mutsamudu, où le «Saigneur» saignant Assoumani Azali Boinaheri est interdit depuis longtemps de mettre ses pieds, mais dans une autre, qui se trouve sur la route.

Au fait, Ahmed Sambi, assigné à résidence de manière illégale et arbitraire, n’est-il pas de Mutsamudu, Anjouan? Si. Il est de Mutsamudu, Anjouan. Ah! Justement, l’île dont le dictateur fou de Mitsoudjé veut voler le tour de diriger les Comores ne s’appelle-t-elle pas Anjouan? Si. Cette île s’appelle Anjouan. Fort bien. La suite va être pire que tout ce qu’on peut envisager. En d’autres termes, par ce désaveu, le bambochard Assoumani Azali Boinaheri a déjà un pied dans la tombe. Personne n’est sorti vivant du fait hautement rarissime de voir les Musulmans quitter la mosquée à l’arrivée de quelqu’un et refuser de prier avec lui.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 26 mai 2018.


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