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Le Procureur Sako vole une femme et la menace de mort

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Le Procureur Sako vole une femme et la menace de mort

À Mohéli, il fabrique de faux actes de donation et vole de terres

Par ARM

       Nous allons parler du Procureur Soilihi Mahamoud Mansour dit Sako (diminutif de Massakokary, le célèbre lièvre des contes africains). Sa famille et ses proches ne sont en rien concernés par ce qui va suivre, même si lui, abusant de son autorité au sein de la magistrature des Comores, vivant de corruption et de spoliation, s’arroge le droit d’insulter une femme, sa famille et sa généalogie. Ce n’est pas une vendetta. Limitons-nous aux méthodes immorales et illégales de Sako, et oublions sa famille et sa généalogie, qui n’ont fait du mal à personne.

De l’issue fatale de la jalousie entre Abel et Caïn, les enfants d’Adam et son épouse Ève, à ce vendredi 2 avril 2021, le fugitif international Hamada Madi Boléro n’a dit la vérité qu’une seule fois, quand il affirme que son ami, le tristement célèbre Sako a été nommé Procureur sans avoir un jour étudié le Droit judiciaire, celui employé dans les Tribunaux, pour le récompenser; il a étudié les Relations internationales en Ukraine, à l’époque soviétique. Du reste, après son retour aux Comores, Sako travaillait au ministère des Affaires étrangères.

Le fugitif international Hamada Madi Boléro, qui ignore toujours les règles et précautions élémentaires de la communication, a osé écrire que c’est sa complaisance démagogique et criminelle qui a fait entrer son ami dans les Tribunaux en tant que «magistrat». Président de la République par intérim au premier semestre 2002, il avait nommé une commission de «juristes» comoriens et étrangers de complaisance pour valider l’élection fraudée de cette année  et en attribuer à son chef et victime Assoumani Azali Boinaheri «100%» des voix.

Il écrit: «À Mohéli, j’ai choisi l’emblématique et célèbre Procureur Soilihi Mahamoud dit “Sakoˮ. Nous avons fréquenté ensemble l’école primaire publique de Fomboni, effectué le service national au Collège de Fomboni en 1984-1985, où nous avons étudié avant, et nous nous étions retrouvés à Kiev, capitale de l’Ukraine, en URSS, dans la même université et à la même Faculté de Droit international public. Le Procureur Soilihi Mahamoud dit “Sakoˮ est un ami personnel, avec qui j’entretiens de très bonnes relations»: Hamada Madi Boléro: Au service des Comores. Tome 2, La renaissance, Éditions Cœlacanthe, Paris, 2014, p. 62.

Sako a toujours tué ses dossiers au Tribunal en fonction de l’argent de la corruption qu’il reçoit des coupables. Il est corrompu, incompétent et spécialisé dans la fabrication des faux documents pour spolier. Il ne connaît rien en Droit judiciaire. Tous les juristes comoriens le savent et le disent. Sako profite de sa fonction officielle de «magistrat» et instrumentalise son entourage pour fabriquer des fausses donations. Usant du faux nom de BAKO ZIGUI MAGABENI, il harcèle sur Internet une de mes cousines de Fomboni, vivant en région parisienne, la traitant de «Malgache de merde n’ayant aucun droit à Mohéli».

Sako aime… les âneries

C’est vrai, notre arrière-grand-père était à 100% Malgache et est arrivé de Madagascar aux Comores en 1831 en compagnie du futur Sultan Ramanetaka, Abderemane, un autre «Malgache de merde n’ayant aucun droit à Mohéli». Ramanetaka avait fait d’Aboudou Tsivandene, notre arrière-grand-père, qui était déjà son parent, son ministre et son homme de confiance. À la mort de Ramanetaka en 1842, c’est notre arrière-grand-père qui s’était marié à la Régente Ravao, cette «Malgache de merde n’ayant aucun droit à Mohéli», et, par la suite, avait usé de son autorité morale et familiale pour organiser le mariage de la «Malgache de merde n’ayant aucun droit à Mohéli» qu’est la Reine Djoumbé Fatima, fille de Ramanetaka.

Dans notre famille, nous sommes très fiers de notre sang malgache. Notre grand-père Madi Aboudou Tsivandene, un «Malgache de merde n’ayant aucun droit à Mohéli», avait effectué le voyage de Paris en 1868 en compagnie de la Reine Djoumbé Fatima. Il était ministre dans le gouvernement de Mohéli, comme l’avait été son père.

Sako menace ma cousine de la battre à mort le jour où elle se rendra à Mohéli. Il insulte son père, Salim Madi, qui n’a jamais désobligé qui que ce soit, et qui ne parlait presque jamais. Sako insulte la famille Salim Madi de Fomboni, donc tous les Tsivandene. Dans ses messages, il menace de mort ma cousine «malgache» et dit être plus Mohélien qu’elle. Merci.

Sako insulte ma cousine, car il a falsifié des documents pour attribuer à son épouse, une cousine de ma cousine, un terrain qui appartenait jadis à la mère de Hamidi Mohamed, leur grand-mère commune. Ma cousine s’en remet à Dieu, auprès de qui Sako paiera pour ses escroqueries, injustices et crapuleries. Là où la grand-mère défunte avait fait une donation à une de mes cousines, Sako fabrique un faux acte de donation au profit de son épouse.

Sako n’ose pas s’afficher au grand jour. Il insulte et menace, mais se cache dans la lâcheté de l’anonymat d’Internet. Il n’insulte pas seulement ma cousine, mais toute notre famille Tsivandene. Mes cousins sont très taiseux et ne parlent jamais. Mais, moi, je demande à Sako de laisser tranquille ma cousine et de m’insulter moi, un homme comme lui. Il va jouer son rôle de Procureur et moi celui de l’avocat pour que nous parlions de ses injustices, actes de corruption et incompétence. On n’insulte pas une famille et une généalogie, Monsieur.

Pour arrêter le flot d’injures et menaces, ma cousine a dû bloquer toute possibilité de communication avec Sako sur les réseaux sociaux.

Sako instrumentalise la Justice pour ses besoins de terrains et d’argent. Pour lui, la Justice est sa chose. Pour voler le terrain de ma cousine, il s’arroge le droit de fabriquer des faux documents, et d’obliger les juges et le Cadi à lui donner gain de cause même après avoir assassiné un groupe de personnes dans un Tribunal en présence de la Police et de témoins.

D’autres étaient comme lui, se croyaient immortels, puissants, intouchables et divins, et on sait ce qu’il est advenu d’eux.

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Vendredi 2 avril 2021.


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