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Viré de Ntsoudjini, le dictateur s’invite à Mavingouni

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Viré de Ntsoudjini, le dictateur s’invite à Mavingouni

Le manque de dignité chez Assoumani Azali est mortel

Par ARM

       Le peuple comorien dans son ensemble présente ses remerciements à la valeureuse et honorable population de Ntsoudjini, qui a dignement et fermement tenu tête au mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». En effet, comme cela est de notoriété publique, ce jeudi 7 novembre 2019, la ville de Ntsoudjini célébrait l’anniversaire du Prophète Mohammed. Les hurluberlus et branquignols que sont le Mufti-Cardinal Saïd Toihir Saïd Maoulana et son shakespearien Saïd Ali Saïd Ahmed ont tout fait pour faire inviter leur cadavérique «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri à Ntsoudjini, comme si cette honorable ville était une plantation de patates et de manioc. Eh bien, la jeunesse de Ntsoudjini, puisant dans la culture d’honneur et de dignité de leurs valeureux et prestigieux ancêtres Foimbaya, ont dit que la présence du dictateur fou de Mitsoudjé dans leur ville n’était pas souhaitée, et qu’il fallait prévoir un bain de sang si le satrape s’entêtait à s’inviter à Ntsoudjini, où il était indésirable. La notabilité a abondé dans le sens de la jeunesse. Merci.

Humilié au plus profond de ce qu’il reste de lui-même, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri avait voulu entrer à Ntsoudjini par les armes le jeudi 7 novembre 2019, parlant de la situation de Ntsoudjini dans «son» territoire national. Tout de suite le juridisme de façade pour du Droit international de pacotille et du Droit constitutionnel à la saute tomate! Mais, face à la détermination des valeureux Ntsoudjiniens, et suite aux conseils de certains membres de son sérail, le «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri, toute honte bue, s’est invité en catastrophe et dans l’indignité à Mavingouni. La victoire épique de Ntsoudjini a été saluée et célébrée partout aux Comores et partout où vivent des Comoriens. Les autres villes, villages et hameaux doivent s’inspirer du geste glorieux des habitants de Ntsoudjini et comprendre que même symbolique, une victoire est une victoire, et chasser le dictateur fou.

Par quelle malédiction a-t-il fallu que le satrape Assoumani Azali Boinaheri perde toute dignité au point de vouloir imposer sa présence là où il est indésirable? Pourquoi n’arrive-t-il pas à comprendre qu’avant lui, aucun dirigeant comorien n’a fait l’objet d’un rejet populaire quelque part aux Comores? Pourquoi ne veut-il pas comprendre que sa dictature vulgaire et violente fait de lui un ennemi plus exécré, méprisé, maudit, haï et détesté que les mercenaires qui tuaient les Comoriens dans les années 1980 dans leur propre pays? Eux au moins avaient l’excuse d’être des étrangers. En tout cas, sur la photo du dictateur fou de Mitsoudjé à Mavingouni, ce qu’on remarque avant tout, c’est son ventre de femme enceinte de 6 mois. Quant au protocole de son accueil imposé à Mavingouni, il était celui qu’on réserve à n’importe quel étranger de passage. Le pauvre chéri… Tu veux des sucettes et le biberon?

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 9 novembre 2019.


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