Usage de fraude et échec de la promotion de la femme
Assoumani Azali pourrit ce qui aurait pu militer pour lui
Par ARM
Le poète électoral divin Assoumani Azali Boinaheri vit dans le Mal, vit du Mal, mourra dans le mal et du Mal. Alors que la promotion socioprofessionnelle de la femme est un sujet de préoccupation mondiale, il en a fait un facteur de malédiction sociale aux Comores. Les Comoriens souhaitent voir des femmes compétentes occuper d’importantes fonctions étatiques. Que fait le chantre de la fraude électorale par Dieu Lui-même? Il impose la nullissime Farouata au Gouvernorat de la Grande-Comore. De fait, la première femme Gouverneure d’une île aux Comores est une voleuse d’élections qui n’ont pas eu lieu. Qui plus est, la nouvelle Assemblée issue des nominations par le même dictateur de village sera la plus féminisée des Comores. Mais, aucune de ces «Députées» n’a été élue. Le chanteur divin Assoumani Azali Boinaheri a nommé «Députées» de nombreuses femmes, mais dont aucune n’a été choisie par le peuple. La légitimité de ces «Députées» est nulle, inexistante et imaginaire. L’entrée de plusieurs femmes au Parlement aurait pu être un progrès social et politique, mais, étant le fruit de la fraude et du vol, elle est un facteur de colère et de haine chez les Comoriens. «La Charia a besoin d’un regard féminin, avait dit Abdesslam Yassine (1928-2012), Inspecteur de l’enseignement, théologien, fondateur et chef de file de l’Islam politique au Maroc. Mais, ce «regard féminin» ne doit pas être obtenu sur l’autel du Mal.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 30 janvier 2020.
