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France Info tua définitivement «le monologue de sourds»

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France Info tua définitivement «le monologue de sourds»

Après avoir tiré à boulets rouges sur lui, il en fait des tartines

Par ARM

       Aux pays des Blancs, là où règnent la démocratie et l’État de Droit, personne ne se fait des illusions sur «le monologue des sourds» du dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Oui, les Blancs vivant dans les démocraties ont tout compris sur «le monologue des sourds», cette horrible mascarade, alors que ce Mouigni Baraka Saïd Soilihi-là le critique du bout des lèvres tout en y dépêchant ses séides qui ne montent jamais au lit avec leurs épouses sans son autorisation. Il n’y a que la pauvre et très légère Anziza Mchangama, correspondante de la dictature de Mitsoudjé à Radio France Internationale (RFI), sur place à Moroni, pour parler de la participation «d’une partie de l’opposition» (laquelle), en s’acharnant avec hargne et désespoir à désigner son pote très quelconque insignifiant, inodore et incolore Natuk Mouzaoir et son épouse, rencontrée dans les manifestations contre la dictature de Mitsoudjé en France, et avec qui il règne sur le «Parti politique» Ulezi, qui ne comprend que le couple. Les pauvres chéris!

Dans l’affaire, il est intéressant de lire l’article de la chaîne de télévision France Info sur cette horrible et honteuse mascarade qu’est «le monologue des sourds»:

Comores : le dialogue national inter-comorien se déroule sans l’opposition et perd de sa crédibilité. L’opposition comorienne refuse de cautionner une opération voulue par le président Azali Assoumani

Par Jacques Deveaux

Le président des Comores Azali Assoumani a repris à son compte l’idée d’organiser une réunion de tous les partis politiques afin de définir le futur du pays. Un dialogue national inter-comorien qui était voulu au départ par l’opposition. Depuis 2018, un référendum constitutionnel permet au président Azali Assoumani de régner en maître sur les Comores. Il a ainsi pu se présenter pour un nouveau mandat en 2019, remporté haut la main. L’opposition, qui compare son régime à une «dictature», n’a jamais reconnu les résultats du scrutin de 2019 et dénoncé des fraudes caractérisées.

Azali est un caméléon politique. Il a pris le pouvoir en 1999 à la faveur d’un coup d’Etat. Puis en 2002, il a organisé une élection présidentielle qu’il a remportée. Il s’est contenté d’un seul mandat, mais est revenu en politique en 2016. Azali revendique être un «profond démocrate», ce que conteste l’opposition qui, à chaque élection, dénonce des irrégularités.

Sortir de la crise

Cette fois, il s’agit de trouver une porte de sortie à la crise politique qui secoue les Comores depuis 2019. Ce dialogue se veut inclusif et durant trois semaines chacun peut présenter un thème qu’il veut voir discuté. L’exécutif, toujours soucieux de se montrer sous ses plus beaux atours démocratiques, a invité tout le monde, des politiques mais aussi des membres de la société civile. Et ce qui était au départ purement politique s’est élargi à l’économique et au social. Il s’agira de débattre afin de dégager des solutions pour l’avenir des Comores.

Malgré tout, le point central reste politique. Réforme de la Commission électorale, loi électorale, statut de l’opposition, loi sur les partis politiques, découpage électoral. Le dialogue national inter-comorien s’impose, selon son coordinateur Mohamed Toihir, «comme un moyen de résoudre ou de prévenir les conflits sociopolitiques».

En sa qualité de président en exercice de l’Union africaine, le président sénégalais Macky Sall s’est rendu aux Comores pour une visite du 25 au 27 février. Une visite qui s’est également voulue un soutien au processus.

Une «mascarade» selon l’opposition

Pourtant, l’Union de l’Opposition ne participra pas finalement à cette «mascarade de plus», selon ses termes. En guise de préambule et de geste de bonne volonté, l’opposition réclamait la libération des prisonniers politiques, notamment l’ancien président Ahmed Abdallah Sambi. «Le dictateur Assoumani Azali va se réunir avec lui-même, il se parlera, s’admirera le nombril, se bombera la poitrine, se fera congratuler par ses roquets… mais dans un discrédit total», écrit le site internet d’opposition Le Mohélien, évoquant un «monologue de sourds ».

L’opposition juge que les Comores sont «un pays économiquement et financièrement exsangue, socialement répressif, politiquement bloqué et institutionnellement paralysé». En conséquence, ses représentants ont refusé le dialogue, «dont les conclusions sont déjà connues d’avance», a souligné l’ancien gouverneur Mouigni Baraka Saïdd Soilihi.

La défiance est totale, ce qui laisse peu d’espoir à une sortie par le haut de ce grand débat.

     Si le renégat sans honte et traître sans vergogne Mouigni Baraka Saïd Soilihi croit tromper les Comoriens en mangeant de ses deux mains et à tous les râteliers, il ne trompe que lui-même. Ses roquets assistent au «monologue des sourds» parce qu’il leur a dit d’y assister. Mais, il ne perd rien pour attendre. Le Sultan Hachim Saïd-Hassane Ben Saïd Hachim Ben Sultan Mouigni Mkou l’a maudit depuis 2011, tout en appelant aujourd’hui les Comoriens à la patience. Voilà au moins un homme digne, dont les glorieux et prestigieux ancêtres ont régné et lui ouvrent les portes du règne pour l’avenir. Voilà un patriote sincère qui aime son pays et que les Comoriens aimant leur pays aiment et respectent.

     Enfin, ce «monologue des sourds» n’est qu’un congrès du parti minoritaire au pouvoir par l’illégitimité et des mercenaires insignifiants ne représentant qu’eux-mêmes, payés par lui pour faire de la figuration honteuse.

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Mercredi 2 mars 2022.


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3 Comments

  • Abdou Said Houmadi

    mars 3, 2022 at 5:32

    DES CRIS,DES LARMES,DU SANG ET DES AMUSES BEAUCOUP…GOZIBI croit tromper qui en 2022???Qui est fou???Qui est malade comme lui et ses valets???GOZIBI peut imaginer autre chose pour effacer son parcours politique,militaire,social,estudient,économique plein des couches de merdes,du sang,d’arnaque,d’escroc,de brutalité,de viol,de violences………En tout cas,cette fois-ci,c’est sa dernière ligne rouge,son impasse.QUI VIVRA VERRA.

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  • Abdou Said Houmadi

    mars 5, 2022 at 6:05

    MERCI BEAUCOUP ARM de bien vouloir m’accompagner dans le mème sens.Un immense merci. Rira=2 r comme Verra= aussi 2 r. Haute considération.

    Répondre

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