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Très déçu, Assoumani Azali était tombé à Abu-Dhabi

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Très déçu, Assoumani Azali était tombé à Abu-Dhabi

Boudé par les chefs d’État, sa danse du ventre fut inutile

Par ARM

     Le pauvre chéri… Pauvre chou… Pauvre mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Alors qu’il était agonisant, il avait été soigné à Abu-Dhabi, aux Émirats Arabes Unis. Il avait naïvement cru que son statut de mourant allait inspirer de la pitié à ses maîtres racistes que sont les monarques du Moyen-Orient au point de les pousser à assister la mascarade qu’il a pompeusement baptisée «investiture». Comme ceux-ci n’ont aucune envie d’aller se faire piquer par les moustiques dans un pays de Nègres, il les a suppliés de demander même à chefs d’État d’atolls, de cailloux et d’îlots inhabités de se rendre à Moroni pour «l’investiture» de la honte. Ce fut tintin. Tintin… Même la chèvre élue Présidente de l’Îlot des Cabris et des Chèvres au large de Mohéli a refusé l’invitation. La Lèpre élue Présidente de l’Îlot des Lépreux, toujours au large de Mohéli, a vomi quand on lui a parlé de cette invitation compromettante.

Très déçu par le mépris et la morgue de ses maîtres du Moyen-Orient, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri était tombé à Abu-Dhabi. Ce qui n’a suscité aucune compassion, ni pitié chez ses maîtres arabes. La tête de mort qu’il affichait ne lui a servi à rien, tout comme sa danse du ventre. Il devra se contenter de la présence de son complice, le fugitif international Hamada Madi Boléro.

Cet ami de Bellou Magochi dit: «Je vais me boucher le nez et assister à cette cérémonie funéraire pour ne pas me faire licencier». Autant dire que des Comoriens qui vont assister à la chose vont le faire uniquement pour ne pas subir des représailles sur le plan professionnel. C’est très dur pour le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, qui constate qu’il n’a pas réussi à «vendre» à l’étranger sa non-élection du dimanche 24 mars 2019.

N’importe quel jeune Comorien inscrit en première année de Droit vous dira qu’en cours de Relations internationales, on lui a appris qu’il existe différentes formes de reconnaissance et de non-reconnaissance des États et des gouvernements, et que souvent la reconnaissance et la non-reconnaissance se font de manière implicite. Refuser d’assister à une investiture équivaut souvent à une non-reconnaissance.

Il va sans dire que la dénonciation de la non-élection de 2019 par les Comoriens installés en France est l’un des facteurs ayant le plus contribué à dissuader les chefs d’État à se rendre à Moroni. Nos valeureux patriotes, par leur amour pour leur pays d’origine, ont su expliquer au monde entier qu’il n’y a pas eu d’élections aux Comores en 2019. Dans le monde de l’information sans frontières, la chose se sait partout. Et, il y a les dégâts incommensurables causés par le Rapport des observateurs électoraux africains, pour qui il n’existe pas de données permettant de parler de tenue d’élections aux Comores le dimanche 24 mars 2019. Autrement dit, on ne saurait prendre une mascarade honteuse pour une élection libre et démocratique.

En tout état de cause, ce dimanche 26 mai 2016, des milliers de Comoriens installés en France vont de nouveau dénoncer la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé à Paris et Marseille, où des déclarations d’une très grande importance vont être faites.

Vive la communauté comorienne installée en France.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 26 mai 2019.


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