Assoumani Azali est déjà déclaré mort à Marseille
Son beau cercueil est promené dans la Cité Phocéenne
Par ARM
Les invitations avaient été lancées aux dirigeants du monde entier. Tout a été fait pour que des chefs d’État étrangers assistent à «l’investiture» du mourant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Ce fut tintin. Tintin. Oui, tintin. Des dirigeants français avaient été invités pour la cérémonie de la honte. Aucun ne s’est déplacé. Les autres dirigeants du monde ont également snobé la scène de l’horreur. La «Ripoux-blique» de Mitsoudjé a transporté de leurs villages et hameaux des Comoriens qui n’ont que du mépris pour le dictateur fou de Mitsoudjé.
Mais, la mère des cérémonies a eu lieu à Marseille, «première ville comorienne du monde», où des Comoriens aimant leur pays ont transporté symboliquement le cercueil du «concubinocrate» vers le cimetière. C’est la première fois qu’une telle chose arrive à un dictateur comorien. En 1991, les Mohéliens avaient soulevé le cercueil de ceux qui trahissaient les légitimes revendications de leur île. Les deuils causés par cet acte de colère légitime n’ont pas cessé de se produire. Cette fois-ci, c’est le cercueil d’un agonisant qui tombe et dit des bêtises en public qui est transporté. Attendons la suite…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 26 mai 2019.